jeudi 30 mars 2006
Bientôt de retour!
Rosaire vous observe. Il a presque terminé de traverser le Pacifique (c'est long, à dos de tortue): il reviendra sous peu.
Un peu plus...
Allez, parle-moi de toi, décris les circonstances, sûrement nébuleuses, de notre première rencontre, dis-moi ce que te rends unique, ce qui fais de toi une rose. Sois bon, petit, prince.
J'veux voir tes mots couler de source, entendre ton rire rejaillir: riais-tu de mes blagues? Et moi des tiennes? Un moment particulier reste gravé dans ta mémoire? Faut le partager, sinon, il ne reste qu'un souvenir qui s'étiole tu sais. Je vieillis: bientôt trente ans. Toi aussi sûrement, peut-être plus même.
Allez, parle, sinon je lâche les chiens, des daschnunds aggressifs, entraînés à lécher jusqu'à ce que mort s'ensuive. Souffrance atroce, bien pire que le supplice chinois (ou le triplé même): mourir par désquamation.
Non, je blague. N'empêche qu'il faudrait laisser tomber le superficiel et l'aérien (les indices subtils le sont toujours pour celui qui les sème. Celui qui les récolte ne voit que des pas-indices.) et tomber dans le plus concret. Des situations, mêmes imagées, m'aideraient fortement à mieux définir ton contour encore si flou, filou.
Je dois retourner gagner ma pitance, mais je reste aux aguets. Jèai bien hâte de voir qui se cache derrière cette plume habile.
J'veux voir tes mots couler de source, entendre ton rire rejaillir: riais-tu de mes blagues? Et moi des tiennes? Un moment particulier reste gravé dans ta mémoire? Faut le partager, sinon, il ne reste qu'un souvenir qui s'étiole tu sais. Je vieillis: bientôt trente ans. Toi aussi sûrement, peut-être plus même.
Allez, parle, sinon je lâche les chiens, des daschnunds aggressifs, entraînés à lécher jusqu'à ce que mort s'ensuive. Souffrance atroce, bien pire que le supplice chinois (ou le triplé même): mourir par désquamation.
Non, je blague. N'empêche qu'il faudrait laisser tomber le superficiel et l'aérien (les indices subtils le sont toujours pour celui qui les sème. Celui qui les récolte ne voit que des pas-indices.) et tomber dans le plus concret. Des situations, mêmes imagées, m'aideraient fortement à mieux définir ton contour encore si flou, filou.
Je dois retourner gagner ma pitance, mais je reste aux aguets. Jèai bien hâte de voir qui se cache derrière cette plume habile.
mercredi 29 mars 2006
mardi 28 mars 2006
De Charybde en Scylla
_ message à mes 838404021 1284304-non 23, non 3 lecteurs - J'utilise le tu, c'est plus l'fun pour moi.
--------------
D'un côté, les brumes disparaissent, de l'autre, je m'enfonce dans les sables mouvants...Ou l'inverse.
Je vois bien que tu as hâte que je découvre ton identité (ou que le petit jeu te plaît bien): les réponses sont plus rapides maintenant. Moi aussi, je m'amuse ferme. C'est un peu comme déshabiller sa première pucelle: on a hâte qu'elle soit nue, mais le chemin est aussi agréable que la chaleur de la chaumière.
Bon. Tu n'es pas une femme héréosexuelle...Yé! Il ne reste que femme homosexuelle, homme homosexuel (qu'on peut enlever itou parce que mon interlocuteur parle de blonde!), homme hétérosexuel, nain albinos et chinchilla. Comme tous les chinchillas qui sont passés dans ma vie sont morts ou en chicane avec moi, j'oublie ça aussi.
Tu me parles de basket-ball, et de cercle d'amis assez près mais pas trop...C'est donc que tu jouais avec moi, je présume.
Tu peux donc venir de trois endroits (parce que même si je suis convaincu de ta présence au sein du corps étudiant du CNDF, tu peux être passé dans ma vie au Mont ou au Laf, (très peu probable par contre, le Laf', selon certains éléments de l'enquête)
Voici quelques conclusions, très légères, sur qui tu pourrais être et pourquoi.
CNDF: Hartmut, David Héon-Althot, Mon entraîneur de lutte, François de la pièce de théâtre, Philippe Yaker, PY, Ben, Christine, Guillaume le géant du basket...Momo aussi.
Je n'inclus pas mes "colocs" d'André-Coindre: tu dis ne pas avoir habité avec moi. Si ton postulat est faux, tu pourrais être Sébastien L. (C'est son genre, ces lettres), Caplan, Sébastien AL, ...Roy (me souviens plus de son prénom) GAron, Bruno ou Patrick.
Mont: Sabi avec qui j'ai fait de la musique (mais il m'a entendu plus qu'une fois) Dom Gagné, Pascal Rheault, Steeve F. Pat Proulx.
L'autre option. Quelqu'un des jeunes lasalliens. Ça s'rait pas bête. Stéphane ou Christian. OU alexandre. Ça, ça f'rait du sens.
