...pour quitter monsieur steak haché!
- Tu es devenu un boulet pour moi!
- Je t'ai vu hier, avec Miss Macaroni! Tu as mis la main à la pâte!
- Tu te mêles de mes oignons!
- T'as toujours un air de boeuf...
- T'es ordinaire pis moi, extra-maigre...
- tu ne veux plus qu'on s'allonge...
- Tu me dis toujours: t'es bonne à rien!
- J'suis amoureuse d'une patate!
- J'en ai assez de me faire griller!
- Tous les....
TA YEULE MAILLOUX! T'es pas drôle!
- oui, voix dans ma tête...
vendredi 29 avril 2005
Réflexions
Demain, ce sera mon anniversaire.
29 ans, pas toutes mes dents (les dents de sagesse remplacent-elles la palette perdue en secondaire un?)
Bizarrement, je ne suis pas excité comme je le suis habituellement…L’âge, la, ahem, sagesse? Sûrement pas la maturité, j’suis tombé à côté du chaudron quand c’était en service.
Non, je ne sais pas….C’est pas la peur de vieillir, c’est certain. Chaque âge que j’vis est le meilleur pour moi. Je ne voudrais pas avoir 18 ans demain, ni 42. 29. C’est là que je suis rendu, c’est là que je suis bien.
Peut-être une certaine sérénité, un repos avant de rebondir vers quelque chose de nouveau, de plus grand? Une satiété de mon appétit, un plateau?
J’suis à un drôle d’endroit présentement : j’ai ce que j’ai toujours voulu (une femme, un toit que j’aime, un emploi stable, des endroits pour m’éclater) et en même temps, j’prépare la salve pour la deuxième offensive : une compagnie à-moi-pas-d’patron, un disque qui sonne, une famille, un toit que je possède.
C’est peut-être ça, la crise de la trentaine, ou c’est quelque chose d’autre aussi.
J’suis peut-être juste bien, sur mon p’tit nuage, capable de rester calme quand y’a des remous?
J’me souviens, un des derniers partys qu’j’ai fait. Tout l’monde jasait dans l’salon, c’était animé, y’avait du feu partout. Moi, j’étais dans le cadre de porte entre la cuisine et l’salon, empêtré dans l’rideau en bois, un verre de Jean-le-Marcheur dans les mains, un sourire qui m’fendait la face. Juste content que mon monde le soit.
J’suis p’t’être là. Pas à répandre mon bonheur pis à l’tapisser en pleine face de tout l’monde, mais à apprécier ce qu’il m’apporte et en donner un peu aux autres, à me repaître du leur.
J’suis pas un gars compliqué, m’en faut pas gros pour être heureux….
------------------------
Ma cousine Mélanie fête ses 31 ans aujourd’hui. ON a deux ans et 1 jour de différence. Sur les photos d’anniversaires fêtés en famille, j’suis toujours renfrogné et mélanie sourit de toutes ses dents.
Il y a toujours notre gâteau d’anniversaire devant nous, où il est écrit : bonne fête Mélanie et, en plus petit, et aussi frédo.
J’trippais tellement! (lire cette phrase à voix haute avec tout le sarcasme du monde)
Un jour, j’ai revendiqué ma fête à moi seul, avec mon gâteau de gars juste à moi. 8 ans que j’allais avoir.
J’ai eu un énorme gâteau en forme de ET, qui a duré des seeeeeeeeeeemaines! J’l’ai fini, même s’il était relativement sec les derniers jours. C’était mon premier vrai gâteau, dans la famille.
----------------------
J’me demande si aujourd'hui, Mélanie est heureuse.
-------------------
Cath se reprend de belle façon pour mes anniversaires en duo : on me fête pendant 4-5 jours! Y’a une grande banderole dans le long corridor chenous, des cadeaux et des p’tites attentions partout…
---------------------------
C’est l’fun quand c'est ma fête, dommage que j’en aie qu’une par année…
29 ans, pas toutes mes dents (les dents de sagesse remplacent-elles la palette perdue en secondaire un?)
Bizarrement, je ne suis pas excité comme je le suis habituellement…L’âge, la, ahem, sagesse? Sûrement pas la maturité, j’suis tombé à côté du chaudron quand c’était en service.
Non, je ne sais pas….C’est pas la peur de vieillir, c’est certain. Chaque âge que j’vis est le meilleur pour moi. Je ne voudrais pas avoir 18 ans demain, ni 42. 29. C’est là que je suis rendu, c’est là que je suis bien.
Peut-être une certaine sérénité, un repos avant de rebondir vers quelque chose de nouveau, de plus grand? Une satiété de mon appétit, un plateau?
J’suis à un drôle d’endroit présentement : j’ai ce que j’ai toujours voulu (une femme, un toit que j’aime, un emploi stable, des endroits pour m’éclater) et en même temps, j’prépare la salve pour la deuxième offensive : une compagnie à-moi-pas-d’patron, un disque qui sonne, une famille, un toit que je possède.
C’est peut-être ça, la crise de la trentaine, ou c’est quelque chose d’autre aussi.
J’suis peut-être juste bien, sur mon p’tit nuage, capable de rester calme quand y’a des remous?
J’me souviens, un des derniers partys qu’j’ai fait. Tout l’monde jasait dans l’salon, c’était animé, y’avait du feu partout. Moi, j’étais dans le cadre de porte entre la cuisine et l’salon, empêtré dans l’rideau en bois, un verre de Jean-le-Marcheur dans les mains, un sourire qui m’fendait la face. Juste content que mon monde le soit.
J’suis p’t’être là. Pas à répandre mon bonheur pis à l’tapisser en pleine face de tout l’monde, mais à apprécier ce qu’il m’apporte et en donner un peu aux autres, à me repaître du leur.
J’suis pas un gars compliqué, m’en faut pas gros pour être heureux….
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Ma cousine Mélanie fête ses 31 ans aujourd’hui. ON a deux ans et 1 jour de différence. Sur les photos d’anniversaires fêtés en famille, j’suis toujours renfrogné et mélanie sourit de toutes ses dents.
Il y a toujours notre gâteau d’anniversaire devant nous, où il est écrit : bonne fête Mélanie et, en plus petit, et aussi frédo.
J’trippais tellement! (lire cette phrase à voix haute avec tout le sarcasme du monde)
Un jour, j’ai revendiqué ma fête à moi seul, avec mon gâteau de gars juste à moi. 8 ans que j’allais avoir.
J’ai eu un énorme gâteau en forme de ET, qui a duré des seeeeeeeeeeemaines! J’l’ai fini, même s’il était relativement sec les derniers jours. C’était mon premier vrai gâteau, dans la famille.
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J’me demande si aujourd'hui, Mélanie est heureuse.
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Cath se reprend de belle façon pour mes anniversaires en duo : on me fête pendant 4-5 jours! Y’a une grande banderole dans le long corridor chenous, des cadeaux et des p’tites attentions partout…
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C’est l’fun quand c'est ma fête, dommage que j’en aie qu’une par année…
Les cd's en attente
"Méchant! Dans l'coin! Enweye! Recharge toi sur l'firewire!"
Ouin, j'ai quelques cd's en attente d'écoute, mais depuis que j'ai le Goudronneur, j'délaisse les galettes!
Faut que j'trouve du temps pour écouter Nucléaire de Perreault et le cd de Martha Wainwright....
Shit...
"Méchant Goudronneur! Tu m'fais écouter et redécouvrir ben des chansons, mais faut que j'en entre des nouvelles dans ma caboche!"
Ouin, j'ai quelques cd's en attente d'écoute, mais depuis que j'ai le Goudronneur, j'délaisse les galettes!
Faut que j'trouve du temps pour écouter Nucléaire de Perreault et le cd de Martha Wainwright....
Shit...
"Méchant Goudronneur! Tu m'fais écouter et redécouvrir ben des chansons, mais faut que j'en entre des nouvelles dans ma caboche!"
Commentons l'actualité avec Frédéric II
Oiseau disparu et retrouvé
Il était sur ma main...Sous ma main...Sur ma main...sous ma main...
L'accueil Bonneau dérange le quartier
C'est vrai que c'est difficile, la vie, dans un loft de 300 000$!
Debbie Rowe défend son ex-mari (Michael Jackson)
Il est pas capable tu-seul!
La Fondation Trudeau honore trois professeurs
Par un coup de pied dans les couilles?
Montréal harmonise ses mesures d'urgence
La police sur un DO, les pompiers sur un FA pis les ambulances sur un LA.
79 logements pour les itinérants
C'est pas une contradiction, des logements pour des itinérants?
L'entente serait imminente selon Charest
Il a raison. Tout le monde est d'accord pour lui dire DEWORS!
Un nouveau gouvernement libéral serait légitime
HAHAHAHAHAHAHHAHAHAHHAHAHAHAHHAHAHAH!
Vladimir POutine défend ses choix
Une italienne extra-saucisse, camarade!
Thornton tranche en fin de match
Sur le banc, il prépare des sandwiches au salami
Il était sur ma main...Sous ma main...Sur ma main...sous ma main...
L'accueil Bonneau dérange le quartier
C'est vrai que c'est difficile, la vie, dans un loft de 300 000$!
Debbie Rowe défend son ex-mari (Michael Jackson)
Il est pas capable tu-seul!
La Fondation Trudeau honore trois professeurs
Par un coup de pied dans les couilles?
Montréal harmonise ses mesures d'urgence
La police sur un DO, les pompiers sur un FA pis les ambulances sur un LA.
79 logements pour les itinérants
C'est pas une contradiction, des logements pour des itinérants?
L'entente serait imminente selon Charest
Il a raison. Tout le monde est d'accord pour lui dire DEWORS!
Un nouveau gouvernement libéral serait légitime
HAHAHAHAHAHAHHAHAHAHHAHAHAHAHHAHAHAH!
Vladimir POutine défend ses choix
Une italienne extra-saucisse, camarade!
Thornton tranche en fin de match
Sur le banc, il prépare des sandwiches au salami
jeudi 28 avril 2005
Les ani-mots
Eh oui, des jeux de mots avec des noms d'animaux!
Avec ce tapis le drum adhère à la scène
On mange du brocoli! Oh, pas ça m'man! je hais ça!
Ses seins, je les aime.
à l'école, les gars riyent de moé à cause de mon plusse pire franças!
Tu as tort!
ça, c'est une vrai isthme, it's a true isthm...
Regarde! Mon père hoquete!
s'il gerbe, il le ramasse!
Tasse toé le chien, c'est là que j'm'asseois!
Jacob rase sa barbe
quand on les trempe dans l'eau, les écus rouillent...(ouf!)
T'as mis a plante dehors?
Elle, j'y ra'frais le visage!
Si on lit, on apprend
Hé, les fanfares, ça fait du bruit!
Les rumeurs, faut faire attention pour pas les ébruiter.
Bon, c'est assez les niaiseries!
Avec ce tapis le drum adhère à la scène
On mange du brocoli! Oh, pas ça m'man! je hais ça!
Ses seins, je les aime.
à l'école, les gars riyent de moé à cause de mon plusse pire franças!
Tu as tort!
ça, c'est une vrai isthme, it's a true isthm...
Regarde! Mon père hoquete!
s'il gerbe, il le ramasse!
Tasse toé le chien, c'est là que j'm'asseois!
Jacob rase sa barbe
quand on les trempe dans l'eau, les écus rouillent...(ouf!)
T'as mis a plante dehors?
Elle, j'y ra'frais le visage!
Si on lit, on apprend
Hé, les fanfares, ça fait du bruit!
Les rumeurs, faut faire attention pour pas les ébruiter.
Bon, c'est assez les niaiseries!
Départ pour Montréal
J'ai fait mon secondaire dans un pensionnat, 1 an de cégep à québec et le reste à 3rivières. Pour l'université, j'voulais partir de cette petite ville qui m'étouffait. Pas qu'elle est mauvaise, non, mais pour moi, c'était pas assez grand, ni assez loin. J'avais besoin d'air, pour devenir ce que je voulais devenir.
Mes deux premiers choix d'universités étaient celle de St-Boniface, au Manitoba et celle de Moncton, au Nouveau-Brunswick. Disons que c'est pas la porte à côté. Plusieurs facteurs sont entrés en ligne de compte pour ma décision finale. J'ai choisi l'UQAM. 1h30 de route (pour les pas vites!) et assez de dépaysement pour une vie entière.
Choisi l'appart' dans côte-des-neiges, déménagé mes meubles et les gros trucs pendant l'été. Ne restait que moi, mes vêtements et mon ordi. J'bourre Popsicle de mon bardas, j'dis bye à mon papa et à ma maman. C'est que la maman de Ge, ma blonde du temps, avait préparé un souper de départ pour moi. Mes parents en avaient fait un quelques jours auparavant.
- Enweye, vas-t'en, que me dit mon père, sur un ton assez brusque.
j'marche jusqu'à la porte d'entrée, où ma mère m'attend.
- Salut, le pas-capable-de-montrer-ses-émotions!
Ma mère me fait des groooooooooooos yeux! Elle me suit dehors, pose les questions d'usage:"as-tu assez d'argent? T'as toutes tes affaires?" Elle me fait un gros calins et me dit:
- tu sais, c'est pas facile pour lui, pis c'est pas bon pour son coeur que tu lui parles comme ça.
-Ouin...j'vais aller le voir, m'excuser...
Ma mère reste dehors. J'entre dans la maison sans faire de bruit. La télé crache ses sons imbéciles. J'entends rien d'autre que ça. J'avance discrètement vers la cuisine. J'étire le cou pour voir...Mon père est debout, une main sur le vaissellier, pour assurer son équilibre. Son coprs est secoué de soubresauts. Il a le visage écarlate, comme un homard qui sort du chaudron.
Je m'approche de lui et spontanément, il m'engouffre dans ses grands et gros bras. Ses grandes paluches tapent mon dos. Il me serre fort, mon papa. Et il pleure.
- J'suis tellement fier de toi. Tellement.
Il a rien dit d'autre.
J'me défais de son étreinte. Ma mère est dans l'espace qui sépare la cuisine de la salle à manger. Elle comprend qu'elle ne peut pas faire partie de ce moment-là, une complicité virile, un dernier retranchement masculin, quand le père se rend compte que son fils vient de passer une étape de plus sur le chemin pour devenir un homme. Et qu'en plus, il lui fait part de sa fierté. Elle est un peu jalouse de ça aussi. Mais ma relation avec elle est beaucoup plus émotive et beaucoup plus intellectuelle que celle que je vis avec mon père. papa et moi, c'est de l'instinct pur. Deux bêtes sauvages, deux taureaux orgueilleux qui s'battent pour être le plus fort.
J'embrasse une dernière fois maman, je ressors et j'saute dans ma voiture.
Même si ça n'prenait que 5-6 minutes me rendre chez Ge, ça en a pris une dizaine ce dimanche-là. J'me suis arrêté sur Pie-XII, là où y'avait pas encore de maison, et j'ai pleuré un coup. Une fois le moton passé, j'suis reparti.
On a mangé de la salade César...C'était la première fois pour moi.
Pendant deux ans, je revenais régulièrement chez mes parents. Tous les week-ends, les étés aussi. J'remballais mes affaires et j'reprenais possession de ma chambre le temps d'une jobine. Jusqu'à ce que je trouve le 5023, ma maison, mon chez-moi.
Mes deux premiers choix d'universités étaient celle de St-Boniface, au Manitoba et celle de Moncton, au Nouveau-Brunswick. Disons que c'est pas la porte à côté. Plusieurs facteurs sont entrés en ligne de compte pour ma décision finale. J'ai choisi l'UQAM. 1h30 de route (pour les pas vites!) et assez de dépaysement pour une vie entière.
Choisi l'appart' dans côte-des-neiges, déménagé mes meubles et les gros trucs pendant l'été. Ne restait que moi, mes vêtements et mon ordi. J'bourre Popsicle de mon bardas, j'dis bye à mon papa et à ma maman. C'est que la maman de Ge, ma blonde du temps, avait préparé un souper de départ pour moi. Mes parents en avaient fait un quelques jours auparavant.
- Enweye, vas-t'en, que me dit mon père, sur un ton assez brusque.
j'marche jusqu'à la porte d'entrée, où ma mère m'attend.
- Salut, le pas-capable-de-montrer-ses-émotions!
Ma mère me fait des groooooooooooos yeux! Elle me suit dehors, pose les questions d'usage:"as-tu assez d'argent? T'as toutes tes affaires?" Elle me fait un gros calins et me dit:
- tu sais, c'est pas facile pour lui, pis c'est pas bon pour son coeur que tu lui parles comme ça.
-Ouin...j'vais aller le voir, m'excuser...
Ma mère reste dehors. J'entre dans la maison sans faire de bruit. La télé crache ses sons imbéciles. J'entends rien d'autre que ça. J'avance discrètement vers la cuisine. J'étire le cou pour voir...Mon père est debout, une main sur le vaissellier, pour assurer son équilibre. Son coprs est secoué de soubresauts. Il a le visage écarlate, comme un homard qui sort du chaudron.
Je m'approche de lui et spontanément, il m'engouffre dans ses grands et gros bras. Ses grandes paluches tapent mon dos. Il me serre fort, mon papa. Et il pleure.
- J'suis tellement fier de toi. Tellement.
Il a rien dit d'autre.
