C'est un de ces matins où rien ne va: le train prend du retard, le métro est bondé, il faut froid sur le quai, on s'retrouve dans les tropiques à l'intérieur du wagon, y'a les odeurs de dizaines d'aisselles qui t'assaillent les narines, tu t'fais piler sur le pieds...
Au moins, t'as ton iPod, que t'as rechargé juste avant de partir de la maison.
La machine est au fond de ma poche, je suis obligé de changer les pièces en cliquant au travers du tissu, alors j'vois pas les titres.
Et j'entends le début de la magnifique et mal-aimée "Uncle Fucka"
"Shut your fucking face Uncle fucka....
You're a cock sucking ass licking uncle fucka
You're an uncle fucka, yes its true
Nobody fucks uncles quite like you"
Comme cette exubérance de fourrage d'oncle me fait sourire, je laisse la chanson: un peu de bonheur en ce matin si cyniquement agréable me fera du bien...
Arrive le solo de pets (pour ceux qui ne connaissent pas, je fais référence à un solo de flatulences....)....
Je me mets à regarder les passagers de l'heure de pointe, m'imagineant que ce sont eux, les péteurs de la chanson!
Le businessman et ses pets pincés, le jeune ado aux pets sonores, la demoiselle qui s'échappe et ne s'excuse pas.
Après la chanson, je ne regardais plus les gens de mon wagon de la même manière....
lundi 3 décembre 2007
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
1 commentaire:
LOL! Est-ce que leurs têtes s'ouvraient sur le côté losqu'ils parlaient?
Publier un commentaire