Sinon, y'a plusieurs questions du post de "l'enquête avance" qui sont toujours sans réponses
Je te débusque petit à petit. :O)
Je t'aurai flibustier!
(en passant, le gag de sauron et du ring, faudrait le retravailler, c'est pas super bon... ;oP)
--------------
D'un côté, les brumes disparaissent, de l'autre, je m'enfonce dans les sables mouvants...Ou l'inverse.
Je vois bien que tu as hâte que je découvre ton identité (ou que le petit jeu te plaît bien): les réponses sont plus rapides maintenant. Moi aussi, je m'amuse ferme. C'est un peu comme déshabiller sa première pucelle: on a hâte qu'elle soit nue, mais le chemin est aussi agréable que la chaleur de la chaumière.
Bon. Tu n'es pas une femme héréosexuelle...Yé! Il ne reste que femme homosexuelle, homme homosexuel (qu'on peut enlever itou parce que mon interlocuteur parle de blonde!), homme hétérosexuel, nain albinos et chinchilla. Comme tous les chinchillas qui sont passés dans ma vie sont morts ou en chicane avec moi, j'oublie ça aussi.
Tu me parles de basket-ball, et de cercle d'amis assez près mais pas trop...C'est donc que tu jouais avec moi, je présume.
Tu peux donc venir de trois endroits (parce que même si je suis convaincu de ta présence au sein du corps étudiant du CNDF, tu peux être passé dans ma vie au Mont ou au Laf, (très peu probable par contre, le Laf', selon certains éléments de l'enquête)
Voici quelques conclusions, très légères, sur qui tu pourrais être et pourquoi.
CNDF: Hartmut, David Héon-Althot, Mon entraîneur de lutte, François de la pièce de théâtre, Philippe Yaker, PY, Ben, Christine, Guillaume le géant du basket...Momo aussi.
Je n'inclus pas mes "colocs" d'André-Coindre: tu dis ne pas avoir habité avec moi. Si ton postulat est faux, tu pourrais être Sébastien L. (C'est son genre, ces lettres), Caplan, Sébastien AL, ...Roy (me souviens plus de son prénom) GAron, Bruno ou Patrick.
Mont: Sabi avec qui j'ai fait de la musique (mais il m'a entendu plus qu'une fois) Dom Gagné, Pascal Rheault, Steeve F. Pat Proulx.
L'autre option. Quelqu'un des jeunes lasalliens. Ça s'rait pas bête. Stéphane ou Christian. OU alexandre. Ça, ça f'rait du sens.
Sinon, y'a plusieurs questions du post de "l'enquête avance" qui sont toujours sans réponses
Je te débusque petit à petit. :O)
Je t'aurai flibustier!
(en passant, le gag de sauron et du ring, faudrait le retravailler, c'est pas super bon... ;oP)
lundi 27 mars 2006
Questions supplémentaires...
À cet(te) inconnu(e)...
Faisions-nous partie d'un cercle d'amis très près les uns des autres?
Vous ai-je déjà entretenu en long et en large sur la théorie du baloney?
Dessinez-vous des grenouilles?
J'ai trop d'idées en tête, pas assez de clarté dans ma nuit, j'aurais besoin de lucioles ou à tout le moins d'une mouche à feu...ah, c'est la même bébitte...
Au fait...comment nomme-t'on une laideronne pyromane?
une moche à feu
Faisions-nous partie d'un cercle d'amis très près les uns des autres?
Vous ai-je déjà entretenu en long et en large sur la théorie du baloney?
Dessinez-vous des grenouilles?
J'ai trop d'idées en tête, pas assez de clarté dans ma nuit, j'aurais besoin de lucioles ou à tout le moins d'une mouche à feu...ah, c'est la même bébitte...
Au fait...comment nomme-t'on une laideronne pyromane?
une moche à feu
En passant Mariko
Ce qui s'passe présentement sur mon blogue, c'est bien meilleur qu'Un Homme Mort, ne serait-ce que pour une seule et unique raison: si ça s'arrête, ce ne sera pas par manque de budget.
L'enquête avance...
Pour les trois personnes que cela intéresse, vous pouvez lire "un p'tit bonjour du passé" et "enquête interne", ainsi que leurs commentaires.
-------
Ah l'étau se resserre....légèrement
Les indices, indirectement proportionnels à l'épaisseur de mon tissu adipeux, m'aident un tant soit peu à déterminer la période historique d'où m'arrive ce mystérieux personnage qu'est "un utilisateur anonyme".
Mes suppositions m'amènent à croire que j'ai connu cette personne soit au secondaire, soit durant ma première année de CEGEP (hypothèse vers laquelle je tends un peu plus) En effet, le " tu as habité avec plusieurs personnes" s'applique vraisemblablement à mes années de pensionnat et/ou de résidence étudiante. De plus, le joyeux drille, qui m'apparaît de plus en plus comme un confrère scolaire, mentionne le CEGEP dans sa missive électronique. J'en étais alors à mes premiers balbutiements en tant que bassiste, instrument que mentionne avec justesse mon interlocuteur verbeux.