J'me défais de son étreinte. Ma mère est dans l'espace qui sépare la cuisine de la salle à manger. Elle comprend qu'elle ne peut pas faire partie de ce moment-là, une complicité virile, un dernier retranchement masculin, quand le père se rend compte que son fils vient de passer une étape de plus sur le chemin pour devenir un homme. Et qu'en plus, il lui fait part de sa fierté. Elle est un peu jalouse de ça aussi. Mais ma relation avec elle est beaucoup plus émotive et beaucoup plus intellectuelle que celle que je vis avec mon père. papa et moi, c'est de l'instinct pur. Deux bêtes sauvages, deux taureaux orgueilleux qui s'battent pour être le plus fort.
J'embrasse une dernière fois maman, je ressors et j'saute dans ma voiture.
Même si ça n'prenait que 5-6 minutes me rendre chez Ge, ça en a pris une dizaine ce dimanche-là. J'me suis arrêté sur Pie-XII, là où y'avait pas encore de maison, et j'ai pleuré un coup. Une fois le moton passé, j'suis reparti.
On a mangé de la salade César...C'était la première fois pour moi.
Pendant deux ans, je revenais régulièrement chez mes parents. Tous les week-ends, les étés aussi. J'remballais mes affaires et j'reprenais possession de ma chambre le temps d'une jobine. Jusqu'à ce que je trouve le 5023, ma maison, mon chez-moi.
Note pour le CIO
le seau en longueur, par chez nous, c'est une baignoire
le sot en hauteur, c'est le grand Tremblay
J'voulais juste vous informer...
le sot en hauteur, c'est le grand Tremblay
J'voulais juste vous informer...
mercredi 27 avril 2005
Enquiquineur
Enquiquineur de vulnérable
Qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur,
Enquiquineur de vulnérable
Sur la route intrinsèquement
Tu guettes tous les passants
Sur la route intrinsèquement
Tu quêtes de l’argent
Mais qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur
Mais qui t’as permis de m’arrêter
Moi, j’faisais toutte pour t’éviter
Sur ma route enquiquineur
Enquiquineur de vulnérable
Qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur,
Enquiquineur de vulnérable
J’sais qu’c’est ta façon d’faire des contacts
De t’intégrer dans société
J’sais qu’cest ta façon d’faire des contacts
Mais qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur
Enquiquineur de vulnérable
Qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur,
Enquiquineur de vulnérable
C’est-y notre faute? La faute à qui?
La société technocratique? J’sais-tu moé…
Tu me d’mandes trente sous, j’t’en donne quatre
Pas pour que tu t’souviennes de ma face
Mais pour que j’puisse oublier la tienne
J’marche un peu plus vite, pour me fondre à la masse
Mais t’es tellement habitué…
J’aime pas ça m’arrêter d’même
Me faire déranger la société par toé
Y’en-a-t-y des bons quêteux?
Pis sont où…
Y’a l’gaspésien sur Mont-Royal
Qui danse en chantant : « Un p’tit peu de l’argent »
Pis l’vieux avec son oiseau sur St-denuis
Le gars à l’ouverture du subway
À notre table
Y’a des bons quêteux
Y’en a tellement ça t’fait plaisir d’y donner de ton argent
Y’en a tellement ça t’fait plaisir
« Monsieur, me donneriez-vous l’aumône, afin que j’revienne au monde ? »
Revenir au monde
paroles: CFC et FM
musique: FM
Qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur,
Enquiquineur de vulnérable
Sur la route intrinsèquement
Tu guettes tous les passants
Sur la route intrinsèquement
Tu quêtes de l’argent
Mais qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur
Mais qui t’as permis de m’arrêter
Moi, j’faisais toutte pour t’éviter
Sur ma route enquiquineur
Enquiquineur de vulnérable
Qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur,
Enquiquineur de vulnérable
J’sais qu’c’est ta façon d’faire des contacts
De t’intégrer dans société
J’sais qu’cest ta façon d’faire des contacts
Mais qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur
Enquiquineur de vulnérable
Qui t’as permis de m’arrêter
Sur ma route enquiquineur,
Enquiquineur de vulnérable
C’est-y notre faute? La faute à qui?
La société technocratique? J’sais-tu moé…
Tu me d’mandes trente sous, j’t’en donne quatre
Pas pour que tu t’souviennes de ma face
Mais pour que j’puisse oublier la tienne
J’marche un peu plus vite, pour me fondre à la masse
Mais t’es tellement habitué…
J’aime pas ça m’arrêter d’même
Me faire déranger la société par toé
Y’en-a-t-y des bons quêteux?
Pis sont où…
Y’a l’gaspésien sur Mont-Royal
Qui danse en chantant : « Un p’tit peu de l’argent »
Pis l’vieux avec son oiseau sur St-denuis
Le gars à l’ouverture du subway
À notre table
Y’a des bons quêteux
Y’en a tellement ça t’fait plaisir d’y donner de ton argent
Y’en a tellement ça t’fait plaisir
« Monsieur, me donneriez-vous l’aumône, afin que j’revienne au monde ? »
Revenir au monde
paroles: CFC et FM
musique: FM
Fouilles archéologiques
En fouillant dans mon nez, j'ai trouvé....
une paire de ciseaux, des bonhommes playmobil, du jambon haché, du jambon cuit, des fémurs de lémuriens, une tondeuse, 4 épis de maïs (sans les grains), un 286 sans écran, une corde à sauter, un ring de boxe, quelques sous noirs et deux blancs, un soulier de basket, un walkie-talkie (j'le cherchais depuis loooongtemps), une boîte de thon et 3 autos matchbox...
1- il était temps que j'fasse le ménage dans mon nez
2- j'le croyais pas si grand que ça...
je devrais l'offrir à un promoteur immobilier, ça f'rait des beaux lofts...
une paire de ciseaux, des bonhommes playmobil, du jambon haché, du jambon cuit, des fémurs de lémuriens, une tondeuse, 4 épis de maïs (sans les grains), un 286 sans écran, une corde à sauter, un ring de boxe, quelques sous noirs et deux blancs, un soulier de basket, un walkie-talkie (j'le cherchais depuis loooongtemps), une boîte de thon et 3 autos matchbox...
1- il était temps que j'fasse le ménage dans mon nez
2- j'le croyais pas si grand que ça...
je devrais l'offrir à un promoteur immobilier, ça f'rait des beaux lofts...
Un souvenir
dans mes cahiers O-pee-chee, beaucoup de joueurs de hockey arboraient la moustache. en fait, quand j'étais un enfant, être un homme impliquait porter la moustache...ou presque
J'aime mieux être un homme en 2005...
J'aime mieux être un homme en 2005...
Mode d'emploi
Pour un baiser de tyrannosaure:
1. Les deux moitiés, la douce et la rugueuse, ouvre leur bouche au maximum de la capacité d'étirement des tendons et muscles
2. Ils laissent échapper un cri guttural et continu, genre: "raaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah".
3. Ils collent leurs bouches grandes ouvertes, tout en conservant le cri primal.
4. Le baiser s'arrête quand une des deux moitiés s'esclaffe.
1. Les deux moitiés, la douce et la rugueuse, ouvre leur bouche au maximum de la capacité d'étirement des tendons et muscles
2. Ils laissent échapper un cri guttural et continu, genre: "raaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah".
3. Ils collent leurs bouches grandes ouvertes, tout en conservant le cri primal.
4. Le baiser s'arrête quand une des deux moitiés s'esclaffe.
Comment on fait?
Pour consoler une madame qui pleure dans le métro?
Ce matin, une madame fin quarantaine/début cinquantaine ( j'ose évaluer l'âge, mais c'est hasardeux de le faire, les femmes deviennent des panthères quand on s'trompe, surtout à la hausse) donc une madame était assise à quelques bancs de moi. Elle regardait par la fenêtre, sûrement pas le beau paysage. De temps en temps, elle essuyait discrètement des larmes naissantes au coin de son oeil. Manifestement, elle se retenait.
J'ai essayé de capter son attention dans le reflet de la vitre, de faire des p'tits sourires poches pour lui montrer ma sympathie face à son désarroi inconnu. Elle est sortie à McGill, avec la moitié du wagon.
J'espère que ça va bien aller.
Ce matin, une madame fin quarantaine/début cinquantaine ( j'ose évaluer l'âge, mais c'est hasardeux de le faire, les femmes deviennent des panthères quand on s'trompe, surtout à la hausse) donc une madame était assise à quelques bancs de moi. Elle regardait par la fenêtre, sûrement pas le beau paysage. De temps en temps, elle essuyait discrètement des larmes naissantes au coin de son oeil. Manifestement, elle se retenait.
J'ai essayé de capter son attention dans le reflet de la vitre, de faire des p'tits sourires poches pour lui montrer ma sympathie face à son désarroi inconnu. Elle est sortie à McGill, avec la moitié du wagon.
J'espère que ça va bien aller.
mardi 26 avril 2005
le E est muuuuuuuuet!
J'hayis ça quand des chanteurs (Claude Dubois est le premier coupable qui me vient à l'esprit) prononcent des "E" muets, pour que leur mélodie fitte.
la viiiiiiieEUH
GRRRRRRRRR!!!!!!!!!
ou encore pire, comme dans ma vie à l'heure, des respectables...
j'attendais de tes nouvelleEs
J'attendais ton appelE
ça n'a juste pas d'allureEUH
Non mais, si tout l'monde s'met à prononcer des E muet, jvais capoter!
StationE BerriE-UQAMEUH
Un chausson aux pommes avec çaEUH?
......
Comme ça va être une mode cool, venuEUH d'un pays cool, les anglos vont l'adopter....On va avoir des E muets parlés en anglais aussi...
Comme le reste de la planète copie les américains, TOUS les linguistes de TOUTES les langues vont déclarer le E muet...plus muet!
SHIT!
Claude Dubois va avoir une incidence majeure sur l'humanité, pis pas juste pour ses chansons (quoique Bébé jajou la toune, c'est dérangeant côté linguistique...)
Tout, mais tout va être bouleversé: l'affichage, la syntaxe, l'orthographe...
Y va y avoir des guerres...j'suis certain!
Tous aux abris...
NDR: D'agacé, j'suis passé à alarmiste en quelques phrases...J'vais aller prendre un bain chaud avec mes canards et autres animaux en plastique. Peut-être me faire faire des pets su'l'ventre aussi. ça m'relaxe.
la viiiiiiieEUH
GRRRRRRRRR!!!!!!!!!
ou encore pire, comme dans ma vie à l'heure, des respectables...
j'attendais de tes nouvelleEs
J'attendais ton appelE
ça n'a juste pas d'allureEUH
Non mais, si tout l'monde s'met à prononcer des E muet, jvais capoter!
StationE BerriE-UQAMEUH
Un chausson aux pommes avec çaEUH?
......
Comme ça va être une mode cool, venuEUH d'un pays cool, les anglos vont l'adopter....On va avoir des E muets parlés en anglais aussi...
Comme le reste de la planète copie les américains, TOUS les linguistes de TOUTES les langues vont déclarer le E muet...plus muet!
SHIT!
Claude Dubois va avoir une incidence majeure sur l'humanité, pis pas juste pour ses chansons (quoique Bébé jajou la toune, c'est dérangeant côté linguistique...)
Tout, mais tout va être bouleversé: l'affichage, la syntaxe, l'orthographe...
Y va y avoir des guerres...j'suis certain!
Tous aux abris...
NDR: D'agacé, j'suis passé à alarmiste en quelques phrases...J'vais aller prendre un bain chaud avec mes canards et autres animaux en plastique. Peut-être me faire faire des pets su'l'ventre aussi. ça m'relaxe.
TA FACE
TA FACE
J'suis venu rejoindre dans notre vieux bar,
ma gang de bons amis.
quatre ou cinq bières plus tard,
Y'est passé une heure et demie.
Les deux pieds su'l'trottoir le corps dans l'air de Mars,
Faut qu'j'm'en retourne à mon char, y'a trop d'souvenirs dans place.
Les putes m'sourient les pieds dans slosh;
j's'rai pas client ce soir.
deux gars jouent au plus fort la poche;
dans quelques instants, ce s'ra pas beau à voir.
J'voudrais jouer à l'état policier mais jai des besoins plus urgents.
comme oublier et effacer ta face d'enterrement.
En deux coins d'rue j'croise au moins cent vies
pis toi tu m'as pas dit salut, ça f'ra un an samedi
Pas même un mot pour me dire "à la prochaine".
Pas d'cassette vidéo pour m'expliquer ta peine...
J'aurai compris avec le temps
que tu voulais pas m'faire de mal
Tous les jours j'vois ta face d'enterrement
ton beau "suit", dans ta boîte en métal
En deux coins d'rue j'croise au moins cent vies
pis toi tu m'as pas dit salut, ça f'ra un an samedi
paroles et musique: FM
J'suis venu rejoindre dans notre vieux bar,
ma gang de bons amis.
quatre ou cinq bières plus tard,
Y'est passé une heure et demie.
Les deux pieds su'l'trottoir le corps dans l'air de Mars,
Faut qu'j'm'en retourne à mon char, y'a trop d'souvenirs dans place.
Les putes m'sourient les pieds dans slosh;
j's'rai pas client ce soir.
deux gars jouent au plus fort la poche;
dans quelques instants, ce s'ra pas beau à voir.
J'voudrais jouer à l'état policier mais jai des besoins plus urgents.
comme oublier et effacer ta face d'enterrement.
En deux coins d'rue j'croise au moins cent vies
pis toi tu m'as pas dit salut, ça f'ra un an samedi
Pas même un mot pour me dire "à la prochaine".
Pas d'cassette vidéo pour m'expliquer ta peine...
J'aurai compris avec le temps
que tu voulais pas m'faire de mal
Tous les jours j'vois ta face d'enterrement
ton beau "suit", dans ta boîte en métal
En deux coins d'rue j'croise au moins cent vies
pis toi tu m'as pas dit salut, ça f'ra un an samedi
paroles et musique: FM
Rencontre du premier type
Je t’ai repéré, à une dizaine de pas devant moi. Toi, ça faisait déjà longtemps que tu attendais. Les yeux grands ouverts, à l’affût d’un regard bienveillant ou encore mieux, d’une pièce déposée dans ta main tendue.
Moi, j’enfonce un peu plus les boutons des écouteurs dans mes oreilles, pour ne pas me faire déranger : j’ai une destination à atteindre dans un laps de temps précis et rien ne me fera détourner de mon chemin ou, encore pire, ralentir mon rythme.
Pourtant, à huit pas de toi, ton sourire édenté m’accroche. Malgré la tristesse de ton état, tes vêtements défraîchis et à la mode il y a quelques décennies, malgré le froid que tu endure la nuit et la dureté du sol sur lequel tu dors, malgré toutes les embûches que tu as vécues et les raisons qui ont fait de la rue ta maison, je décèle du bonheur chez toi. Oh, pas beaucoup, certes! Mais du bonheur…Quand certains passent des années à le chercher en vain dans leurs paradis artificiels.
Toi, parmi tous les hommes, tu en as? Bravo!
Sept pas, je m’imagine la vie que tu as menée. Ta famille dysfonctionnelle, toi le rebelle qui se rebiffe, les cheveux ébouriffés ou trop gominés aux yeux de ton père. Tu pars de la maison. Quatorze ans à peine, presqu’un homme pour les autres mais grand comme dix gratte-ciels pour toi!
Quatre pas. Je romance ta vie, toi le romanichel du nouveau monde. Tout comme dans le Tigre Bleu, vous avez une société secrète, avec un Roi et une hiérarchie. T’es le Robin Williams de mon Jeff Bridges dans The Fisher King. T’es là pour m’ouvrir les yeux. Tu m’enquiquines tu sais? Tu me déranges. Pas au sens négatif du terme, non…Tu chamboules tout en moi, tu remanies la géométrie de ma pensée. Trois dents, c’est tout ce qu’il t’as fallu.
Deux pas. Je te connais. Pas vraiment, mais j’t’ai écrit une histoire. L’histoire que j’aurais aimé que tu vives. Tu l’aurais sûrement aimée toi aussi. Paul. Tu t’appelles Paul dans mon histoire.
Un pas. Ta main se tend un peu plus vers moi. J’ai fait un rapide recensement mental : je n’ai que des billets, et les fins de mois ne sont pas toujours facile pour moi non plus.
Vis-à-vis. Je suis à ta hauteur. Déjà, je te souris Paul. Je te regarde, dans les yeux. Probablement un des seuls qui ose. Tes yeux me renvoient la balle. Pleins d’espoir. T’as juste faim. Je te dis bonjour, ton sourire s’élargit, tes yeux sont grands comme deux soleils.
Deux pas plus loin. Toutes les options défilent dans ma tête : j’aurais du ci, j’aurais du ça…Mes fins de mois son difficiles! Foutaises! Chaque minute est une fin de mois pour toi.
Sept pas plus loin. J’arrête, je me retourne. Je n’existe plus pour toi Paul. Tu es à quêter une pièce à quelqu’un d’autre. Je reprends mon chemin, un peu moins pressé.
Demain.
Demain j’m’arrêterai pour vrai.
Moi, j’enfonce un peu plus les boutons des écouteurs dans mes oreilles, pour ne pas me faire déranger : j’ai une destination à atteindre dans un laps de temps précis et rien ne me fera détourner de mon chemin ou, encore pire, ralentir mon rythme.
Pourtant, à huit pas de toi, ton sourire édenté m’accroche. Malgré la tristesse de ton état, tes vêtements défraîchis et à la mode il y a quelques décennies, malgré le froid que tu endure la nuit et la dureté du sol sur lequel tu dors, malgré toutes les embûches que tu as vécues et les raisons qui ont fait de la rue ta maison, je décèle du bonheur chez toi. Oh, pas beaucoup, certes! Mais du bonheur…Quand certains passent des années à le chercher en vain dans leurs paradis artificiels.