Cependant, UN élément fait pencher lourdement la balance en faveur de l'institution d'enseignement collégial: les cartes. Au CNDF, quelques amis et moi étions des joueurs invétérés de "trou de cul".
Petit à petit, je le démasque. J'ai même quelques profils qui commencent à se dessiner. Et non, je ne serai pas déçu de savoir qui se cache derrière ces mots si bien agencés, au contraire: ça fait toujours plaisir de revoir les amis.
Si je prends en considération les éléments des deux messages, j'peux lancer quelques questions en l'air, pour tenter d'en savoir plus sur l'innommé personnage qui ne m'empêche pas tant que ça de dormir.
A-t'il déjà été mon coiffeur (et voisin)? -----)
Le surnommait-on d'un nom de poisson?
Avait-il une ressemblance frappante avec le Sauveur?
Ai-je déjà fait du pouce avec lui?
A-t'il encore la veste du sans-abri?
Le surnommait-on Tarte Anglaise?
Nous a-t'il déjà donné un congé de cours par sa conduite?
Je crois me rapprocher de l'identification de ce mystérieux personnage...
Oui...j'me rapproche...
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Ah l'étau se resserre....légèrement
Les indices, indirectement proportionnels à l'épaisseur de mon tissu adipeux, m'aident un tant soit peu à déterminer la période historique d'où m'arrive ce mystérieux personnage qu'est "un utilisateur anonyme".
Mes suppositions m'amènent à croire que j'ai connu cette personne soit au secondaire, soit durant ma première année de CEGEP (hypothèse vers laquelle je tends un peu plus) En effet, le " tu as habité avec plusieurs personnes" s'applique vraisemblablement à mes années de pensionnat et/ou de résidence étudiante. De plus, le joyeux drille, qui m'apparaît de plus en plus comme un confrère scolaire, mentionne le CEGEP dans sa missive électronique. J'en étais alors à mes premiers balbutiements en tant que bassiste, instrument que mentionne avec justesse mon interlocuteur verbeux.
Cependant, UN élément fait pencher lourdement la balance en faveur de l'institution d'enseignement collégial: les cartes. Au CNDF, quelques amis et moi étions des joueurs invétérés de "trou de cul".
Petit à petit, je le démasque. J'ai même quelques profils qui commencent à se dessiner. Et non, je ne serai pas déçu de savoir qui se cache derrière ces mots si bien agencés, au contraire: ça fait toujours plaisir de revoir les amis.
Si je prends en considération les éléments des deux messages, j'peux lancer quelques questions en l'air, pour tenter d'en savoir plus sur l'innommé personnage qui ne m'empêche pas tant que ça de dormir.
A-t'il déjà été mon coiffeur (et voisin)? -----)
Le surnommait-on d'un nom de poisson?
Avait-il une ressemblance frappante avec le Sauveur?
Ai-je déjà fait du pouce avec lui?
A-t'il encore la veste du sans-abri?
Le surnommait-on Tarte Anglaise?
Nous a-t'il déjà donné un congé de cours par sa conduite?
Je crois me rapprocher de l'identification de ce mystérieux personnage...
Oui...j'me rapproche...
vendredi 24 mars 2006
Enquete interne
Commentaire sur mon post : un p'tit bonjour du passé...
---
C'est quand même ironique qu'au moment où je te cherche, ton dernier message s'intitule «Un p'tit bonjour du passé».
Moi aussi je viens de ton passé et je ne m'appelle pas Marty MacFly. Je suis content de savoir que tu fais toujours de la musique et que tu dis toujours des niaiseries. À ce propos, as-tu pensé composer une toune qui s'appelerait «the calf dance»?
Je te laisse avec tes questions du genre «Kisskecéca» en me disant que le souvenir te viendra peut-être avec un relent de fruits de mer...
T'auras sûrement des nouvelles de moi (et d'autres)sous peu...
--------------------
Ce message, il vaut plus qu'un simple retour de commentaire comme j'l'ai fait, ma foi assez impulsivement. Il mérite une enquête approfondie, quelques nuits blanches et plusieurs cafetières. Tout d'abord parce que je suis tout simplement incapable d'arrêter de penser, de chercher, de fouiller et d'analyser quand j'ai une question qui me trotte en tête. C'est le cas ici.
C'EST QUI?
Les faits:
- quelqu'un qui me connaît assez bien (des insides oubliées pour ma part (au fait, calf, ça peut aussi être mollet...), on parle de musique ET de niaiseries..)
- Quelqu'un qui maîtrise la langue française.
- un gars (si j'pars du deuxiè^me fait, et que CONTENT soit au masculin)
- Quelqu'un qui veut me revoir...
- Il y a une supposition de groupe (et d'autres...) dans le message. Peut-être une réunion quelconque...
Les hypothèses:
Il y en a juste trop! Je me souviens de la vieille pub de A&W qui disait qu'on allait rencontrer 10 000 personnes dans notre vie...C'est mon CEGEP ça, 10 000 personnes!
Les pistes de recherche....
- pas trop futé en internet, j'suis allé voir dans mon stat counter d'où le message pouvait bien provenir. De toute évidence, ça vient du nord de l'ontario, où j'ai une communauté grandissante d'amis...
- On me parle de musique...J'ai commencé à être vraiment sérieux avec la musique vers la fin du cégep, ce qui remonte à plus ou moins dix ans (ce qui pourrait expliquer les nouvelles d'autres sous peu) mais pas le relent de fruits de mer et le calf dance...La seule explication logique c'est mon premier coloc, avec son Mange-Grenouille... mais j'suis vraiment pas certain. Donc, pour la musique, j'ai une période de dix ans (give or take two) à passer au peigne fin. Simple.
- On me parle de niaiseries. Encore là, on s'tient dans le même "range" d'années. Si j'ajoute l'impro à ça (parce que souvent je faisais de la musique en lien avec l'impro), j'ajoute beaucoup trop de personnes. Fuck. Ça pourrait avoir un lien avec la coupe longueuil, prise deux, où j'étais la tête de turc d'un charmant running gag de palourdes. Le calf dance par contre, j'ai beaucoup de difficultés à l'insérer dans l'équation.
- La musique maintenant. Se pourrait-il qu'un de mes anciens groupes essaie de se reformer? Bruce? J'lui ai parlé au téléphone. Bronsard? Trop loin. Christophe et Yves? Plausible. Y'a plusieurs autres personnes avec qui j'ai partagé une scène. Ça s'pourrait que le commentaire émane d'un de ces métissage artistique. Pat de Firmin's Sons par exemple. Encore là, j'suis dans le noir.
- L'université. Il est plus que probable que l'inconnu au commentaire vienne de l'université. Ça va bientôt faire 10 ans que j'y suis entré. Là, la liste de gars est assez courte: Marc H, Steve C., CF, André, Étienne ou un autre que j'aurais oublié. Les autres, je les vois encore.
- Le travail. Quelqu'un avec qui j'aurais travaillé? Je n'ai presque pas eu de relations amicales avec les gens du travail. On était amis avant, la plupart du temps.
J'me sens au milieu d'un Agatha Christie. où je suis à la fois Poirot ET la future victime....
Va falloir dormir ce soir, ce ne sera pas facile.
Et l'enquête continue....
---
C'est quand même ironique qu'au moment où je te cherche, ton dernier message s'intitule «Un p'tit bonjour du passé».
Moi aussi je viens de ton passé et je ne m'appelle pas Marty MacFly. Je suis content de savoir que tu fais toujours de la musique et que tu dis toujours des niaiseries. À ce propos, as-tu pensé composer une toune qui s'appelerait «the calf dance»?
Je te laisse avec tes questions du genre «Kisskecéca» en me disant que le souvenir te viendra peut-être avec un relent de fruits de mer...
T'auras sûrement des nouvelles de moi (et d'autres)sous peu...
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Ce message, il vaut plus qu'un simple retour de commentaire comme j'l'ai fait, ma foi assez impulsivement. Il mérite une enquête approfondie, quelques nuits blanches et plusieurs cafetières. Tout d'abord parce que je suis tout simplement incapable d'arrêter de penser, de chercher, de fouiller et d'analyser quand j'ai une question qui me trotte en tête. C'est le cas ici.
C'EST QUI?
Les faits:
- quelqu'un qui me connaît assez bien (des insides oubliées pour ma part (au fait, calf, ça peut aussi être mollet...), on parle de musique ET de niaiseries..)
- Quelqu'un qui maîtrise la langue française.
- un gars (si j'pars du deuxiè^me fait, et que CONTENT soit au masculin)
- Quelqu'un qui veut me revoir...
- Il y a une supposition de groupe (et d'autres...) dans le message. Peut-être une réunion quelconque...
Les hypothèses:
Il y en a juste trop! Je me souviens de la vieille pub de A&W qui disait qu'on allait rencontrer 10 000 personnes dans notre vie...C'est mon CEGEP ça, 10 000 personnes!
Les pistes de recherche....
- pas trop futé en internet, j'suis allé voir dans mon stat counter d'où le message pouvait bien provenir. De toute évidence, ça vient du nord de l'ontario, où j'ai une communauté grandissante d'amis...
- On me parle de musique...J'ai commencé à être vraiment sérieux avec la musique vers la fin du cégep, ce qui remonte à plus ou moins dix ans (ce qui pourrait expliquer les nouvelles d'autres sous peu) mais pas le relent de fruits de mer et le calf dance...La seule explication logique c'est mon premier coloc, avec son Mange-Grenouille... mais j'suis vraiment pas certain. Donc, pour la musique, j'ai une période de dix ans (give or take two) à passer au peigne fin. Simple.
- On me parle de niaiseries. Encore là, on s'tient dans le même "range" d'années. Si j'ajoute l'impro à ça (parce que souvent je faisais de la musique en lien avec l'impro), j'ajoute beaucoup trop de personnes. Fuck. Ça pourrait avoir un lien avec la coupe longueuil, prise deux, où j'étais la tête de turc d'un charmant running gag de palourdes. Le calf dance par contre, j'ai beaucoup de difficultés à l'insérer dans l'équation.