Toi, parmi tous les hommes, tu en as? Bravo!
Sept pas, je m’imagine la vie que tu as menée. Ta famille dysfonctionnelle, toi le rebelle qui se rebiffe, les cheveux ébouriffés ou trop gominés aux yeux de ton père. Tu pars de la maison. Quatorze ans à peine, presqu’un homme pour les autres mais grand comme dix gratte-ciels pour toi!
Quatre pas. Je romance ta vie, toi le romanichel du nouveau monde. Tout comme dans le Tigre Bleu, vous avez une société secrète, avec un Roi et une hiérarchie. T’es le Robin Williams de mon Jeff Bridges dans The Fisher King. T’es là pour m’ouvrir les yeux. Tu m’enquiquines tu sais? Tu me déranges. Pas au sens négatif du terme, non…Tu chamboules tout en moi, tu remanies la géométrie de ma pensée. Trois dents, c’est tout ce qu’il t’as fallu.
Deux pas. Je te connais. Pas vraiment, mais j’t’ai écrit une histoire. L’histoire que j’aurais aimé que tu vives. Tu l’aurais sûrement aimée toi aussi. Paul. Tu t’appelles Paul dans mon histoire.
Un pas. Ta main se tend un peu plus vers moi. J’ai fait un rapide recensement mental : je n’ai que des billets, et les fins de mois ne sont pas toujours facile pour moi non plus.
Vis-à-vis. Je suis à ta hauteur. Déjà, je te souris Paul. Je te regarde, dans les yeux. Probablement un des seuls qui ose. Tes yeux me renvoient la balle. Pleins d’espoir. T’as juste faim. Je te dis bonjour, ton sourire s’élargit, tes yeux sont grands comme deux soleils.
Deux pas plus loin. Toutes les options défilent dans ma tête : j’aurais du ci, j’aurais du ça…Mes fins de mois son difficiles! Foutaises! Chaque minute est une fin de mois pour toi.
Sept pas plus loin. J’arrête, je me retourne. Je n’existe plus pour toi Paul. Tu es à quêter une pièce à quelqu’un d’autre. Je reprends mon chemin, un peu moins pressé.
Demain.
Demain j’m’arrêterai pour vrai.
lundi 25 avril 2005
J'étais content
Hier, sur la 40 en direction de trois-rivières, on a vu plein plein de marmottes. Vivantes. Debout sur le bord de la route.
Je suis resté avec l'impression qu'elles nous faisaient une haie d'honneur.
"passez, môssieur et mâdame! Nous, marmottes, sommes heureuses de vous voir passer sur nos terres! Bonne route!"
Ce n'est plus une impression, c'est une certitude!
Je suis resté avec l'impression qu'elles nous faisaient une haie d'honneur.
"passez, môssieur et mâdame! Nous, marmottes, sommes heureuses de vous voir passer sur nos terres! Bonne route!"
Ce n'est plus une impression, c'est une certitude!
Un soir la semaine passée...
J'roulais dans le vieux caravan de mon père. J'étais sur Viau, direction nord. Comme je suis fatigué ce matin, je ne me souviens plus si c'était un soir de pluie. J'ai une vague impression que c'était mouillé. Peut-être que c'était ma tête qui trempait. Je me rappelle ma petite mélancolie. Ça oui.
Près de Jean-Talon, la rue devient plus large. Pas vraiment en fait. Les buildings sont seulement plus loin du trottoir. C'est qu'une illusion. Le coucher de soleil m'est tombé dans la figure. Beau et mauve. Et je n'aime pas le mauve. Violet loin du soleil, presque rose en plein centre.
J'ai senti une boule monter en moi. La beauté de la chose sûrement. Pis j'ai pensé à Catherine. Je me suis dis: "c'est plate que Catherine ne soit pas là pour voir le spectacle..." Le plus drôle, c'est que je ne lui en ai même pas parlé en revenant à la maison.
Quand j'ai pris le métropolitain, j'me sentais en paix.
Près de Jean-Talon, la rue devient plus large. Pas vraiment en fait. Les buildings sont seulement plus loin du trottoir. C'est qu'une illusion. Le coucher de soleil m'est tombé dans la figure. Beau et mauve. Et je n'aime pas le mauve. Violet loin du soleil, presque rose en plein centre.
J'ai senti une boule monter en moi. La beauté de la chose sûrement. Pis j'ai pensé à Catherine. Je me suis dis: "c'est plate que Catherine ne soit pas là pour voir le spectacle..." Le plus drôle, c'est que je ne lui en ai même pas parlé en revenant à la maison.
Quand j'ai pris le métropolitain, j'me sentais en paix.
Dilemme
Depuis quelques semaines, je cherche un nouveau travail. Pas que j'déteste ce que je fais, mais j'adore pas non plus, et ça, c'est hyper important pour moi. J'ai trouvé, enfin, carl m'a envoyé, quelques affichages de postes intéressants pour moi.
Et voilà que ce matin, ma boss me dit qu'ils sont à permanenter mon poste, après neuf mois et trois contrats consécutifs...
ça veut dire quoi? Augmentation (qui serait bienvenue)? Responsabilités accrues? Moins de travail seul dans un bureau? Je ne sais pas...
N'empêche que pour moi, c'est devenu un travail et non une carrière. Plus qu'un travail même...une job. Parce qu'il faut payer le loyer.
Je rêve de piges constantes, ce monde merveilleux où je pourrais dire bye bye boss.
Je rêve d'un emploi multidisciplinaire, où je m'épanouirais dans la création, le stress des deadlines et des tâches multiples et pas reliées (écrire un compte-rendu et faire du montage vidéo dans le même avant-midi!)
Je rêve d'avoir un environnement de travail où je me sens à l'aise, intégré et non garroché.
Ouin...rêve bonhomme.
Et voilà que ce matin, ma boss me dit qu'ils sont à permanenter mon poste, après neuf mois et trois contrats consécutifs...
ça veut dire quoi? Augmentation (qui serait bienvenue)? Responsabilités accrues? Moins de travail seul dans un bureau? Je ne sais pas...
N'empêche que pour moi, c'est devenu un travail et non une carrière. Plus qu'un travail même...une job. Parce qu'il faut payer le loyer.
Je rêve de piges constantes, ce monde merveilleux où je pourrais dire bye bye boss.
Je rêve d'un emploi multidisciplinaire, où je m'épanouirais dans la création, le stress des deadlines et des tâches multiples et pas reliées (écrire un compte-rendu et faire du montage vidéo dans le même avant-midi!)
Je rêve d'avoir un environnement de travail où je me sens à l'aise, intégré et non garroché.
Ouin...rêve bonhomme.
2910 chansons
C'est c'qu'y dans mon iPod...Ce qui veut dire que j'ai presque 12 000 minutes de musique à me mettre dans les oreilles...
- 400 allers ou retours du bureau sans entendre 2 fois la même chanson (sauf celles en versions différentes)
- la version de Caliméro que j'ai, c'est pas l'originale...Bummer!
- j'ai t-y vraiment besoin de toutes ces chansons?
marc cassivi de la presse a écrit un cool billet sur le iPod. En substance, il disait que nous ne choisirons plus les chansons qui vont définir des moments, mais les moments vont être définis par les chansons que notre iPod nous sert. (en mode shuffle)....C'est vrai...quand je n'avais qu'un lecteur cd (pôvre de moi!!! ;o) ) JE choisissais les disques qui allaient m'accompagner.
FUCK! Je retourne le iPod!
NON! Jamais de la vie!
- 400 allers ou retours du bureau sans entendre 2 fois la même chanson (sauf celles en versions différentes)
- la version de Caliméro que j'ai, c'est pas l'originale...Bummer!
- j'ai t-y vraiment besoin de toutes ces chansons?
marc cassivi de la presse a écrit un cool billet sur le iPod. En substance, il disait que nous ne choisirons plus les chansons qui vont définir des moments, mais les moments vont être définis par les chansons que notre iPod nous sert. (en mode shuffle)....C'est vrai...quand je n'avais qu'un lecteur cd (pôvre de moi!!! ;o) ) JE choisissais les disques qui allaient m'accompagner.
FUCK! Je retourne le iPod!
NON! Jamais de la vie!
Le marathon commence
Premier d'une longue série de posts! J'ai ben des affaires à écrire aujourd'hui...!
Vendredi, j'suis allé voir un show (je me répète) avec Carl. Comme je l'ai fait quelques fois auparavant, j'ai marché le centre-ville au lieu de prendre le métro. C'est toujours agréable quand il fait beau.
Dans le coin du Centre Eaton, y'a trois itinérants (y'en a plus, je sais, mais ces trois-là ont un lien) qui, lorsqu'on arrive de l'ouest, sont placés dans cet ordre:
Un cul-de-jatte total, à la Kenny
Un cul-de-jatte avec des cuisses
Un gars qui a des moignons en bas des genoux (moignons, c'est comme oignons avec un M)
J'm'excuse, mais quand j'arrive au troisième, je trouve pas qu'il fait pitié ben ben, comparé aux deux autres...
Carl et moi en sommes venus à la conclusion que monsieur Genoux n'est pas fort en marketing et qu'il devrait s'engager un publiciste...
Vendredi, j'suis allé voir un show (je me répète) avec Carl. Comme je l'ai fait quelques fois auparavant, j'ai marché le centre-ville au lieu de prendre le métro. C'est toujours agréable quand il fait beau.
Dans le coin du Centre Eaton, y'a trois itinérants (y'en a plus, je sais, mais ces trois-là ont un lien) qui, lorsqu'on arrive de l'ouest, sont placés dans cet ordre:
Un cul-de-jatte total, à la Kenny
Un cul-de-jatte avec des cuisses
Un gars qui a des moignons en bas des genoux (moignons, c'est comme oignons avec un M)
J'm'excuse, mais quand j'arrive au troisième, je trouve pas qu'il fait pitié ben ben, comparé aux deux autres...
Carl et moi en sommes venus à la conclusion que monsieur Genoux n'est pas fort en marketing et qu'il devrait s'engager un publiciste...
samedi 23 avril 2005
Show de hier soir
Hier soir, au Metropolis, y'avait le show de Hot Hot Heat, avec en premières parties, LouisXIV et The Futureheads...
On va y aller du début à la fin....J'allais à ce show avec Carl pour sa fête...presque deux mois après les faits! On est allé souper au St-Hub', oü on a jasé. C'était cool, parce que ça faisait longtemps qu'on avait pas discuté comme ça, à bâtons rompus, passant du gros déconnage aux sujets plus sérieux. Ça m'a rappelé quand on allait au d'artagnan, à 3rivières, et que j'allais le reconduire après notre soirée...On jasait dans l'auto pendant des heures! ça été l'fun de r'trouver mon ami !
Ensuite direction salle de spectacle...Fallait pas arriver en retard, le show était à 20h. Je laisse Le Goudronneur dans mon sac (si on l'prononce en anglais, ça donne ''the good runner"...j'trouve ça cool!) et on s'en va dans la salle...Un gars de sécurité a fait des gros yeux à carl qui s'est aventuré dans l'pit de la console d'éclairage, pour voir les sets-list.
LouisXIV....bon et pas bon à la fois. Un début énergique, entraînant et l'fun...le milieu du show, j'ai eu l'impression que c'était la même chanson tout le long...et les deux-trois dernières ont racheté l'écart...(crime de belle construction de phrases Frédéric...Bravo le syntaxeux!) En somme, j'ai trouvé ça correct, mais je ne me garrocherai pas pour acheter leur(s) album(s).
The futureheads...WOW! défonce totale...un mélange de At the drive-in et des beach boys! ça déménage ET c'est mélodique! WOW...harmonies à 4 voix, bouttes de tounes a capella...jeux de guitares incroyables, jambe spasmatique du guitariste...J'en suis resté bouche buée! Incroyable...à acheter dans les prochaines semaines.
Hot hot heat. ça aussi, très impressionnant....Le chanteur, c'est une touffe de cheveux châtains frisés qui joue du clavier avec une pose de lutteur sumo...Des tounes ÉNORMÉMENT accrocheuses (y'a plus de hooks dans leur show que dans le coffre à pêche de Bob Suzuki (le gars avec l'émission d'achigans le dimanche matin...j'suis pas certain que ce soit son vrai nom...)) ça aussi, à acheter dans les plus brefs délais!
C'était Frédéric Mailloux, qui devrait travailler au lieu d'écrire des posts et de regarder des trailers de films sur Apple...
On va y aller du début à la fin....J'allais à ce show avec Carl pour sa fête...presque deux mois après les faits! On est allé souper au St-Hub', oü on a jasé. C'était cool, parce que ça faisait longtemps qu'on avait pas discuté comme ça, à bâtons rompus, passant du gros déconnage aux sujets plus sérieux. Ça m'a rappelé quand on allait au d'artagnan, à 3rivières, et que j'allais le reconduire après notre soirée...On jasait dans l'auto pendant des heures! ça été l'fun de r'trouver mon ami !
Ensuite direction salle de spectacle...Fallait pas arriver en retard, le show était à 20h. Je laisse Le Goudronneur dans mon sac (si on l'prononce en anglais, ça donne ''the good runner"...j'trouve ça cool!) et on s'en va dans la salle...Un gars de sécurité a fait des gros yeux à carl qui s'est aventuré dans l'pit de la console d'éclairage, pour voir les sets-list.
LouisXIV....bon et pas bon à la fois. Un début énergique, entraînant et l'fun...le milieu du show, j'ai eu l'impression que c'était la même chanson tout le long...et les deux-trois dernières ont racheté l'écart...(crime de belle construction de phrases Frédéric...Bravo le syntaxeux!) En somme, j'ai trouvé ça correct, mais je ne me garrocherai pas pour acheter leur(s) album(s).
The futureheads...WOW! défonce totale...un mélange de At the drive-in et des beach boys! ça déménage ET c'est mélodique! WOW...harmonies à 4 voix, bouttes de tounes a capella...jeux de guitares incroyables, jambe spasmatique du guitariste...J'en suis resté bouche buée! Incroyable...à acheter dans les prochaines semaines.
Hot hot heat. ça aussi, très impressionnant....Le chanteur, c'est une touffe de cheveux châtains frisés qui joue du clavier avec une pose de lutteur sumo...Des tounes ÉNORMÉMENT accrocheuses (y'a plus de hooks dans leur show que dans le coffre à pêche de Bob Suzuki (le gars avec l'émission d'achigans le dimanche matin...j'suis pas certain que ce soit son vrai nom...)) ça aussi, à acheter dans les plus brefs délais!
C'était Frédéric Mailloux, qui devrait travailler au lieu d'écrire des posts et de regarder des trailers de films sur Apple...
vendredi 22 avril 2005
Rosaire et la Terre
Rosaire erre depuis des heures dans la ville de Vancouver…C’est ben plus propre que Montréal et le climat y est tempéré.
Il bouffe un seul sushi, debout sur ses pattes arrières sous un banc de parc. N’ayant pas pu avoir de service auprès de la serveuse un peu trop grande pour le voir devant le comptoir, il s’est résigné à…non, je ne peux l’écrire…à…c’est trop difficile…à emprunter sans le demander un sushi à un client trop distrait par les craques de seins des passantes. Tant pis pour lui…Comme le disait la maman de Rosaire : « Si t’es trop distrait par les filles, tu mérites ce qui t’arrive. » Crime qu’elle était poche pour élaborer des dictons.
Rosaire bouffe en pensant à tout le chemin, autant physique que psychologique qu’il a parcouru. Il a même une pensée pour le Vagabond. Il fait un simili-lien entre leur brève rencontre et l’histoire la pluxe poche au monde…j’ai de la difficulté à l’expliquer…vous savez, la crap avec les pas sur la plage…quand j’rushais, y’a juste une paire de pas, t’étais où Jésus? Pis tout le pathos inhérent à ça…Rosaire pense à cette histoire pis il se dit qu’elle n’a aucun lien avec ce qu’il a vécu, mais qu’elle est belle pareil.
Rosaire ne se doute de rien, mais un caméraman le suit depuis le début de son épopée. (ben quoi? Un, c’est un documentaire sur le rituel de séduction des hamsters, deux, d’où vous pensez que ça vient cette histoire-là? Que je l’ai inventée??? Voyons donc!) Donc, le caméraman est pomal plus discret que Benoit Brière dans Louis XVIII.
Rosaire termine son sushi, enfile son sac à dos (une poche de thé avec deux élastiques) et se dirige vers le nord…Suivi par l’épouvantail DOC! (faut que je trouve une manière de m’en débarrasser une fois pour toutes!)
Il marche ainsi des kilomètres, sans s’arrêter, tel un pèlerin infatigable qui veut rejoindre au plus tôt St-Jacques-de-Compostelle. Il marche, titube et marche encore, porté par l’espoir d’une vie nouvelle, porté par les valeurs inculquées par Splinter, porté par le message que son ancêtre lui avait laissé sur sa ripe de mort : fngh fngh fnfhg.
Au détour d’un chemin sinueux et d’un pin de Douglas, la révélation se présente à Rosaire. Un immense totem, au de plusieurs mètres, tiré et soulevé par des dizaines d’indiens Aïdas, se fait dresser sur la plage devant lui.
Rosaire s’approche du contremaître. Ses petites pattes laissent des petites traces sur le sable compacté.
- Heum heum…
- Kenatawé?
- Monsieur, il est beau votre totem!
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH….Gnashi ay té…Hamster kiniwast!
Rosaire, pas plus que moi, ne comprend le vieil indien. Les jobbeux, qui forcent comme des malades sur le tronc d’arbre gossé entendent les paroles troublées du bonhomme. Et ils les comprennent…Normal, c’est leur langue maternelle.
Plusieurs poussent des « oh! », d’autres des « ah », certains des « huih! »et un plus mongol « weekend pour deux à paris ». Ils échappent lourdement le gros copeau/totem, écrasant quelques sous-fifres peu importants mais présents pour aider à l’érection du totem….Tous se sauvent vers la forêt, ou le bar le plus proche, en criant. Le totem roule lentement vers la mer, finissant le travail d’écrapoutissage commencé par sa chute.
Rosaire regarde le spectacle offert par ce gros rouleau à pâte. Le totem s’immobilise enfin sur un gros rocher saillant. Il reste surpris du spectacle. Tout en haut, juste sous l’espace réservé aux commanditaires, un hamster le regarde. Pas n’importe quel hamster. Rosaire se regarde….
Aux alentours, pas âme qui vive..(sauf le doc mailloux, qui a maille à partir avec quelques ruminants sauvages, étant donné son état d’homme-foin…et le valeureux caméraman qui capte en discrétion ces belles images)
Rosaire prépare son bivouac, mange quelques morceaux de bois et du jerky beef qu’un des morts gardait dans sa poche. Il s’installe près du feu, sa pipe à la bouche. Il s’enfonce dans le sommeil bercé par les vagues…Quelque part, ailleurs dans le monde, un train fend la nuit.
Il bouffe un seul sushi, debout sur ses pattes arrières sous un banc de parc. N’ayant pas pu avoir de service auprès de la serveuse un peu trop grande pour le voir devant le comptoir, il s’est résigné à…non, je ne peux l’écrire…à…c’est trop difficile…à emprunter sans le demander un sushi à un client trop distrait par les craques de seins des passantes. Tant pis pour lui…Comme le disait la maman de Rosaire : « Si t’es trop distrait par les filles, tu mérites ce qui t’arrive. » Crime qu’elle était poche pour élaborer des dictons.
Rosaire bouffe en pensant à tout le chemin, autant physique que psychologique qu’il a parcouru. Il a même une pensée pour le Vagabond. Il fait un simili-lien entre leur brève rencontre et l’histoire la pluxe poche au monde…j’ai de la difficulté à l’expliquer…vous savez, la crap avec les pas sur la plage…quand j’rushais, y’a juste une paire de pas, t’étais où Jésus? Pis tout le pathos inhérent à ça…Rosaire pense à cette histoire pis il se dit qu’elle n’a aucun lien avec ce qu’il a vécu, mais qu’elle est belle pareil.
Rosaire ne se doute de rien, mais un caméraman le suit depuis le début de son épopée. (ben quoi? Un, c’est un documentaire sur le rituel de séduction des hamsters, deux, d’où vous pensez que ça vient cette histoire-là? Que je l’ai inventée??? Voyons donc!) Donc, le caméraman est pomal plus discret que Benoit Brière dans Louis XVIII.
Rosaire termine son sushi, enfile son sac à dos (une poche de thé avec deux élastiques) et se dirige vers le nord…Suivi par l’épouvantail DOC! (faut que je trouve une manière de m’en débarrasser une fois pour toutes!)
Il marche ainsi des kilomètres, sans s’arrêter, tel un pèlerin infatigable qui veut rejoindre au plus tôt St-Jacques-de-Compostelle. Il marche, titube et marche encore, porté par l’espoir d’une vie nouvelle, porté par les valeurs inculquées par Splinter, porté par le message que son ancêtre lui avait laissé sur sa ripe de mort : fngh fngh fnfhg.
Au détour d’un chemin sinueux et d’un pin de Douglas, la révélation se présente à Rosaire. Un immense totem, au de plusieurs mètres, tiré et soulevé par des dizaines d’indiens Aïdas, se fait dresser sur la plage devant lui.
Rosaire s’approche du contremaître. Ses petites pattes laissent des petites traces sur le sable compacté.
- Heum heum…
- Kenatawé?
- Monsieur, il est beau votre totem!
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH….Gnashi ay té…Hamster kiniwast!
Rosaire, pas plus que moi, ne comprend le vieil indien. Les jobbeux, qui forcent comme des malades sur le tronc d’arbre gossé entendent les paroles troublées du bonhomme. Et ils les comprennent…Normal, c’est leur langue maternelle.
Plusieurs poussent des « oh! », d’autres des « ah », certains des « huih! »et un plus mongol « weekend pour deux à paris ». Ils échappent lourdement le gros copeau/totem, écrasant quelques sous-fifres peu importants mais présents pour aider à l’érection du totem….Tous se sauvent vers la forêt, ou le bar le plus proche, en criant. Le totem roule lentement vers la mer, finissant le travail d’écrapoutissage commencé par sa chute.
Rosaire regarde le spectacle offert par ce gros rouleau à pâte. Le totem s’immobilise enfin sur un gros rocher saillant. Il reste surpris du spectacle. Tout en haut, juste sous l’espace réservé aux commanditaires, un hamster le regarde. Pas n’importe quel hamster. Rosaire se regarde….
Aux alentours, pas âme qui vive..(sauf le doc mailloux, qui a maille à partir avec quelques ruminants sauvages, étant donné son état d’homme-foin…et le valeureux caméraman qui capte en discrétion ces belles images)
Rosaire prépare son bivouac, mange quelques morceaux de bois et du jerky beef qu’un des morts gardait dans sa poche. Il s’installe près du feu, sa pipe à la bouche. Il s’enfonce dans le sommeil bercé par les vagues…Quelque part, ailleurs dans le monde, un train fend la nuit.
Commentons l'actualité avec Frédéric
La ville d'Ottawa continuera à distribuer des pipes à crack
- Ah! Je comprends certaines lois...
- ça aide à avaler certaines lois
- Une autre commandite?
Budget du Québec: la santé n'a pas été oubliée
- Le reste, oui.
Saisie de drogue à Laval
- Le monde d'Ottawa est pas content...
- La police envoie le stock à Ottawa demain.
Gutiérrez se réfugie au Brésil
- Gutiérrez....Guité...Gutiérrez...Guité...
Le retrait de Gaza reporté
- Bon! Y'a pas juste moi qui a des problèmes avec son transit!
McDo va bien
- On ne peut pas en dire autant des gens qui bouffent là (moi le premier)
Week-end chargé à Montréal
- POur les Crack Down Posses??
-On parle sûrement pas des cols bleus...
Bessette et Jeanson seront au rendez-vous
- J'le savais!
- Ah! Je comprends certaines lois...
- ça aide à avaler certaines lois
- Une autre commandite?
Budget du Québec: la santé n'a pas été oubliée
- Le reste, oui.
Saisie de drogue à Laval
- Le monde d'Ottawa est pas content...
- La police envoie le stock à Ottawa demain.
Gutiérrez se réfugie au Brésil
- Gutiérrez....Guité...Gutiérrez...Guité...
Le retrait de Gaza reporté
- Bon! Y'a pas juste moi qui a des problèmes avec son transit!
McDo va bien
- On ne peut pas en dire autant des gens qui bouffent là (moi le premier)
Week-end chargé à Montréal
- POur les Crack Down Posses??
-On parle sûrement pas des cols bleus...
Bessette et Jeanson seront au rendez-vous
- J'le savais!
jeudi 21 avril 2005
Après la pluie, le beau temps
Bon, j'commence à me remettre du choc, Louis aussi...On va relever nos manches et donner plus dans le folk atmosphérique...think martin léon, yann perreault, minière, david gray et tom mcrea...
ceci-dit, j'viens juste de, sans trop savoir comment, me rouler sur les orteils avec la chaise sur laquelle je suis assis...Weird....et douloureux...!
BONNE NOUVELLE
ça faisait quelques mois déjà que je voulais en adopter un...c'est fait!
Il a été baptisé à la minuit, le soir, par catherine...
Le Goudronneur fait partie de nos vies maintenant (enfin, pomal plus de la mienne)
Il est tout mignon, tout blanc et ne pèse que 156 grammes, sans ses écouteurs...
bienvenu, joli iPod 20go!
ceci-dit, j'viens juste de, sans trop savoir comment, me rouler sur les orteils avec la chaise sur laquelle je suis assis...Weird....et douloureux...!
BONNE NOUVELLE
ça faisait quelques mois déjà que je voulais en adopter un...c'est fait!
Il a été baptisé à la minuit, le soir, par catherine...
Le Goudronneur fait partie de nos vies maintenant (enfin, pomal plus de la mienne)
Il est tout mignon, tout blanc et ne pèse que 156 grammes, sans ses écouteurs...
bienvenu, joli iPod 20go!
Un uppercut venu de nulle part...
ça fait deux fois là....J'viens de comprendre...J'serai le seul maître à bord à l'avenir.
Mathieu vient de m'écrire qu'il quitte le Marmelade Trio pour se concentrer sur son autre band...Fine with me...c'est juste que ça allait bien et rien ne laissait présager ça...
J'vais faire cavalier seul, avec Louis aux pitons pour faire des sons bizarres en arrière de mes gratouillages de guitare.
ish que je l'ai pas venue venir celle -là....Comme ça commençait à bien aller...on avait débuté l'enregistrement d'un album....fuck! fuckity-fuck fuck dirait Cartman!
Comme avec Carl-François...on avait un deal pour enregistrer un démo dans le studio d'Yvon Deschamps...Et quelques paires d'oreilles prêtes à écouter l'matériel...Il est parti.
Là c'est Math qui fait la même chose!
SHIT! C'est ça...j'vais travailler avec Louis...pis quand toutte va être beau...Louis va faire la même chose! Pis j'vais essuyer mon front, pis repartir en belle!
Merci Daniel, pour tes mots qui apaisent les miens (ça, c'est une poésie d'homonymes...)
...Ce p'tit homme seul qui va son chemin
La tête baissée , mais fier
Fier d'aller face au vent mauvais
Fier d'aimer même en enferFier de lui
Fier de toé aussi
Y veut pas savoir ton bagage
C'que t'as vu, c'que t'as su, c'que t'es capable de dire
Y veut pas savoir ton faisage
Si tu runnes, si tu sonnes, si t'es capables sourire
Pour lui, c'est plus le chantageLa mélodie, le son du respire
Le son du fond, le grand voyage
Celui qu'on n'a jamais fini d'finir
Bonhomme de rue, bonhomme de rien
Bonhomme qui voit clairBarbouilleur de parchemin
Chercheur de lumière
Ben oui...Poète des temps gris
Y aimerait ça ne rien voir
Comme tout le monde, pas s'en faire
Comme tout le monde, toutte connaître
Pis toutte savoir
Parler sans dire, pis regarder sans voir
Y adore le monde, mais y est tout seul au monde
Y mouille dans son désert
------
Comme écrit toujours Sti à la fin des ses posts sur son blog.,..
C'est ça...
Pis c'est fini...
----------------
J'sens que j'vais écouter walk de Blind Melon à soir!
;O)
Mathieu vient de m'écrire qu'il quitte le Marmelade Trio pour se concentrer sur son autre band...Fine with me...c'est juste que ça allait bien et rien ne laissait présager ça...
J'vais faire cavalier seul, avec Louis aux pitons pour faire des sons bizarres en arrière de mes gratouillages de guitare.
ish que je l'ai pas venue venir celle -là....Comme ça commençait à bien aller...on avait débuté l'enregistrement d'un album....fuck! fuckity-fuck fuck dirait Cartman!
Comme avec Carl-François...on avait un deal pour enregistrer un démo dans le studio d'Yvon Deschamps...Et quelques paires d'oreilles prêtes à écouter l'matériel...Il est parti.
Là c'est Math qui fait la même chose!
SHIT! C'est ça...j'vais travailler avec Louis...pis quand toutte va être beau...Louis va faire la même chose! Pis j'vais essuyer mon front, pis repartir en belle!
Merci Daniel, pour tes mots qui apaisent les miens (ça, c'est une poésie d'homonymes...)
...Ce p'tit homme seul qui va son chemin
La tête baissée , mais fier
Fier d'aller face au vent mauvais
Fier d'aimer même en enferFier de lui
Fier de toé aussi
Y veut pas savoir ton bagage
C'que t'as vu, c'que t'as su, c'que t'es capable de dire
Y veut pas savoir ton faisage
Si tu runnes, si tu sonnes, si t'es capables sourire
Pour lui, c'est plus le chantageLa mélodie, le son du respire
Le son du fond, le grand voyage
Celui qu'on n'a jamais fini d'finir
Bonhomme de rue, bonhomme de rien
Bonhomme qui voit clairBarbouilleur de parchemin
Chercheur de lumière
Ben oui...Poète des temps gris
Y aimerait ça ne rien voir
Comme tout le monde, pas s'en faire
Comme tout le monde, toutte connaître
Pis toutte savoir
Parler sans dire, pis regarder sans voir
Y adore le monde, mais y est tout seul au monde
Y mouille dans son désert
------
Comme écrit toujours Sti à la fin des ses posts sur son blog.,..
C'est ça...
Pis c'est fini...
----------------
J'sens que j'vais écouter walk de Blind Melon à soir!
;O)
dans la même veine, mais pluxe méchant
C'est vrai que l'homme n'a pas assez de sang pour faire fonctionner son pénis et son cerveau en même temps...Faut croire que chez certains individus, la tête est relativement rapide à vider...
Pour la maman de Frédéric Dompierre, le gars accusé de viol, pas celui qui a fondé KINO
Bonjour Madame Dompierre,
je vous ai vue hier soir aux nouvelles et j'avais envie de vous dire quelques mots.
Je trouve ça dommage qu'à 18 ans, votre fils risque d'être étiquetté délinquant sexuel...Je suis certain qu'il est difficile pour une mère d'affronter ces épreuves affligeantes, de voir la vie de son garçon ruinée...
Je dois aussi ajouter que, advenant le cas qu'il soit reconnu coupable...CRISSE QUE VOUS ÊTES CONNE!
Excusez-moi...je corrige ma phrase précédente...je viens de me relire et je trouve que je n'ai pas utilisé les bons mots. Vous auriez du lire:
Je dois aussi ajouter que, s'il est coupable, qu'il soit condamné ou acquitté, CRISSE QUE VOUS ÊTES CONNE!
Je comprends votre entêtement à crier son innocence, parce que c'est votre petit garçon MAJEUR. Je comprends le cri du coeur d'une mère pour son enfant...Comprenez-vous celui des parents de la victime? Comprenez-vous celui de la victime??? Le défendre pour ne pas le voir aller en prison est facile à comprendre pour moi, mais difficile à accepter. Mes parents m'ont éduqué (on éduque les enfants, on élève les animaux) selon plusieurs principes, dont celui de la responsabilité face à nos actes.
J'ai commis un vol à l'étalage quand j'avais huit ans...Au lieu de m'excuser, mes parents m'ont expliqué la portée de mes actes. Je sais, on ne parle pas d'une offense de la même gravité, mais le concept est là. Si votre fils est coupable, comme les preuves tendent à le démontrer, qu'il...enfin, que vous en assumiez les conséquences...
Votre argument béton, entendu hier soir, me fait bien rigoler. "Il a 18 ans, à 18 ans, on est toujours bandé...."
Vrai...vrai aussi que la grande grande majorité des gars-de-18-ans-toujours-bandés n'ont pas violé et détruit une jeune fille qui ne demandait pas ça...Moi, à 18 ans, quand j'étais bandé, je me masturbais. Masturber, c'est le vrai mot pour dire crosser....Crosser, ce que vous êtes à faire avec le système judiciaire....
Si nous suivons à la lettre votre raisonnement, comme pendant mon enfance j'ai joué aux GI Joes, aux legos et au nintendo, je devrais maintenant être un architecte membre de la NRA et déconnecté de la réalité...
S'il-vous-plaît, madame Dompierre, pour votre bien et celui de la société, fermez votre gueule quand les caméras d'la tivi arrivent. Ou plutôt, dites à la famille que vous vous excusez au nom de votre garçon pour ce qu'il a fait à leur fille et à eux par la bande.
Me semble que ce serait la chose à faire...
je vous ai vue hier soir aux nouvelles et j'avais envie de vous dire quelques mots.
Je trouve ça dommage qu'à 18 ans, votre fils risque d'être étiquetté délinquant sexuel...Je suis certain qu'il est difficile pour une mère d'affronter ces épreuves affligeantes, de voir la vie de son garçon ruinée...
Je dois aussi ajouter que, advenant le cas qu'il soit reconnu coupable...CRISSE QUE VOUS ÊTES CONNE!
Excusez-moi...je corrige ma phrase précédente...je viens de me relire et je trouve que je n'ai pas utilisé les bons mots. Vous auriez du lire:
Je dois aussi ajouter que, s'il est coupable, qu'il soit condamné ou acquitté, CRISSE QUE VOUS ÊTES CONNE!
Je comprends votre entêtement à crier son innocence, parce que c'est votre petit garçon MAJEUR. Je comprends le cri du coeur d'une mère pour son enfant...Comprenez-vous celui des parents de la victime? Comprenez-vous celui de la victime??? Le défendre pour ne pas le voir aller en prison est facile à comprendre pour moi, mais difficile à accepter. Mes parents m'ont éduqué (on éduque les enfants, on élève les animaux) selon plusieurs principes, dont celui de la responsabilité face à nos actes.
J'ai commis un vol à l'étalage quand j'avais huit ans...Au lieu de m'excuser, mes parents m'ont expliqué la portée de mes actes. Je sais, on ne parle pas d'une offense de la même gravité, mais le concept est là. Si votre fils est coupable, comme les preuves tendent à le démontrer, qu'il...enfin, que vous en assumiez les conséquences...