- La musique maintenant. Se pourrait-il qu'un de mes anciens groupes essaie de se reformer? Bruce? J'lui ai parlé au téléphone. Bronsard? Trop loin. Christophe et Yves? Plausible. Y'a plusieurs autres personnes avec qui j'ai partagé une scène. Ça s'pourrait que le commentaire émane d'un de ces métissage artistique. Pat de Firmin's Sons par exemple. Encore là, j'suis dans le noir.
- L'université. Il est plus que probable que l'inconnu au commentaire vienne de l'université. Ça va bientôt faire 10 ans que j'y suis entré. Là, la liste de gars est assez courte: Marc H, Steve C., CF, André, Étienne ou un autre que j'aurais oublié. Les autres, je les vois encore.
- Le travail. Quelqu'un avec qui j'aurais travaillé? Je n'ai presque pas eu de relations amicales avec les gens du travail. On était amis avant, la plupart du temps.
J'me sens au milieu d'un Agatha Christie. où je suis à la fois Poirot ET la future victime....
Va falloir dormir ce soir, ce ne sera pas facile.
Et l'enquête continue....
samedi 18 mars 2006
Un p'tit bonjour du passé
Hier soir, pendant que Cath et moi on s'appliquait à faire rire l'infirmière envoyée par la compagnie d'assurances, le téléphone a sonné.
Un vendredi soir, c'est tout à fait plausible.
J'me lève et répond.
- Oui bonsoir?
- Allô, c'est CF.
Pas un fantôme, pas un revenant non plus: l'implication négative de ces noms ne lui convient pas. Un écho, un p'tit bonjour du passé. C'est mieux, ça le cerne plus.
On a passé dix-quinze minutes à jaser, de tout et de rien. Il y a quelques temps, sa mère a fait un grand ménage dans les chambres des enfants partis du nid, pour trouver une pile de cassettes de chansons de CF.
---
À l'université, CF et moi on faisait de la musique ensemble. Beaucoup...éclatée, drôle, poétique, juvénile, naîve. On n's'arrêtait guère aux conventions: on avait du plaisir à créer.
---
Elle lui en a fait des copies, qu'elle lui a données. Celle avec nos chansons, elle l'a intitulée "joie". J'entends encore la voix de CF me dire au téléphone " on était à notre apogée sur cette cassette-là!" Notre apogée. Un bien grand mot pour dire qu'on avait un presque deal de démo avec Yvon Deschamps..Nos chansons étaient pas mal en avance sur notre carrière!
---
Il va venir en déposer une dans ma boîte aux lettres. J'lui ai proposé qu'on refasse de la musique ensemble, p't'être enregistrer nos chansons. "Tu fais encore de la musique? Moi, les muses viennent plus me voir!" qu'il m'a dit. C'est drôle, depuis c'te maudit soir où il m'avait annoncé qu'il arrêtait le Marmelade Trio, les muses sont parkées dans ma cour...
---
J'écris ces phrases et je me souviens de son annonce: "après le spectacle à trois-rivières, j'arrête". J'ai encaissé le choc, et quand j'ai été sûr qu'il était parti de l'appart, où on pratiquait, j'ai pleuré. Une peine de musique.
---
On jasait de nos petites vies, s'apprenant qu'on est presque voisins, moi lui disant que je suis marié, lui faisant un coming out pas surprenant et tout à fait naturel ("ça fait deux ans que j'habite avec mon amoureux, M."), découvrant qu'on travaillait pas mal dans le même domaine, on jasait et on s'est promis de s'voir, de remettre ça.
---
J'ai envie de le revoir, de refaire de la musique avec, de redevenir son ami même. J'ai juste peur de m'faire flusher comme y'a plusieurs années de cela.
C'était probablement mon meilleur ami à l'université, un gars qui m'poussait constamment à me remettre en question, sans me forcer à l'faire, juste en étant ce qu'il était. Y'a toutte scrapé ça en arrêtant de faire de la musique avec moi. Lui le poète penseur et moi le penseur poète.
Un vendredi soir, c'est tout à fait plausible.
J'me lève et répond.
- Oui bonsoir?
- Allô, c'est CF.
Pas un fantôme, pas un revenant non plus: l'implication négative de ces noms ne lui convient pas. Un écho, un p'tit bonjour du passé. C'est mieux, ça le cerne plus.
On a passé dix-quinze minutes à jaser, de tout et de rien. Il y a quelques temps, sa mère a fait un grand ménage dans les chambres des enfants partis du nid, pour trouver une pile de cassettes de chansons de CF.
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À l'université, CF et moi on faisait de la musique ensemble. Beaucoup...éclatée, drôle, poétique, juvénile, naîve. On n's'arrêtait guère aux conventions: on avait du plaisir à créer.
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Elle lui en a fait des copies, qu'elle lui a données. Celle avec nos chansons, elle l'a intitulée "joie". J'entends encore la voix de CF me dire au téléphone " on était à notre apogée sur cette cassette-là!" Notre apogée. Un bien grand mot pour dire qu'on avait un presque deal de démo avec Yvon Deschamps..Nos chansons étaient pas mal en avance sur notre carrière!