Votre argument béton, entendu hier soir, me fait bien rigoler. "Il a 18 ans, à 18 ans, on est toujours bandé...."
Vrai...vrai aussi que la grande grande majorité des gars-de-18-ans-toujours-bandés n'ont pas violé et détruit une jeune fille qui ne demandait pas ça...Moi, à 18 ans, quand j'étais bandé, je me masturbais. Masturber, c'est le vrai mot pour dire crosser....Crosser, ce que vous êtes à faire avec le système judiciaire....
Si nous suivons à la lettre votre raisonnement, comme pendant mon enfance j'ai joué aux GI Joes, aux legos et au nintendo, je devrais maintenant être un architecte membre de la NRA et déconnecté de la réalité...
S'il-vous-plaît, madame Dompierre, pour votre bien et celui de la société, fermez votre gueule quand les caméras d'la tivi arrivent. Ou plutôt, dites à la famille que vous vous excusez au nom de votre garçon pour ce qu'il a fait à leur fille et à eux par la bande.
Me semble que ce serait la chose à faire...
Les répondeurs téléphoniques
ça me fait toujours rire quand:
- la personne dit sur son message: "je ne suis pas là pour le moment..." ...D'OH! NON?
- ne dit pas son nom ni son numéro de téléphone...
- y'a juste une tite-musique world beat qui joue
- le concept est pas vraiment drôle...
Une de mes anciennes colocs n'aimait pas le message sur la boîte vocale....parce que des gens qui l'avaient appelée trouvait le message pas drôle...15 minutes plus tard, y'avait ça sur le répondeur:
" Bonjour, pour les gens qui nous appellent pour des raisons professionnelles ou pour les ceux qui n'aiment pas l'humour, appuyez sur le carré maintenant...un p'tit blanc...Bon! (message drôle)"
incroyable...
----------
Mon père, tout habitué qu'il est aux nouvelles technologies ("C'est quoi l'ostie d'manette pour ta tivi???") me laisse souvent les messages suivants:
- "allô....Allô? frédéric? C'est 'Pa...(silence)...Ouin....C'est ça...tu m'rappelleras..."
-"Allô Frédéric? C'est 'Pa...Tu réponds pas?"
-"long silence...tévé en background...Y'est pas là..." pis il raccroche...
Papa...je sais que c'est toi...I-M-P-O-S-SI-B-L-E que je me trompe...Cette douce voix perdue dans la brume, confrontée au fait QUE JE NE RÉPONDE PAS! Pas besoin de me le dire que c'est toi...
Aussi, papa, je n'ai pas un vieux répondeur avec un haut-parleur, comme celui de Lise, qui peut servir de filtreur d'appels...Donc, quand tu parles, je ne t'entends pas... C'est dans une machine quelque part dans les souterrains de Bell que tu parles...Et le monsieur qui s'occupe des machines, il ne t'entend pas non plus...
Quand tu attends au bout du fil que je réponde, ça n'arrivera pas...La seule chose que ça fait papa, c'est que Catherine et moi on écoute le message douze fois et on rit! Et je parle de toi sur mon blogue aussi...Mais ça, c'est pas grave, tu ne le liras probablement jamais...Tu vois papa, j'fais comme toi: je parle dans l'vide...
Donc papa, si je ne réponds pas c'est que...
je ne suis pas là
Je n'ai pas envie de répondre
je n'ai pas trouvé le sans-fil
je n'ai pas eu le temps de courir jusqu'à mon bureau parce que là je suis certain qu'il y un téléphone...
J'écoute/joue de la musique et je n'entends pas la sonnerie...
Voilà papa, c'est pour ça que je paie 7$ par mois...J'aime me servir de ma boîte vocale!
- la personne dit sur son message: "je ne suis pas là pour le moment..." ...D'OH! NON?
- ne dit pas son nom ni son numéro de téléphone...
- y'a juste une tite-musique world beat qui joue
- le concept est pas vraiment drôle...
Une de mes anciennes colocs n'aimait pas le message sur la boîte vocale....parce que des gens qui l'avaient appelée trouvait le message pas drôle...15 minutes plus tard, y'avait ça sur le répondeur:
" Bonjour, pour les gens qui nous appellent pour des raisons professionnelles ou pour les ceux qui n'aiment pas l'humour, appuyez sur le carré maintenant...un p'tit blanc...Bon! (message drôle)"
incroyable...
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Mon père, tout habitué qu'il est aux nouvelles technologies ("C'est quoi l'ostie d'manette pour ta tivi???") me laisse souvent les messages suivants:
- "allô....Allô? frédéric? C'est 'Pa...(silence)...Ouin....C'est ça...tu m'rappelleras..."
-"Allô Frédéric? C'est 'Pa...Tu réponds pas?"
-"long silence...tévé en background...Y'est pas là..." pis il raccroche...
Papa...je sais que c'est toi...I-M-P-O-S-SI-B-L-E que je me trompe...Cette douce voix perdue dans la brume, confrontée au fait QUE JE NE RÉPONDE PAS! Pas besoin de me le dire que c'est toi...
Aussi, papa, je n'ai pas un vieux répondeur avec un haut-parleur, comme celui de Lise, qui peut servir de filtreur d'appels...Donc, quand tu parles, je ne t'entends pas... C'est dans une machine quelque part dans les souterrains de Bell que tu parles...Et le monsieur qui s'occupe des machines, il ne t'entend pas non plus...
Quand tu attends au bout du fil que je réponde, ça n'arrivera pas...La seule chose que ça fait papa, c'est que Catherine et moi on écoute le message douze fois et on rit! Et je parle de toi sur mon blogue aussi...Mais ça, c'est pas grave, tu ne le liras probablement jamais...Tu vois papa, j'fais comme toi: je parle dans l'vide...
Donc papa, si je ne réponds pas c'est que...
je ne suis pas là
Je n'ai pas envie de répondre
je n'ai pas trouvé le sans-fil
je n'ai pas eu le temps de courir jusqu'à mon bureau parce que là je suis certain qu'il y un téléphone...
J'écoute/joue de la musique et je n'entends pas la sonnerie...
Voilà papa, c'est pour ça que je paie 7$ par mois...J'aime me servir de ma boîte vocale!
mercredi 20 avril 2005
Top 10 des saisons
Voici mon top 10 des saisons, dans l'ordre
1. le milieu du printemps (Mai, début Juin)
2. La saison de Basket
3. l'été
4. fin de l'été/début de l'automne
5. printemps
6. automne
7. quand l'hiver est pas certain de lui (pour paraphraser Dédé)
8. quatre saisons dans l'désordre de bélanger
9. quand l'hiver décide de revenir après plusieurs belles journées en février
10. l'hiver
- 184359823495820398450938452394058239045823. L'hiver, quand faut s'lever pour aller changer l'char de place pis y'a d'la neige jusqu'au milieu de la portière pis une crisse de grosse congère en arrière, sans oublier le tapon qui s'est collé en avant...
1. le milieu du printemps (Mai, début Juin)
2. La saison de Basket
3. l'été
4. fin de l'été/début de l'automne
5. printemps
6. automne
7. quand l'hiver est pas certain de lui (pour paraphraser Dédé)
8. quatre saisons dans l'désordre de bélanger
9. quand l'hiver décide de revenir après plusieurs belles journées en février
10. l'hiver
- 184359823495820398450938452394058239045823. L'hiver, quand faut s'lever pour aller changer l'char de place pis y'a d'la neige jusqu'au milieu de la portière pis une crisse de grosse congère en arrière, sans oublier le tapon qui s'est collé en avant...
Basket et musique
J'dois être un oiseau rare: fan hardcore de basket (j'ai d'jà fait un aller-retour montréal-toronto pour assister à un match) qui n'est pas un fan hardcore de hip-hop...
c'est-y pour ça que les Cavaliers ne se sont pas qualifiés pour les playoffs???
Anyway, c'est une situation gagnant-gagnant pour moi: ce sont les Nets, avec Jason Kidd (un des meilleurs joueurs de la ligue...un de mes préférés aussi) qui passent au 8ème rang de l'association de l'Est...Si j'étais Miami, j'me préparerais...Les Nets pourraient (même si c'est assez improbable) causer une surprise...Surtout si Richard Jefferson revient au jeu...ça promet.
----------
Autre consolation...j'suis à écouter Nucléaire de Yann (on écrit DE YANN ou D'YANN???HOUuuuuuu dilemme!) Cadeau de Cath, 10 jours avant ma fête...!
A date, j'adore...dans la lignée de western-romance....plus organique j'dirais...enregistré en 10 jours...tk...j'reviendrai là-dessus après quelques écoutes.
c'est-y pour ça que les Cavaliers ne se sont pas qualifiés pour les playoffs???
Anyway, c'est une situation gagnant-gagnant pour moi: ce sont les Nets, avec Jason Kidd (un des meilleurs joueurs de la ligue...un de mes préférés aussi) qui passent au 8ème rang de l'association de l'Est...Si j'étais Miami, j'me préparerais...Les Nets pourraient (même si c'est assez improbable) causer une surprise...Surtout si Richard Jefferson revient au jeu...ça promet.
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Autre consolation...j'suis à écouter Nucléaire de Yann (on écrit DE YANN ou D'YANN???HOUuuuuuu dilemme!) Cadeau de Cath, 10 jours avant ma fête...!
A date, j'adore...dans la lignée de western-romance....plus organique j'dirais...enregistré en 10 jours...tk...j'reviendrai là-dessus après quelques écoutes.
Je ne veux plus entendre
Quelqu'un me dire qu'il pirate des CD ou des films en ayant comme argument: les compagnies font des montagnes de profits...
ET LES ARTISTES EUX!
s'ils ne font pas d'argent, comment payeront-ils le loyer? FAut pas s'leurrer, un musicien au québec, et un semi-indie au canada et aux états, ça gagne pas des millions par année!
Vallières, son dernier disque, il en a vendu environ 20 000 copies...Il fait quoi là-dessus, 1$, 1.50$ par album....ça fait dans l'gros top 30 000$...sur la durée de vie de l'album...soit 3-4 ans...ça fait pas ben ben par année...Si Vincent vend pas d'albums, il va être considéré comme un risque par les promoteurs, donc pas de spectacle non plus...Pas de spectacles, pas d'albums = pas de prestations télé, moins de chance d'être invité à un festival, moins de rotations à la radio...
Faudrait que les pirates pensent plus loin que leur bout de nez!
Parce quand Vincent fait un show (disons, qui le paye, j'sais pas moi...8000$)...il en donne 25% à son gérant...reste 6000$..faut qu'il paye ses musiciens...3X500$ environ...1500$ reste 4500$ son équipe de tournée (petite, à 4 gars à 150$/jour) 600$...reste 3900$...les per-diem (allocation pour la bouffe pour tout le monde 7X20$=140...plus lui...35$--175$) 3725$, le transport, l'hébergement, les assurances, le matériel, les locations, les impôts...disons qu'il lui reste à peu près 1200$ à la fin de son show....
il part avec un 10 000$ de base..fait une 20aine de show par année...24 000$
on arrive à 34 000$ par année...un salaire correct...
Ah oui...il doit rembourser à la compagnie de disque les frais pour l'enregistrement de son album et les coûts reliés aux vidéos...
C'est pas Vincent qui est gagnant dans l'piratage...
Ni nous autres d'ailleurs...
ET LES ARTISTES EUX!
s'ils ne font pas d'argent, comment payeront-ils le loyer? FAut pas s'leurrer, un musicien au québec, et un semi-indie au canada et aux états, ça gagne pas des millions par année!
Vallières, son dernier disque, il en a vendu environ 20 000 copies...Il fait quoi là-dessus, 1$, 1.50$ par album....ça fait dans l'gros top 30 000$...sur la durée de vie de l'album...soit 3-4 ans...ça fait pas ben ben par année...Si Vincent vend pas d'albums, il va être considéré comme un risque par les promoteurs, donc pas de spectacle non plus...Pas de spectacles, pas d'albums = pas de prestations télé, moins de chance d'être invité à un festival, moins de rotations à la radio...
Faudrait que les pirates pensent plus loin que leur bout de nez!
Parce quand Vincent fait un show (disons, qui le paye, j'sais pas moi...8000$)...il en donne 25% à son gérant...reste 6000$..faut qu'il paye ses musiciens...3X500$ environ...1500$ reste 4500$ son équipe de tournée (petite, à 4 gars à 150$/jour) 600$...reste 3900$...les per-diem (allocation pour la bouffe pour tout le monde 7X20$=140...plus lui...35$--175$) 3725$, le transport, l'hébergement, les assurances, le matériel, les locations, les impôts...disons qu'il lui reste à peu près 1200$ à la fin de son show....
il part avec un 10 000$ de base..fait une 20aine de show par année...24 000$
on arrive à 34 000$ par année...un salaire correct...
Ah oui...il doit rembourser à la compagnie de disque les frais pour l'enregistrement de son album et les coûts reliés aux vidéos...
C'est pas Vincent qui est gagnant dans l'piratage...
Ni nous autres d'ailleurs...
Pendant ce temps
Paul Buisson est mort...
le gars handicapé sur le pont Champlain aussi
Pis hier soir, j'ai mangé du Jell-o
le gars handicapé sur le pont Champlain aussi
Pis hier soir, j'ai mangé du Jell-o
De retour sur le marché
ça faisait près de trois semaines qu'on était en pénurie, déjà que c'est pas facile à trouver! Mais là retour à la normale!
On peut enfin ravoir de la marde de pape!
(Cette joke scatologique est malheureusement de moi...)
On peut enfin ravoir de la marde de pape!
(Cette joke scatologique est malheureusement de moi...)
Fanfaronnades
Pouet pouet pouet tapouet wit ti di dla dou pouet tapouet pouet
pweeeeeeeeeeet kwellé pwet pouet!
pweeeeeeeeeeet kwellé pwet pouet!
mardi 19 avril 2005
CHOSES À NE PAS FAIRE II
Dans un vestiaire de hockey
- « On va au Café-Macramé après! »
- « Et viva Espana! Enweye Théoret, embarque dans l’train! »
- Un cabanon de jardin
- « les gars, faut que j’vous parle de mes émotions… »
- Se gratter la poche…Oh non, on peut l’faire ça!
- Du karaoké (surtout si c’est Dors Caroline…)
- Échanger des recettes de Ricardo contre des Recettes de Nicolas
- Tuer des enfants
- Manger des sacs de linge sale
- « J’Vas appeler ma femme pour savoir si j’peux aller prendre une bière… »
- « la pédophilie, c’est pas aussi pire qu’on pense…Checkez Théoret, c’est un criss de bon gars pareil! »
- S’habiller en poussin jaune
- « J’ai hâaaaaaaaaaaaate de prendre ma douche avec vous autres les gars! »
- « On va au Café-Macramé après! »
- « Et viva Espana! Enweye Théoret, embarque dans l’train! »
- Un cabanon de jardin
- « les gars, faut que j’vous parle de mes émotions… »
- Se gratter la poche…Oh non, on peut l’faire ça!
- Du karaoké (surtout si c’est Dors Caroline…)
- Échanger des recettes de Ricardo contre des Recettes de Nicolas
- Tuer des enfants
- Manger des sacs de linge sale
- « J’Vas appeler ma femme pour savoir si j’peux aller prendre une bière… »
- « la pédophilie, c’est pas aussi pire qu’on pense…Checkez Théoret, c’est un criss de bon gars pareil! »
- S’habiller en poussin jaune
- « J’ai hâaaaaaaaaaaaate de prendre ma douche avec vous autres les gars! »
Ouin....
* dans ma tête*
*Triple salto groupé vrillé...atterrissage en fléchissant les genoux...courir 12 pas, sauter sur les mains pivoter, faire une rondade. Sourire. Prendre une grande respiration, me concentrer. Prendre mon élan, courir les bras bien droits de chaque côté du corps, faire 4 flips consécutifs, twister de bord en faire 3 par arrière maintenant, dernier saut, carpé celui-là, 1 tour et demi avec vrille et atte...*
- Quessé tu fais-là Mailloux?
- Euh...de la gymnastique mentale...
*Triple salto groupé vrillé...atterrissage en fléchissant les genoux...courir 12 pas, sauter sur les mains pivoter, faire une rondade. Sourire. Prendre une grande respiration, me concentrer. Prendre mon élan, courir les bras bien droits de chaque côté du corps, faire 4 flips consécutifs, twister de bord en faire 3 par arrière maintenant, dernier saut, carpé celui-là, 1 tour et demi avec vrille et atte...*
- Quessé tu fais-là Mailloux?
- Euh...de la gymnastique mentale...
lundi 18 avril 2005
directement de la voute
Au fond de la ruelle
----------------------------
- Qu’est-ce tu cherches?
- J’veux juste voir si les billes sont encore à leur place...
- Quessé tu fais icitte?
Sa voix était revêche, usée par les années et le tabac. Il ne distinguait pas les traits du visage dans le noir, mais la présence de son interlocutrice lui était familière.
- J’viens juste me rappeler.
Se rappeler, tout bonnement. Revivre, revoir. Avec des yeux plus vieux, des mains moins douces, une âme plus garnie.
- Tu viens du coin pour venir te rappeler d’affaires icitte?
- Oui, j’ai grandi dans c’te ruelle.
Elle est sortie de l’ombre en disant cela.
-Charles?
-Louise?
Leurs mains se sont touchées un bref instant, pour retourner battre l’air à leurs flancs. Un oeil non-avisé y aurait vu de la gêne.
- Quessé tu fais icitte Louise, après toutes c’tes années?
- J’voulais r’jouer aux billes une dernière fois.
- Pour vrai?
- Pour vrai.
Charles prît le sac qui était resté caché dans la shed pendant plus de quarante ans. Un geste maladroit de sa part fît que le contenu s’est retrouvé sur le sol. Les billes tintaient sur l’asphalte inégale comme les cloches désaccordées d’une petite église de St-Henri.
- Laisse-faire, j’vas les ramasser.
- J’vas t’aider.
Ils étaient là, deux vieux dans leurs habits du dimanche, à quérir les billes éparpillées. Une fois le contenu méticuleusement remis en place, Charles regarda Louise.
- T’as pas changé Louise
- Toi non plus Charles, juste un peu plus rond pis un peu plus chauve
- T’es toujours aussi belle.
- J’ai pas dit que t’étais pus beau.
Y’avait pas de lune ce soir-là. Seulement un lampadaire qui crachotait sa lumière jaune. Assez de lumière pour voir les larmes qui commençaient à couler des yeux de Louise
- Quessé qu’y’a?
- J’suis revenue icitte pour une raison.
- Ben, quessé?
- J’vas mourir Charles...J’vas mourir.
- C’est quoi?
Louise s’était relevée en laissant tomber le morceau. Charles était encore à genoux, de par son âge et de par la nouvelle.
- Le mal noir.
(le craquement que vous entendez en sourdine, c’est le coeur de Charles qui se romp en mille miettes.)
- Comme ma femme...
- Ta femme?
- Ouais, ma femme aussi est morte du mal noir.
- Ça fait longtemps?
- Douze ans...
- Hon...
- T’es-tu mariée toé?
- Non, jamais...
Charles s’activait pour ne pas penser. Se lever, ranger le sac de billes, regarder ailleurs. Ce faisant, il passa devant Louise.
- Tu sens toujours aussi bonne...
- Merci.
Les deux vieux gardaient le silence. Faut pas briser le sublime quand il passe, c’est tellement rare.
- C’était là-bas, hein?
- Oui, dans la shed des Tanguay.
- C’est ça.
Une autre petit morceau du passé, une tranche de souvenirs qui remonte au cerveau. Y’en faudrait plus pour qu’ils soient rassasiés.
- On avait quoi, dix-onze ans?
- Oui...
Et d’un coup, c’est clair, aussi clair que le moment vécu des années auparavant. Plus clair encore, avec le recul et les expériences emmagasinées entre le moment réel et son souvenir.
- C’est là qu’on s’est embrassés Charles.
- Ouais. Une fois, juste une.
- On s’était jurés de jamais embrasser personne d’autre.
- Je sais ben
- Pourquoi tu l’as fait d’abord?
- Parce que j’mourrais de r’goûter le miel que t’avais sué lèvres. Faque j’me suis marié, pensant que ça s’rait pareil qu’avec toé.
- Pis?
- Voyons Louise! Jamais, ça jamais été pareil, c’était loin d’être aussi bon pis aussi doux.
Depuis deux minutes déjà que Charles tenait le visage de Louise dans ses mains. Son amour à lui. Son amour à elle. Elle avait posé ses mains sur les siennes. Les yeux pis l’coeur gros, ils continuaient de parler.
- T’as-tu été à guerre Charles?
- Oui, j’suis allé dins Vieux Pays. J’ai vu le plus jeunes des frères Poirier mourir à vingt pieds de moé. J’ai vu d’autres affaires que tu veux même pas que j’te conte.
- T’as-tu été blessé?
- Oauis, mais les cicatrices que j’ai su’l corps, c’est rien comparé à celles que j’ai su’l coeur.
La larme qui est sortie de l’oeil de Louise, Charles l’a écrasée du doigt.
- Pleure pas Louise, chus là.
- Moé’ssi chus là Charles...
Frédéric Mailloux – octobre 2003
----------------------------
- Qu’est-ce tu cherches?
- J’veux juste voir si les billes sont encore à leur place...
- Quessé tu fais icitte?
Sa voix était revêche, usée par les années et le tabac. Il ne distinguait pas les traits du visage dans le noir, mais la présence de son interlocutrice lui était familière.
- J’viens juste me rappeler.
Se rappeler, tout bonnement. Revivre, revoir. Avec des yeux plus vieux, des mains moins douces, une âme plus garnie.
- Tu viens du coin pour venir te rappeler d’affaires icitte?
- Oui, j’ai grandi dans c’te ruelle.
Elle est sortie de l’ombre en disant cela.
-Charles?
-Louise?
Leurs mains se sont touchées un bref instant, pour retourner battre l’air à leurs flancs. Un oeil non-avisé y aurait vu de la gêne.
- Quessé tu fais icitte Louise, après toutes c’tes années?
- J’voulais r’jouer aux billes une dernière fois.
- Pour vrai?
- Pour vrai.
Charles prît le sac qui était resté caché dans la shed pendant plus de quarante ans. Un geste maladroit de sa part fît que le contenu s’est retrouvé sur le sol. Les billes tintaient sur l’asphalte inégale comme les cloches désaccordées d’une petite église de St-Henri.
- Laisse-faire, j’vas les ramasser.
- J’vas t’aider.
Ils étaient là, deux vieux dans leurs habits du dimanche, à quérir les billes éparpillées. Une fois le contenu méticuleusement remis en place, Charles regarda Louise.
- T’as pas changé Louise
- Toi non plus Charles, juste un peu plus rond pis un peu plus chauve
- T’es toujours aussi belle.
- J’ai pas dit que t’étais pus beau.
Y’avait pas de lune ce soir-là. Seulement un lampadaire qui crachotait sa lumière jaune. Assez de lumière pour voir les larmes qui commençaient à couler des yeux de Louise
- Quessé qu’y’a?
- J’suis revenue icitte pour une raison.
- Ben, quessé?
- J’vas mourir Charles...J’vas mourir.
- C’est quoi?
Louise s’était relevée en laissant tomber le morceau. Charles était encore à genoux, de par son âge et de par la nouvelle.
- Le mal noir.
(le craquement que vous entendez en sourdine, c’est le coeur de Charles qui se romp en mille miettes.)
- Comme ma femme...
- Ta femme?
- Ouais, ma femme aussi est morte du mal noir.
- Ça fait longtemps?
- Douze ans...
- Hon...
- T’es-tu mariée toé?
- Non, jamais...
Charles s’activait pour ne pas penser. Se lever, ranger le sac de billes, regarder ailleurs. Ce faisant, il passa devant Louise.
- Tu sens toujours aussi bonne...
- Merci.
Les deux vieux gardaient le silence. Faut pas briser le sublime quand il passe, c’est tellement rare.
- C’était là-bas, hein?
- Oui, dans la shed des Tanguay.
- C’est ça.
Une autre petit morceau du passé, une tranche de souvenirs qui remonte au cerveau. Y’en faudrait plus pour qu’ils soient rassasiés.
- On avait quoi, dix-onze ans?
- Oui...
Et d’un coup, c’est clair, aussi clair que le moment vécu des années auparavant. Plus clair encore, avec le recul et les expériences emmagasinées entre le moment réel et son souvenir.
- C’est là qu’on s’est embrassés Charles.
- Ouais. Une fois, juste une.
- On s’était jurés de jamais embrasser personne d’autre.
- Je sais ben
- Pourquoi tu l’as fait d’abord?
- Parce que j’mourrais de r’goûter le miel que t’avais sué lèvres. Faque j’me suis marié, pensant que ça s’rait pareil qu’avec toé.
- Pis?
- Voyons Louise! Jamais, ça jamais été pareil, c’était loin d’être aussi bon pis aussi doux.
Depuis deux minutes déjà que Charles tenait le visage de Louise dans ses mains. Son amour à lui. Son amour à elle. Elle avait posé ses mains sur les siennes. Les yeux pis l’coeur gros, ils continuaient de parler.
- T’as-tu été à guerre Charles?
- Oui, j’suis allé dins Vieux Pays. J’ai vu le plus jeunes des frères Poirier mourir à vingt pieds de moé. J’ai vu d’autres affaires que tu veux même pas que j’te conte.
- T’as-tu été blessé?
- Oauis, mais les cicatrices que j’ai su’l corps, c’est rien comparé à celles que j’ai su’l coeur.
La larme qui est sortie de l’oeil de Louise, Charles l’a écrasée du doigt.
- Pleure pas Louise, chus là.
- Moé’ssi chus là Charles...
Frédéric Mailloux – octobre 2003
alerte aux aubaines
Pour tous les amateurs de PC (dont je recommence à faire partie, job oblige) et de périphériques/stockage pas trop cher, j'vous recommande un petit magasin dont j'ai oublié le nom, sur beaubien, pas loin de Pie-IX, entre le poste de police et le Jean-Coutu (côté sud) ...exemple de prix ridicule: mémoire flash USB 2.0 de kingston, 512 Mo...59$ + taxes...
quand on y pense
Les gigueux et violoneux et calleux dans les veillées d'a, c'étaient des jazzmen incroyables!
Si "dondaine laridaine matapatatimalou mantalou laridé" c'est pas du scat en bonne et due forme, c'est quoi?
Mauvais flashback de Scatman John...WOUACHE!
ça me fascine, les musiciens d'autrefois...y'en avait moins, c'est certain, parce que les instruments étaient plus rares, mais leur qualité était exceptionnelle. Comme les infrastructures étaient quasi-inexistantes en régions, seuls les plus doués pouvaient se développer adéquatement...
J'aurais aimé ça vivre une vraie veillée de village!
Si "dondaine laridaine matapatatimalou mantalou laridé" c'est pas du scat en bonne et due forme, c'est quoi?
Mauvais flashback de Scatman John...WOUACHE!
ça me fascine, les musiciens d'autrefois...y'en avait moins, c'est certain, parce que les instruments étaient plus rares, mais leur qualité était exceptionnelle. Comme les infrastructures étaient quasi-inexistantes en régions, seuls les plus doués pouvaient se développer adéquatement...
J'aurais aimé ça vivre une vraie veillée de village!
dimanche 17 avril 2005
Je m'élève
Aucune allusion à une quelconque auto-éducation; Papa et Maman Mailloux peuvent, à mon humble avis, être fiers de leur travail. je suis respectueux, propre de ma personne, poli (pas toujours, mais souvent) et jovial. Non, je m'élève dans le sens " aller aux barricades", "take a stand", "s'indigner"...bon, j'pense être clair...(take a stand...prendre un socle...)
- Quessé tu fais là man!
- Ben, j'prends un socle...
_ pourquoi man?
- pour protester contre les coupes dans le mileu scolaire...
revenons à nos polatouches!
Bon, je m'indigne, je m'élève et je revendique l'incongruité...Souvent, les gens qui dépassent des cadres établis par la société sont considérés comme des parias! ça me tue!
Bon bon bon...Le premier exemple qui me vient en tête, ce sont les courageux scientifiques qui ont osé contester le fait que la Terre était le centre de l'Univers (en plus d'être plate...) ouf! Ça prenait des couilles grosses comme çca (mimer des grosses couilles) pour faire avaler l'héliocentrisme à une gang de psychotiques de la religion...Et je ne parle même pas de Darwinisme...(aux états-unis, certaines écoles ne l'enseignent plus, parce que ça contredit le créationnisme...Et ça ose taking a stand contre les théocraties du Moyent-Orient...POINT D'ORDRE MAILLOUX! POINT D'ORDRE!
Bon...l'incongru, le différent, l'autre. Y,a une certaine forme de crainte dans le rejet de la différence, de l'absurde, une part d'envie aussi. Quand quelqu'un ose être différent (je reviendrai là-dessus plus tard), çca fait chier! Parce que l'autre l'a fait, mais pas nous...On voudrait avoir le guts de le faire, mais souvent on est pissou...pissou de s'faire ostraciser, pissou de devoir assumer totalement nos choix, notre indivudalité. Non, on préfère rester un bon petit citoyen, gentil, poli, bien peigné...
mais faut faire attention à une chose: comme je l'ai déjà écrit, nous ne sommes pas tous différents...y'a des personnes qui n'oseront jamais affirmer une différence marquée avec la majorité de la population parce que cette différence n'existe tout simplement pas...Et ce n'est pas un problème pour ces gens-là...Non, il faut faire attention à affirmer sa différence pour vouloir être différent...poser quoi...
J'suis pour les déclarations de différence, à 100%. Pas avec des mots...Dire: "Moi, je suis différent", ne prouve qu'une chose, que la personne constate amèrement sa grisaille toute personnelle. le chien qui jappe mord pas fort La différence, ça se vit, l'individualité s'exprime dans chaque petit geste, dans le quotidien, pas dans des grands éclats..du moins, c'est ce que je crois...
INDIVIDUALITÉ...j'ai peut-être tort, mais si j'décortique les racines de ce mot, j'arrive à INDIVI et DUALITÉ (avec in et dividualité, mon résultat aurait pas été concluant..") Une dualité indivisible...un déchirement constant entre la masse et l'unicité de l'individu...
Toute cette théorie de pacotille pour expliquer le pourquoi de mon illumination: faut pas être peureux parce qu'on est différent, bizarre, incongru, incompris...faut célébrer notre ADN et notre ,*gasp*, âme...Et accepter celles des autres...
Anyway, y'a une chose qui sera toujours importante pour moi...Si j'pose un geste, je ne m'attends à aucune réaction de personne: je le pose parce que j'en ai envie, en j'en retire une satisfaction.
----------
Dernière pensée, directement de jack handey....
"si un jour les chiens gouvernent la Terre, j'espère qu'ils ne choisiront pas leur chef en fonction de la taille, parce que je suis certain qu'il y a des chihuahuas qui ont des maudites bonnes idées!"
- Quessé tu fais là man!
- Ben, j'prends un socle...
_ pourquoi man?
- pour protester contre les coupes dans le mileu scolaire...
revenons à nos polatouches!
Bon, je m'indigne, je m'élève et je revendique l'incongruité...Souvent, les gens qui dépassent des cadres établis par la société sont considérés comme des parias! ça me tue!
Bon bon bon...Le premier exemple qui me vient en tête, ce sont les courageux scientifiques qui ont osé contester le fait que la Terre était le centre de l'Univers (en plus d'être plate...) ouf! Ça prenait des couilles grosses comme çca (mimer des grosses couilles) pour faire avaler l'héliocentrisme à une gang de psychotiques de la religion...Et je ne parle même pas de Darwinisme...(aux états-unis, certaines écoles ne l'enseignent plus, parce que ça contredit le créationnisme...Et ça ose taking a stand contre les théocraties du Moyent-Orient...POINT D'ORDRE MAILLOUX! POINT D'ORDRE!
Bon...l'incongru, le différent, l'autre. Y,a une certaine forme de crainte dans le rejet de la différence, de l'absurde, une part d'envie aussi. Quand quelqu'un ose être différent (je reviendrai là-dessus plus tard), çca fait chier! Parce que l'autre l'a fait, mais pas nous...On voudrait avoir le guts de le faire, mais souvent on est pissou...pissou de s'faire ostraciser, pissou de devoir assumer totalement nos choix, notre indivudalité. Non, on préfère rester un bon petit citoyen, gentil, poli, bien peigné...
mais faut faire attention à une chose: comme je l'ai déjà écrit, nous ne sommes pas tous différents...y'a des personnes qui n'oseront jamais affirmer une différence marquée avec la majorité de la population parce que cette différence n'existe tout simplement pas...Et ce n'est pas un problème pour ces gens-là...Non, il faut faire attention à affirmer sa différence pour vouloir être différent...poser quoi...
J'suis pour les déclarations de différence, à 100%. Pas avec des mots...Dire: "Moi, je suis différent", ne prouve qu'une chose, que la personne constate amèrement sa grisaille toute personnelle. le chien qui jappe mord pas fort La différence, ça se vit, l'individualité s'exprime dans chaque petit geste, dans le quotidien, pas dans des grands éclats..du moins, c'est ce que je crois...
INDIVIDUALITÉ...j'ai peut-être tort, mais si j'décortique les racines de ce mot, j'arrive à INDIVI et DUALITÉ (avec in et dividualité, mon résultat aurait pas été concluant..") Une dualité indivisible...un déchirement constant entre la masse et l'unicité de l'individu...
Toute cette théorie de pacotille pour expliquer le pourquoi de mon illumination: faut pas être peureux parce qu'on est différent, bizarre, incongru, incompris...faut célébrer notre ADN et notre ,*gasp*, âme...Et accepter celles des autres...
Anyway, y'a une chose qui sera toujours importante pour moi...Si j'pose un geste, je ne m'attends à aucune réaction de personne: je le pose parce que j'en ai envie, en j'en retire une satisfaction.
----------
Dernière pensée, directement de jack handey....
"si un jour les chiens gouvernent la Terre, j'espère qu'ils ne choisiront pas leur chef en fonction de la taille, parce que je suis certain qu'il y a des chihuahuas qui ont des maudites bonnes idées!"
vendredi 15 avril 2005
Coudonc'
Y'a-ti juste moi qui aime ça, Casting???
C'est sûr que le concept donne droit à des imperfections
C'est sûr que c'est quelques fois tiré par les cheveux...
Mais j'aime bien les personnages (en majorité), les intrigues de plus en plus poussées et ficelées...
J'trouve ça cool, et les personnages sont super attachants, même Justin, maintenant qu'on a compris pourquoi il est comme il est...
Même si j'ai de la difficulté à blairer Barbusci en personne (on a fait de l'impro ensemble à quelques reprises), son Vlad est très intéressant (et me ressemble étrangement!)