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Il va venir en déposer une dans ma boîte aux lettres. J'lui ai proposé qu'on refasse de la musique ensemble, p't'être enregistrer nos chansons. "Tu fais encore de la musique? Moi, les muses viennent plus me voir!" qu'il m'a dit. C'est drôle, depuis c'te maudit soir où il m'avait annoncé qu'il arrêtait le Marmelade Trio, les muses sont parkées dans ma cour...
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J'écris ces phrases et je me souviens de son annonce: "après le spectacle à trois-rivières, j'arrête". J'ai encaissé le choc, et quand j'ai été sûr qu'il était parti de l'appart, où on pratiquait, j'ai pleuré. Une peine de musique.
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On jasait de nos petites vies, s'apprenant qu'on est presque voisins, moi lui disant que je suis marié, lui faisant un coming out pas surprenant et tout à fait naturel ("ça fait deux ans que j'habite avec mon amoureux, M."), découvrant qu'on travaillait pas mal dans le même domaine, on jasait et on s'est promis de s'voir, de remettre ça.
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J'ai envie de le revoir, de refaire de la musique avec, de redevenir son ami même. J'ai juste peur de m'faire flusher comme y'a plusieurs années de cela.
C'était probablement mon meilleur ami à l'université, un gars qui m'poussait constamment à me remettre en question, sans me forcer à l'faire, juste en étant ce qu'il était. Y'a toutte scrapé ça en arrêtant de faire de la musique avec moi. Lui le poète penseur et moi le penseur poète.
vendredi 17 mars 2006
À l'hôpital
"Code D-FM, je répète, code D_FM"
- Docteur, faites vite! On a une urgence, une vraie, une vraie de vraie de vraie!
- Oui garde, rhabillez-vous et allons voir de quoi il en retourne!
le docteur évite habilement les patients allongés sur les civières trop étroites, frayant son chemin au milieu des infections et des plaies de lit. Un Code D-FM, ça n'arrive pas à tous les jours, ni même à toutes les années...
À l'urgence, l'ampleur du cas lui saute au visage. Le Doc, agile et vigoureux, pivote. L'ampleur s'pète la gueule dans la face d'une madame qui lit le Reader's Digest de septembre 1981.
Plusieurs personnes se tortillent par terre, devant la station de triage. En rajoutant un gros ghetto blaster, il pourrait s'imaginer en plein milieu d'un mauvais concours de break dancing.
tous se tiennent le côté de l'abdomen en gémissant de douleur, poussant des cris perçants, suraigus et fatiguants. Ah non, c'est l'ambulance qu'il entend...
- Qu'on les emmène dans la cafétéria, je les examine TOUS en même temps...
Une fois la cafétéria vidée (elle est jamais bien pleine de toutes façons), le docteur rassemble son équipe et leur explique la situation.
- On a pas l'choix, on va tous les ouvrir en même temps, pour explorer leur cavité abdominale, afin de connaître la nature de leur mal...
Un homme s'éloigne du groupe.
- Où allez-vous comme ça? Tonne le docteur.
- Mais, je ne suis pas infirmier, je suis laveur de vitres!
- ON A BESOIN DE TOUT LE MONDE!
Le laveur de vitre reprend sa place dans le groupe.
- Prenez place, vite. Nous devons procéder rapidement. Allez! Allez! Grouillez-vous! À mon signal..trois, deux, un! OUVREZ!
Chaque membre de l'équipe s'exécute prestement. 24 patients, 23 entailles. Un squeegee, c'est n'est pas très coupant...
- Leur rate docteur, leur rate! S'exclame l'infirmière plantureuse du début de cette histoire...
- Elle est minuscule. De dire le laveur de vitres, plongeant sa main dans un jeune homme pour palper l'organe anormalement petit..
La figure du docteur change de couleur: il n'aime pas voir les rates, encore moins celles handicapées.
- Je me doutais que ça arriverait...LEs autorités nous avaient mis au courant: Leur rate a rapetissé parce qu'ils ont lu malaises en homonymes de Mailloux...Pauvres fous! Ils savaient ce à quoi ils s'exposaient en le faisant! Arrachez leur rate! Tout de suite...Ils ne méritent plus de rire...Noooooooon! Ça, c'est une vésicule biliaire! Prenez exemple sur le laveur de vitres, lui sait reconnaître les rates.
- Et les plates docteur!
- Hahahahahahahha! éructe le docteur
- Hahahahahhahahaha! l'imite le laveur de vitres
- hahahahahahahahaha! lance l'infirmière plantureuse
- hahahahahaha! de tenter un patient à moitié évanoui.
- Non, pas toi, tu n'as plus le droit de rire! d'imposer le docteur.
"Code GT-4823023005852 au troisième étage, Code GT-482...Quelqu'un qui meurt au troisième étage"
- Vite, de crier le docteur, allons sauver ce pauvre hère! Vous venez avec moi.
- Mais, je ne suis que laveur de vitres!
- je sais, mes lunettes ont besoin d'être nettoyées! Vous serez mon sidekick!