Cette semaine, j'ai adoré la réplique de Seb, le nouveau cuisinier, lancée à Vlad!
"Ben...t'en as des beaux abdos Vlad!"
Comme si Brad Pitt disait à Chris Farley (RIP): "No way dude...YOU're good looking"
C'est sûr que le concept donne droit à des imperfections
C'est sûr que c'est quelques fois tiré par les cheveux...
Mais j'aime bien les personnages (en majorité), les intrigues de plus en plus poussées et ficelées...
J'trouve ça cool, et les personnages sont super attachants, même Justin, maintenant qu'on a compris pourquoi il est comme il est...
Même si j'ai de la difficulté à blairer Barbusci en personne (on a fait de l'impro ensemble à quelques reprises), son Vlad est très intéressant (et me ressemble étrangement!)
Cette semaine, j'ai adoré la réplique de Seb, le nouveau cuisinier, lancée à Vlad!
"Ben...t'en as des beaux abdos Vlad!"
Comme si Brad Pitt disait à Chris Farley (RIP): "No way dude...YOU're good looking"
Ah, J'ai hâte!
Au petit trot s'en va le cheval avec les grelots...(j'me souviens juste de la version québécoise!)
Écoutez les clochettes, du joyeux, temps de fêtes
Annonçant la joie, dans chaque coeur qui bat
Au royaume du bonhomme Hiver!
Plus que 8 mois et 10 jours!
Écoutez les clochettes, du joyeux, temps de fêtes
Annonçant la joie, dans chaque coeur qui bat
Au royaume du bonhomme Hiver!
Plus que 8 mois et 10 jours!
Moi, j'suis un peu naïf
Adolescent, j'ai lu la série complète de Lucy Maud Montgomery, Emilie de la Nouvelle-Lune, croyant qu'il y aurait des histoires de louve-garou adolescente, déchiquetant des membres sanguinolents...
...J'ai été déçu...
...J'ai été déçu...
jeudi 14 avril 2005
Notre ami Rosaire continue sa route!
C’est le retour ce notre boule de poils favorite…ROSAIRE!
Résumé pour les ceuzes et les celles qui n’ont pas de mémoire ou sont trop paresseux pour lire les segments précédents de l’histoire….
*Rosaire, c’est un hamster, ce petit rongeur sympathique que plusieurs familles gardent dans des cages et flushent dans les toilettes quand les mamans sont tannés de s’en occuper à la place des enfants. Il a appris à danser pour séduire une hasmterine, qui est malencontreusement partie avec un rat…(elles partent toutes avec des rats) Après une tentative de suicide ratée et une tuerie dans les studios de Radio-Canada, il s’est fait un ennemi terrible en la personne du Doc mailloux. Il a visité la Ronde et est parti pour l’Ouest avec le Vagabond. Aux dernières nouvelles, Rosaire est obèse, le Doc Mailloux, magané en sivouplait et le train fend toujours la nuit…*
- mayday, Mayday…les pentes de ski de Banff sont enduites de…de…on dirait…du gruau…
- Ouin, du gruau…Paraît que ça aide à coller les côtes…Entécas, c’est ça que ma mère me disait pour que je le mange le matin…
Brad et Jay font leur patrouille matinale sur les pentes de ski…Pendant la nuit, la neige a été remplacée par du gruau visqueux et dégoulinant…Encore un coup des extra-terrestres? C'est ce qu'on leur avait dit pour les sondes anales...
- Partez les canons à neige, vite ! (c’est pas important si c’est Brad ou Jay qui parle : ils se ressemblent physiquement et vont mourir dans quelques phrases…)
- Oui, partez les canons à neige, c’est beau la neige artificielle…Viens, suis-moi dans ce ballet semi-artistique et homoérotique. Descendons la piste avec la grâce des libellules, pour nous retrouver dans le jacuzzi du pavillon des employés!
- Que j’aime ton sourire coquin. Je te suis! (petit rire moune)
Nos deux..euh..fieffés coquins entreprennent ce qui sera leur dernière descente. Mais ça, ils ne le savent pas. Un gros bruit, que dis-je, une éructation foudroyante vient briser le silence, et la magie de nos deux compagnons…euh..intimes..
- Mais qu’est-ce?
- Je ne sais pas, souris. Tu es si mignon quand tu souris
- Oh! (face cute et rouge)
- Allez, on descend! Suis-moi
- Que j’aime ton sourire coquin. Je te suis! (petit rire moune) (vive le copier-coller)
Brad et Jay skient dans la joie, le bonheur et l’allégresse sans se douter que derrière eux, déferle une vague de gruau, qui les engloutira dans quelques secondes…
- Regarde comme il fait beau!
- Oui! Que j’aime ton sourire coquin. Je te suis! (petit rire moune) (ouin…)
Et la vague de gruau bouffe nos deux tatas!
- Nooooooooooooooooooooooon! Mon thorax est comprimé!
- C’est vrai ce que ta mère disait!
- Quoiiiiiiiiiiii!
- Le gruau, ça colle les côtes!
- J'aime ton sens de l'humour!Oh, je meurs!
- Que j’aime ton sourire coquin. Je te suis! (petit rire moune) ( exhalaison)
(on voit des wapitis sortir de la forêt et manger quelques bouchées de gruau. Un plus motivé saupoudre de la cassonade pour que ça goûte meilleur)
En haut de la montagne, Rosaire se lave la bouche avec de la neige…Il a retrouvé sa taille svelte, ayant débarrassé son corps de tout ce blé et cet avoine superflu…Il s’confectionne des skis en bâtons de popsicle et descend le versant ouest des rocheuses, pour arriver en Colombie_Britannique (OKAY Kevin, Rosaire va pas au Yukon….)
Il traverse la vallée de l’Okanagan, Vancouver et remonte la côte en direction des Aléoutiennes…
Il veut revoir le pays de ses ancêtres, voir les totems dont lui parlait Mémé hamster…Voir ses aïeux si fièrement représentés par les Aïdas…
La route ne fait que commencer pour Rosaire, qui ne remarque pas l’ombre qui le suit…Une forme humaine, avec des gros cheveux et des membres en paille…MAIS QUI ÇA POURRAIT BIEN ÊTRE? (TUDUM! (SON D’ORGUE!) )
Indice : c’n'est pas un saumon, même s’il y en a beaucoup en CB…
Indice : C’n'est pas un asiatique, même s’il y en a beaucoup en CB
Indice : C’n'est pas jack Layton
Indice : C’n'est pas l’épouvantail dans le magicien d’Oz
Indice : C’n'est pas le gars qui fait Da Vinci’s inquest
(bon….pour ceux qui s’en doutent pas…vous êtes caves! C’est le Doc Mailloux! Il revient tout l’temps! Sa résilience est pire que celle de Jason, Freddy, Eraserheads et touttes les monstres réunis! C’est à cause de sa mère je pense…)
Résumé pour les ceuzes et les celles qui n’ont pas de mémoire ou sont trop paresseux pour lire les segments précédents de l’histoire….
*Rosaire, c’est un hamster, ce petit rongeur sympathique que plusieurs familles gardent dans des cages et flushent dans les toilettes quand les mamans sont tannés de s’en occuper à la place des enfants. Il a appris à danser pour séduire une hasmterine, qui est malencontreusement partie avec un rat…(elles partent toutes avec des rats) Après une tentative de suicide ratée et une tuerie dans les studios de Radio-Canada, il s’est fait un ennemi terrible en la personne du Doc mailloux. Il a visité la Ronde et est parti pour l’Ouest avec le Vagabond. Aux dernières nouvelles, Rosaire est obèse, le Doc Mailloux, magané en sivouplait et le train fend toujours la nuit…*
- mayday, Mayday…les pentes de ski de Banff sont enduites de…de…on dirait…du gruau…
- Ouin, du gruau…Paraît que ça aide à coller les côtes…Entécas, c’est ça que ma mère me disait pour que je le mange le matin…
Brad et Jay font leur patrouille matinale sur les pentes de ski…Pendant la nuit, la neige a été remplacée par du gruau visqueux et dégoulinant…Encore un coup des extra-terrestres? C'est ce qu'on leur avait dit pour les sondes anales...
- Partez les canons à neige, vite ! (c’est pas important si c’est Brad ou Jay qui parle : ils se ressemblent physiquement et vont mourir dans quelques phrases…)
- Oui, partez les canons à neige, c’est beau la neige artificielle…Viens, suis-moi dans ce ballet semi-artistique et homoérotique. Descendons la piste avec la grâce des libellules, pour nous retrouver dans le jacuzzi du pavillon des employés!
- Que j’aime ton sourire coquin. Je te suis! (petit rire moune)
Nos deux..euh..fieffés coquins entreprennent ce qui sera leur dernière descente. Mais ça, ils ne le savent pas. Un gros bruit, que dis-je, une éructation foudroyante vient briser le silence, et la magie de nos deux compagnons…euh..intimes..
- Mais qu’est-ce?
- Je ne sais pas, souris. Tu es si mignon quand tu souris
- Oh! (face cute et rouge)
- Allez, on descend! Suis-moi
- Que j’aime ton sourire coquin. Je te suis! (petit rire moune) (vive le copier-coller)
Brad et Jay skient dans la joie, le bonheur et l’allégresse sans se douter que derrière eux, déferle une vague de gruau, qui les engloutira dans quelques secondes…
- Regarde comme il fait beau!
- Oui! Que j’aime ton sourire coquin. Je te suis! (petit rire moune) (ouin…)
Et la vague de gruau bouffe nos deux tatas!
- Nooooooooooooooooooooooon! Mon thorax est comprimé!
- C’est vrai ce que ta mère disait!
- Quoiiiiiiiiiiii!
- Le gruau, ça colle les côtes!
- J'aime ton sens de l'humour!Oh, je meurs!
- Que j’aime ton sourire coquin. Je te suis! (petit rire moune) ( exhalaison)
(on voit des wapitis sortir de la forêt et manger quelques bouchées de gruau. Un plus motivé saupoudre de la cassonade pour que ça goûte meilleur)
En haut de la montagne, Rosaire se lave la bouche avec de la neige…Il a retrouvé sa taille svelte, ayant débarrassé son corps de tout ce blé et cet avoine superflu…Il s’confectionne des skis en bâtons de popsicle et descend le versant ouest des rocheuses, pour arriver en Colombie_Britannique (OKAY Kevin, Rosaire va pas au Yukon….)
Il traverse la vallée de l’Okanagan, Vancouver et remonte la côte en direction des Aléoutiennes…
Il veut revoir le pays de ses ancêtres, voir les totems dont lui parlait Mémé hamster…Voir ses aïeux si fièrement représentés par les Aïdas…
La route ne fait que commencer pour Rosaire, qui ne remarque pas l’ombre qui le suit…Une forme humaine, avec des gros cheveux et des membres en paille…MAIS QUI ÇA POURRAIT BIEN ÊTRE? (TUDUM! (SON D’ORGUE!) )
Indice : c’n'est pas un saumon, même s’il y en a beaucoup en CB…
Indice : C’n'est pas un asiatique, même s’il y en a beaucoup en CB
Indice : C’n'est pas jack Layton
Indice : C’n'est pas l’épouvantail dans le magicien d’Oz
Indice : C’n'est pas le gars qui fait Da Vinci’s inquest
(bon….pour ceux qui s’en doutent pas…vous êtes caves! C’est le Doc Mailloux! Il revient tout l’temps! Sa résilience est pire que celle de Jason, Freddy, Eraserheads et touttes les monstres réunis! C’est à cause de sa mère je pense…)
Noms de bands...
J'ai été dans quelques bands, avec des noms plus ou moins...euh...beaux!
Moshroom (trouvé en regardant les cannages dans la cave du drummer, où on pratiquait...Mushroom...Moshroom...Chambre pour mosher...ouf! ) un peu plus on s'nommait Nibblets!
Merrygold: trouvé par le drummer, un ti-cul de 15 ans...
Firmin's Sons: Firmin, nain de jardin en plâtre qui trônait devant la batterie, était notre père Spirituel...malheureusement, c'était mon idée. Le graphiste qui s'occupait des réprésentations visuelles avait transformé Firmin en dieu grec...WOW! On a quand même joué aux Foufs! :O)
Anémone 12: De Jacques St-Jacques, de la première mouture des BleuPoudre...Il parlait dans un CB de policier..."J'ai toujours rêvé dire ça: anémone 12, je répète..ANÉMONE 12.." Nos quatre fans qui venaient nous voir en show criaient: ANÉMONE....DOUZE....ANÉMONE...DOUZE...pathétique!
Tropical Goat: Nom très drôle (chèvre tropicale...) d'un band avec quatre grosses têtes de cochons. Ce band aurait pu se rendre loin parce que: On avait des chansons incroyables en quantité industrielle, on était tous à notre peak en tant que musiciens, on kickait des culs en spectacle. ça n'a pas marché parce que: le chanteur ne se souvenait pas toujours des paroles et des leads de keyboards, ce qui nous faisait tous chier; on s'engueulait sur les partitions de chacun, ce que les autres devaient jouer; y'avait des conflits personneles entre certains membres du band; j'étais pas assez disponible en dehors des pratiques...
Le Marmelade Trio: franchement, j'ai choisi ce nom-là parce que...a) ça veut rien dire du tout b) en pensant au Ben Folds Five, où ils étaient juste trois c) ça sonne bien!
Vertige: c'est mon autre band...Parce qu'on souhaite vous donner le vertige avec nos tounes! Y'a un band de country au Nouveau-Brunswick qui s'appelle de même...va falloir faire comme Bush et rajouter un X à la fin de notre nom! :O)
Ah oui, y'a eu Les Patriotes, band de covers québécois...qui est devenu Echo, qui est mort de sa belle mort...
Et le sympathique duo Carole et Ghislain, formé de StiBeaupré et de moi-même...On fait des covers, des compos niaiseuses aussi...pis ont fait les caves sur scène...
Un soir, on est en show, je joue de la guitare, Sti chante...Une corde pète...pas grave, je continue....la vis qui tient ma courroie lâche! pas grave...je continue! Ma guitare tenait sur moi par la pression de mon avant-bras et sonnait faux parce qu'il manquait une corde....MAIS QUELLE AVENTURE! hah ahhah ahahha a hahah ahha
Moshroom (trouvé en regardant les cannages dans la cave du drummer, où on pratiquait...Mushroom...Moshroom...Chambre pour mosher...ouf! ) un peu plus on s'nommait Nibblets!
Merrygold: trouvé par le drummer, un ti-cul de 15 ans...
Firmin's Sons: Firmin, nain de jardin en plâtre qui trônait devant la batterie, était notre père Spirituel...malheureusement, c'était mon idée. Le graphiste qui s'occupait des réprésentations visuelles avait transformé Firmin en dieu grec...WOW! On a quand même joué aux Foufs! :O)
Anémone 12: De Jacques St-Jacques, de la première mouture des BleuPoudre...Il parlait dans un CB de policier..."J'ai toujours rêvé dire ça: anémone 12, je répète..ANÉMONE 12.." Nos quatre fans qui venaient nous voir en show criaient: ANÉMONE....DOUZE....ANÉMONE...DOUZE...pathétique!
Tropical Goat: Nom très drôle (chèvre tropicale...) d'un band avec quatre grosses têtes de cochons. Ce band aurait pu se rendre loin parce que: On avait des chansons incroyables en quantité industrielle, on était tous à notre peak en tant que musiciens, on kickait des culs en spectacle. ça n'a pas marché parce que: le chanteur ne se souvenait pas toujours des paroles et des leads de keyboards, ce qui nous faisait tous chier; on s'engueulait sur les partitions de chacun, ce que les autres devaient jouer; y'avait des conflits personneles entre certains membres du band; j'étais pas assez disponible en dehors des pratiques...
Le Marmelade Trio: franchement, j'ai choisi ce nom-là parce que...a) ça veut rien dire du tout b) en pensant au Ben Folds Five, où ils étaient juste trois c) ça sonne bien!
Vertige: c'est mon autre band...Parce qu'on souhaite vous donner le vertige avec nos tounes! Y'a un band de country au Nouveau-Brunswick qui s'appelle de même...va falloir faire comme Bush et rajouter un X à la fin de notre nom! :O)
Ah oui, y'a eu Les Patriotes, band de covers québécois...qui est devenu Echo, qui est mort de sa belle mort...
Et le sympathique duo Carole et Ghislain, formé de StiBeaupré et de moi-même...On fait des covers, des compos niaiseuses aussi...pis ont fait les caves sur scène...
Un soir, on est en show, je joue de la guitare, Sti chante...Une corde pète...pas grave, je continue....la vis qui tient ma courroie lâche! pas grave...je continue! Ma guitare tenait sur moi par la pression de mon avant-bras et sonnait faux parce qu'il manquait une corde....MAIS QUELLE AVENTURE! hah ahhah ahahha a hahah ahha
mercredi 13 avril 2005
Une chance que...
- Je ne suis pas byslexique, qarce pue je mélanqerais certaines lettres de l'alqhadet avec b'autres lettres et mes qosts serait souvent illisidles, un qeu comme ces mots pue vous tentez vainement de béchiffrer.
- pitou pitou pitou je ne souffre pas du syndrome de Gilles de miaou miaou miauou de la pitou pitou pitou gr gre gre gregergre - la Tourette. Gr gr gr gr miaou miaou miaou pitout vous pitou pitou pitou gr gr gr gr grmiaou penseriez peut- pitou pitou gr gr gr miauou être que je vous pitou TABARNAK insulte!
- ne suis pas autiste....(balancement répétitif d'avant en arrière...bruit d'avion avec ma bouche...répéter inlassablement)
- ne suis pas manchot...j'écrirais avec mon nez et mon clavier aurait le rhume.