- Et moi, le grand Vitara!
- MAilloux, ta gueule!
- Docteur, faites vite! On a une urgence, une vraie, une vraie de vraie de vraie!
- Oui garde, rhabillez-vous et allons voir de quoi il en retourne!
le docteur évite habilement les patients allongés sur les civières trop étroites, frayant son chemin au milieu des infections et des plaies de lit. Un Code D-FM, ça n'arrive pas à tous les jours, ni même à toutes les années...
À l'urgence, l'ampleur du cas lui saute au visage. Le Doc, agile et vigoureux, pivote. L'ampleur s'pète la gueule dans la face d'une madame qui lit le Reader's Digest de septembre 1981.
Plusieurs personnes se tortillent par terre, devant la station de triage. En rajoutant un gros ghetto blaster, il pourrait s'imaginer en plein milieu d'un mauvais concours de break dancing.
tous se tiennent le côté de l'abdomen en gémissant de douleur, poussant des cris perçants, suraigus et fatiguants. Ah non, c'est l'ambulance qu'il entend...
- Qu'on les emmène dans la cafétéria, je les examine TOUS en même temps...
Une fois la cafétéria vidée (elle est jamais bien pleine de toutes façons), le docteur rassemble son équipe et leur explique la situation.
- On a pas l'choix, on va tous les ouvrir en même temps, pour explorer leur cavité abdominale, afin de connaître la nature de leur mal...
Un homme s'éloigne du groupe.
- Où allez-vous comme ça? Tonne le docteur.
- Mais, je ne suis pas infirmier, je suis laveur de vitres!
- ON A BESOIN DE TOUT LE MONDE!
Le laveur de vitre reprend sa place dans le groupe.
- Prenez place, vite. Nous devons procéder rapidement. Allez! Allez! Grouillez-vous! À mon signal..trois, deux, un! OUVREZ!
Chaque membre de l'équipe s'exécute prestement. 24 patients, 23 entailles. Un squeegee, c'est n'est pas très coupant...
- Leur rate docteur, leur rate! S'exclame l'infirmière plantureuse du début de cette histoire...
- Elle est minuscule. De dire le laveur de vitres, plongeant sa main dans un jeune homme pour palper l'organe anormalement petit..
La figure du docteur change de couleur: il n'aime pas voir les rates, encore moins celles handicapées.
- Je me doutais que ça arriverait...LEs autorités nous avaient mis au courant: Leur rate a rapetissé parce qu'ils ont lu malaises en homonymes de Mailloux...Pauvres fous! Ils savaient ce à quoi ils s'exposaient en le faisant! Arrachez leur rate! Tout de suite...Ils ne méritent plus de rire...Noooooooon! Ça, c'est une vésicule biliaire! Prenez exemple sur le laveur de vitres, lui sait reconnaître les rates.
- Et les plates docteur!
- Hahahahahahahha! éructe le docteur
- Hahahahahhahahaha! l'imite le laveur de vitres
- hahahahahahahahaha! lance l'infirmière plantureuse
- hahahahahaha! de tenter un patient à moitié évanoui.
- Non, pas toi, tu n'as plus le droit de rire! d'imposer le docteur.
"Code GT-4823023005852 au troisième étage, Code GT-482...Quelqu'un qui meurt au troisième étage"
- Vite, de crier le docteur, allons sauver ce pauvre hère! Vous venez avec moi.
- Mais, je ne suis que laveur de vitres!
- je sais, mes lunettes ont besoin d'être nettoyées! Vous serez mon sidekick!
- Et moi, le grand Vitara!
- MAilloux, ta gueule!
Malaise en homonymes
- Hé, Mailloux, t'es bon dans les jeux de langue! (ironiquement lancé)
- Ouais, j'frenche bien! (tout fier)
l'interlocuteur anonyme roule les yeux, empoigne son coutelas, mais le relâche en voyant le policier au coin de la rue...sacré mailloux, toujours aussi chanceux de survivre à ses mauvaises blagues!
- Ouais, j'frenche bien! (tout fier)
l'interlocuteur anonyme roule les yeux, empoigne son coutelas, mais le relâche en voyant le policier au coin de la rue...sacré mailloux, toujours aussi chanceux de survivre à ses mauvaises blagues!
Ma lèse en homo ni me
- J'sais pourquoi on ne voit jamais les skieurs de fonds...
- Ah oui, pourquoi donc?
- Parce qu'il faudrait qu'ils soient au dessus!
- Ah oui, pourquoi donc?
- Parce qu'il faudrait qu'ils soient au dessus!
Malle Aise an homme aux Nîmes
- Chuck Yeager a été le premier a traverser le mur du son tu sais!
- Ouin, pis ta grosse mère a défoncé l'plancher d'avoine!
- Ouin, pis ta grosse mère a défoncé l'plancher d'avoine!
dimanche 12 mars 2006
L'après-gig
J'viens de me lever, après m'être couché vers 5h du mat'.
Faut vraiment aimer jouer de la musique pour faire le circuit des bars: j'suis arrivé au bar vers 2h30 de l'après-midi samedi, pour installer le matériel et faire le test de son (qu'on a fait nous mêmes, avec notre matériel) et j'suis revenu à la maison à 4h15 du mat'...tout ça pour 90$.
Mais, pendant 3x45 minutes, les gars de Liverpool étaient les centres de l'univers au Brutopia (une brasserie artisanale, un peu comme Le Cheval Blanc, le sergent recruteur je dirais.)
Y'avait plein de gens qui dansaient!
Anyway. J'aime ça, faire de la musique, sauf quand des gars saoûls, mais sympathiques, s'essaient sur Catherine, qui pointe désespérement sa bague et moi sur le stage pour faire comprendre qu'elle est prise :O)
J'vais aller déjeûner.
J'ai hâte à la prochaine fois!
Faut vraiment aimer jouer de la musique pour faire le circuit des bars: j'suis arrivé au bar vers 2h30 de l'après-midi samedi, pour installer le matériel et faire le test de son (qu'on a fait nous mêmes, avec notre matériel) et j'suis revenu à la maison à 4h15 du mat'...tout ça pour 90$.
Mais, pendant 3x45 minutes, les gars de Liverpool étaient les centres de l'univers au Brutopia (une brasserie artisanale, un peu comme Le Cheval Blanc, le sergent recruteur je dirais.)
Y'avait plein de gens qui dansaient!
Anyway. J'aime ça, faire de la musique, sauf quand des gars saoûls, mais sympathiques, s'essaient sur Catherine, qui pointe désespérement sa bague et moi sur le stage pour faire comprendre qu'elle est prise :O)
J'vais aller déjeûner.
J'ai hâte à la prochaine fois!
vendredi 10 mars 2006
un mp3 player
bonjour amis technophiles.
j'aimerais ajouter un mp3 player dans la colonne de droite...pour des podcasts et des tounes.
comment je fais?
j'aimerais ajouter un mp3 player dans la colonne de droite...pour des podcasts et des tounes.
comment je fais?
mardi 7 mars 2006
Liverpool en spectacle
Liverpool (www.liverpoolcoverband.com) groupe de covers d'influence brit-pop en spectacle!
où: Brutopia , 1219 Crescent
quand: samedi 11 mars 2006
quand 2: 22h (premier set)
venez, c'est l'fun:O)
(trèèèèès vendeur ça!)
dimanche 5 mars 2006
mettre les choses au clair
Y'a certains chroniqueurs musique de montréal (ben un, me semble que c'est philippe renaud de la presse) qui trouvent que le nouvel album de karkwa "sonne" trop comme radiohead.
Euh...
J'aime 19239549-534095623 de fois mieux un groupe québécois qui s'inspire de Radiohead qu'un autre artiste dont on taira le nom (qui s'termine par ...ric Lapointe) qui nous sert du sous bon jovi depuis des années, que la Chicane, noir silence et autres groupes/artistes du même acabit.
Y'a pas juste malajube qui fait du bon rock contemporain en français...
Y'a karkwa.
(pis moi aussi! ;o))
Euh...
J'aime 19239549-534095623 de fois mieux un groupe québécois qui s'inspire de Radiohead qu'un autre artiste dont on taira le nom (qui s'termine par ...ric Lapointe) qui nous sert du sous bon jovi depuis des années, que la Chicane, noir silence et autres groupes/artistes du même acabit.
Y'a pas juste malajube qui fait du bon rock contemporain en français...
Y'a karkwa.
(pis moi aussi! ;o))
samedi 4 mars 2006
Une fois pour toutes.
Y'a-ti quelqu'un qui peut m'expliquer l'allégorie :first base, second base, third base" quand on parle de sexe...
Selon moi, c'est:
first base: embrasser
second base: taponnage léger
third base: sexe oral
homerun: baiser
J'ti dans l'champs?
(mon dieu, ne suis-je pas drôle avec cette question?!!!....
Non...pas du tout.)
Selon moi, c'est:
first base: embrasser
second base: taponnage léger
third base: sexe oral
homerun: baiser
J'ti dans l'champs?
(mon dieu, ne suis-je pas drôle avec cette question?!!!....
Non...pas du tout.)
Ouch!
Mal de bloc.
Rhume.
Crise de foie.
mal de blogue.
brumes.
crise de foi.
J'me débloque.
Agrumes
Crisse, des fois.
Rhume.
Crise de foie.
mal de blogue.
brumes.
crise de foi.
J'me débloque.
Agrumes
Crisse, des fois.
mercredi 1 mars 2006
Titres de livres qui ne seront probablement jamais écrits
- les skinheads sont gentils quand on les flatte dans le sens du poil
- 29,95$, c'est pour cher pour lire de la crap de psycho-pop
-Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent pas souvent
-Mon autobiographie Non-autorisée...
- La masturbation des manchots.
- Traité psycho-social des pantalons 3 fois trop grands des ados
- 29,95$, c'est pour cher pour lire de la crap de psycho-pop
-Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent pas souvent
-Mon autobiographie Non-autorisée...
- La masturbation des manchots.
- Traité psycho-social des pantalons 3 fois trop grands des ados
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