- ne suis pas quadraplégique: ce n'est pas pratique pour jouer de la basse.
- ne suit pas aveugle...j'écrirais mon blogue en braille.
- Sourd être pas. Phrase bizarre construire. Cause sourd parler direct langage signe. Courte phrase comprendre vite. Sujet verbe complément exister non. Penser pas subordonnée conjonction coordination. Fuck!
- Dysphasique. je remplacerais certains bateaux par d'autres bateaux. mais comme vous ne me connaîtriez pas, vous ne sauriez pas quel bateau remplace quel bateau dans ma tête. Comme mon grand-père...Kleenex voulait dire biscuit...Il voulait manger des kleenex...L'infirmière, ça la stressait pas: y'a ben des patients qui mangent déjà des kleenex.
Manger des trucs pas rapport...ça me fait penser à deux histoires...au secondaire, on s'donnait des défis au pensionnat...celui qui goûterait à telle ou telle chose...de l'antisudorifique...c'est méchant!
ça m'fait penser aussi aux 5.75$ les moins bien dépensés de ma vie: louer the boss's daughter...OUACH! mais y'a deux gags très très très très drôles dans le film...qui rachètent presque le reste...
carmen electra et un ancien de saturdy night live tombent dans une fontaine...on voit très très rapidement carmen electra se caresser les seins par-dessus son t-shirt blanc mouillé, mais la caméra passe en un instant sur le gars, redneck avec casquette de camionneur et chemise de cowboy, se caresser langoureusement le torse, avec contorsions faciales...PIssant...
à la fin du film, le groupe d'amis retape la maison pour que leur visite passe inaperçue...un gars reteint une table...regarde autour de lui, fait une tite face coupable et boit du verni...Il bouffe une autre chose...mais le plus drôle (la règle de trois...la troisième fois, c'est la plus drôle) Il replace de la terre dans un pot...regarde encore autour de lui, engouffre une grosse poignée de terre et s'en délecte...comme si la terre était un péché véniel...genre: je sais que la terre, c'est une gâterie, mais j'en mange pareil en cachette!
et je continue:
je n'ai pas subi de lobotomie: gna bave bave prout prout...gr trouit iatui kasjd s;lkjlfj lknvlknfa
je ne suis pas un poisson: parce qu'à part la vie de mes oeufs, la fraie si j'en f'sais, pis les maudits pêcheurs, j'aurais pas grand chose à écrire sur mon blog.
je ne suis pas l'abominable homme des neiges: parce que y'a jamais eu d'histoires sur l'abominable femme des neiges...comme les Ents.
j'ai mes petits orteils, sinon, je tomberais tout le temps...
(parenthèse)
je sais conduire: j'me ferais arrêter souvent au volant de ma grosse van bleue sinon!
( vraie parenthèse: si on a n'a plus de petits orteils, on tombe souvent...si on plus de jugement, on tombe souvent dans l'panneau, si on a pas d'indépendance affective, on tombe souvent en amour...(tomber dans l'panneau...c'est qui le plus cave, dans cette expression-là? Celui qui tombe dans l'panneau ou le toton qui l'a posé par terre???) )
(quand j'mets les mots en gras et italique, je fais ctrl-i-b...iii-bé...e-bay! J'suis certain qu'y'a un complot! on poursuit microsoft et EBAY pour collusion!)
je suis sain d'esprit: voix intérieures: ça, ça reste à prouver...
je suis: sinon, je ne serais pas!
Prout tigoufrataloupustugrulytoutrhugjilop! Ou en bon français: trop de consonnes...
J'aimerais ça, qu'un jour, à des chiffres et des lettres, les concurrents niaisent d'aplomb le p'tit frappé qui anime, en disant 9 fois consonnes!
Consonne: W
Consonne: T
Consonne: Q
Consonne: S
Consonne: p
COnsonne D
Consonne: l
Consonne: j
et Consonne:m
titou titou (le bruit gossant de chrono...)
- Gérard ?
- Zéro
- FAbien?
- pas mieux
Il n'y avait aucun mot (pt'être que oui, mais pour ma joke, on n'en trouve pas, bon!)
Les chiffres maintenant
1 1 1 1 1 1 1
pour un total de 967
????
- pitou pitou pitou je ne souffre pas du syndrome de Gilles de miaou miaou miauou de la pitou pitou pitou gr gre gre gregergre - la Tourette. Gr gr gr gr miaou miaou miaou pitout vous pitou pitou pitou gr gr gr gr grmiaou penseriez peut- pitou pitou gr gr gr miauou être que je vous pitou TABARNAK insulte!
- ne suis pas autiste....(balancement répétitif d'avant en arrière...bruit d'avion avec ma bouche...répéter inlassablement)
- ne suis pas manchot...j'écrirais avec mon nez et mon clavier aurait le rhume.
- ne suis pas quadraplégique: ce n'est pas pratique pour jouer de la basse.
- ne suit pas aveugle...j'écrirais mon blogue en braille.
- Sourd être pas. Phrase bizarre construire. Cause sourd parler direct langage signe. Courte phrase comprendre vite. Sujet verbe complément exister non. Penser pas subordonnée conjonction coordination. Fuck!
- Dysphasique. je remplacerais certains bateaux par d'autres bateaux. mais comme vous ne me connaîtriez pas, vous ne sauriez pas quel bateau remplace quel bateau dans ma tête. Comme mon grand-père...Kleenex voulait dire biscuit...Il voulait manger des kleenex...L'infirmière, ça la stressait pas: y'a ben des patients qui mangent déjà des kleenex.
Manger des trucs pas rapport...ça me fait penser à deux histoires...au secondaire, on s'donnait des défis au pensionnat...celui qui goûterait à telle ou telle chose...de l'antisudorifique...c'est méchant!
ça m'fait penser aussi aux 5.75$ les moins bien dépensés de ma vie: louer the boss's daughter...OUACH! mais y'a deux gags très très très très drôles dans le film...qui rachètent presque le reste...
carmen electra et un ancien de saturdy night live tombent dans une fontaine...on voit très très rapidement carmen electra se caresser les seins par-dessus son t-shirt blanc mouillé, mais la caméra passe en un instant sur le gars, redneck avec casquette de camionneur et chemise de cowboy, se caresser langoureusement le torse, avec contorsions faciales...PIssant...
à la fin du film, le groupe d'amis retape la maison pour que leur visite passe inaperçue...un gars reteint une table...regarde autour de lui, fait une tite face coupable et boit du verni...Il bouffe une autre chose...mais le plus drôle (la règle de trois...la troisième fois, c'est la plus drôle) Il replace de la terre dans un pot...regarde encore autour de lui, engouffre une grosse poignée de terre et s'en délecte...comme si la terre était un péché véniel...genre: je sais que la terre, c'est une gâterie, mais j'en mange pareil en cachette!
et je continue:
je n'ai pas subi de lobotomie: gna bave bave prout prout...gr trouit iatui kasjd s;lkjlfj lknvlknfa
je ne suis pas un poisson: parce qu'à part la vie de mes oeufs, la fraie si j'en f'sais, pis les maudits pêcheurs, j'aurais pas grand chose à écrire sur mon blog.
je ne suis pas l'abominable homme des neiges: parce que y'a jamais eu d'histoires sur l'abominable femme des neiges...comme les Ents.
j'ai mes petits orteils, sinon, je tomberais tout le temps...
(parenthèse)
je sais conduire: j'me ferais arrêter souvent au volant de ma grosse van bleue sinon!
( vraie parenthèse: si on a n'a plus de petits orteils, on tombe souvent...si on plus de jugement, on tombe souvent dans l'panneau, si on a pas d'indépendance affective, on tombe souvent en amour...(tomber dans l'panneau...c'est qui le plus cave, dans cette expression-là? Celui qui tombe dans l'panneau ou le toton qui l'a posé par terre???) )
(quand j'mets les mots en gras et italique, je fais ctrl-i-b...iii-bé...e-bay! J'suis certain qu'y'a un complot! on poursuit microsoft et EBAY pour collusion!)
je suis sain d'esprit: voix intérieures: ça, ça reste à prouver...
je suis: sinon, je ne serais pas!
Prout tigoufrataloupustugrulytoutrhugjilop! Ou en bon français: trop de consonnes...
J'aimerais ça, qu'un jour, à des chiffres et des lettres, les concurrents niaisent d'aplomb le p'tit frappé qui anime, en disant 9 fois consonnes!
Consonne: W
Consonne: T
Consonne: Q
Consonne: S
Consonne: p
COnsonne D
Consonne: l
Consonne: j
et Consonne:m
titou titou (le bruit gossant de chrono...)
- Gérard ?
- Zéro
- FAbien?
- pas mieux
Il n'y avait aucun mot (pt'être que oui, mais pour ma joke, on n'en trouve pas, bon!)
Les chiffres maintenant
1 1 1 1 1 1 1
pour un total de 967
????
J'comprends des choses
En écrivant le dernier post, j'ai compris en partie pourquoi je buvais moins lors des partys chez-moi....Flashback en septembre 2003.
ça fait trois semaines que Catherine et moi on est amoureux. Carl et moi, on organise un party chenous (et les partys sont réputés...) Y'a ben du monde, on a du fun, je bois allègrement, comme tout le monde. On s'couche à 5 heures du matin. Y'a du monde qui font dodo chenous dont M (j'aime pas ça, pas écrire les noms, mais j'veux préserver l'anonymat de mon ami pour cette histoire) qui était arrivé au party sur le tard, vers minuit trente. Je l'avais installé sur le divan du salon, couverture et oreiller et tout le bataclan.
vers 5h45, des coups répétés et très forts me réveille! On frappe à la porte de ma chambre...
- Fred, Fred, lève-toi, vite! C'était Carl qui voulait me dire un petit quelque chose
je me lève d'un bond sur le lit...j'dis à catherine: "Lève toi, y'a l'feu! " (non mais, quessé ça pouvait être d'autre?)
je sors de la chambre en boxers...
-Quessé qu'y'a Carl?
- Là! Regarde, M. est couché dans le corridor!
* J'explique mon appart': long corridor de 45 pieds...avec, en ordre, bureau, chambre de carl, chambre de fred, salle de bains. Fin du corridor. SAlon, cuisine. M était couché dans le corridor, entre le bureau et la chambre de Carl, donc loin de son lieu de dodo*
- Quessé qu'il fait là?
- Y'était dehors! Il cognait, faque j'lui ai ouvert la porte!
- Il a voulu prendre l'air, c'es toutte!
- Non, la porte était barrée!
- Y peut pas barrer la porte, il a pas les clés!
- Regarde ses pieds!
Carl me pointe le pied de M. ensanglanté...des bouts de peau arrachés sous les orteils, sur le côté du pied...Il a le coude amoché aussi...M parle tout croche...il veut juste dormir...
- Enweye Carl, on va l'emmener dans le salon...
On le soulève, il a de la difficulté à se tenir sur une jambe...On lui fait une chaise avec nos bras, et on le couche sur le divan...Il répète qu'il veut dormir...No way bonhomme, tu restes réveillé!
Carl m'apporte de la ouate et de l'antiseptique! Pour nettoyer ses plaies qu'il me dit...J'lui dit qu'on va à l'hôpital, que je ne sais pas ce qu'il a...ni comment il est sorti...
Je lui demande...Il ne s'en rappelle plus. Je dis à carl de vérifier les fenêtres...Celle de la cuisine est grande ouverte, le moustiquaire est tassé...Je demande à M s'il est sorti par la fenêtre...Ses yeux s'embuent...Il dit qu'il aurait du sauter en bas du pont...
J'lui dis: on s'en va à l'hôpital, en ambulance..Il veut pas...On sait pas si tu t'es fait mal beaucoup...on prend pas de chance...CArl appelle l'ambulance pendant que, du mieux qu'on peut, Catherine et moi, tentons de réconforter notre ami...
Les ambulanciers arrivent...Ils posent des questions...Quand je leur dis que M est sorti par la fenêtre, ils croient qu'on se moque d'eux...J'habite dans un deuxième...Un des ambulanciers va dehors...Reviens..."Y'a bel et bien des taches de sang de la fenêtre de la cuisine jusqu'à la porte...Y'a un témoin, mais y'est en train de s'lécher l'derrière!" Sa blague détend un peu l'atmosphère...
J'appelle la copine de M, pour lui dire de nous rejoindre à l'Hôpital...Carl me dit de dormir un peu, d'aller le remplacer dans une couple d'heures...Le brouhaha s'termine...K, une de mes amies, sort du bureau, où elle était couchée. Et part à pleurer: état de choc! On la couche dans le lit de Carl, sans Carl et je retourne dans ma chambre, avec Catherine, qui me demande: pourquoi M a fait ça?
Ouin, pourquoi? Pis mes digues ont fendues...J'ai braillé comme un veau...Mon ami avait tenté de se suicider...du moins, c'est ce que je croyais.
J'vais à l'hôpital. Il sort de la salle d'observation...lacérations sous les pieds, au coude, contusion à la hanche...un miracle...
En jasant avec lui les jours qui ont suivis, on a pu reconstituer l'histoire...Qui est moins triste qu'elle en a l'air.
M se couche, ben saoûl...Il a chaud, veut prendre l'air. Il va jusqu'à la porte avant, bien verrouillée...gosse avec, grommelle et grogne (corroboré par K, qui a entendu du bruit vers 5h30) ...retourne dans le salon...fenêtre et rideau fermés...cuisine: fenêtre ouverte...pousse le moustiquaire...et sort, fesses premières:` M habitait alors dans un RDC....pour lui, juste en bas de la fenêtre de la cuisine, y'a du gazon...Il se laisse descendre...se tient sur le rebord...mais ses pieds ne touchent pas le sol...Il "patine" pour remonter...(bobos sur les côtés des pieds) mais perd prise...tombe de 5-6 pieds....accroche, avec ses orteils, le rebord de le fenêtre du voisin d'en bas (bobos sous les orteils, à la hanche) tombe vers l'arrière et percute le trottoir...(bobo coude et hanche encore)...se traîne jusque chez-moi et cogne...
M se souvient que: je lui ai dit bonne nuit et qu'il souriait (c'est vrai!) qu'il cognait à la porte et qu'il avait mal partout.
Une chance qu'il était mou en tombant...il aurait pu se casser beaucoup d'os...Une chance qu'il a accroché le rebord de la fenêtre du voisin...il serait tombé les pieds en premier au sol...d'une hauteur de 15-20 pieds...
C'est pour ça que je bois moins quand y'a des partys chez-moi...parce que je ne veux pas qu'il arrive d'autres malheurs comme ça à mes amis.
ça fait trois semaines que Catherine et moi on est amoureux. Carl et moi, on organise un party chenous (et les partys sont réputés...) Y'a ben du monde, on a du fun, je bois allègrement, comme tout le monde. On s'couche à 5 heures du matin. Y'a du monde qui font dodo chenous dont M (j'aime pas ça, pas écrire les noms, mais j'veux préserver l'anonymat de mon ami pour cette histoire) qui était arrivé au party sur le tard, vers minuit trente. Je l'avais installé sur le divan du salon, couverture et oreiller et tout le bataclan.
vers 5h45, des coups répétés et très forts me réveille! On frappe à la porte de ma chambre...
- Fred, Fred, lève-toi, vite! C'était Carl qui voulait me dire un petit quelque chose
je me lève d'un bond sur le lit...j'dis à catherine: "Lève toi, y'a l'feu! " (non mais, quessé ça pouvait être d'autre?)
je sors de la chambre en boxers...
-Quessé qu'y'a Carl?
- Là! Regarde, M. est couché dans le corridor!
* J'explique mon appart': long corridor de 45 pieds...avec, en ordre, bureau, chambre de carl, chambre de fred, salle de bains. Fin du corridor. SAlon, cuisine. M était couché dans le corridor, entre le bureau et la chambre de Carl, donc loin de son lieu de dodo*
- Quessé qu'il fait là?
- Y'était dehors! Il cognait, faque j'lui ai ouvert la porte!
- Il a voulu prendre l'air, c'es toutte!
- Non, la porte était barrée!
- Y peut pas barrer la porte, il a pas les clés!
- Regarde ses pieds!
Carl me pointe le pied de M. ensanglanté...des bouts de peau arrachés sous les orteils, sur le côté du pied...Il a le coude amoché aussi...M parle tout croche...il veut juste dormir...
- Enweye Carl, on va l'emmener dans le salon...
On le soulève, il a de la difficulté à se tenir sur une jambe...On lui fait une chaise avec nos bras, et on le couche sur le divan...Il répète qu'il veut dormir...No way bonhomme, tu restes réveillé!
Carl m'apporte de la ouate et de l'antiseptique! Pour nettoyer ses plaies qu'il me dit...J'lui dit qu'on va à l'hôpital, que je ne sais pas ce qu'il a...ni comment il est sorti...
Je lui demande...Il ne s'en rappelle plus. Je dis à carl de vérifier les fenêtres...Celle de la cuisine est grande ouverte, le moustiquaire est tassé...Je demande à M s'il est sorti par la fenêtre...Ses yeux s'embuent...Il dit qu'il aurait du sauter en bas du pont...
J'lui dis: on s'en va à l'hôpital, en ambulance..Il veut pas...On sait pas si tu t'es fait mal beaucoup...on prend pas de chance...CArl appelle l'ambulance pendant que, du mieux qu'on peut, Catherine et moi, tentons de réconforter notre ami...
Les ambulanciers arrivent...Ils posent des questions...Quand je leur dis que M est sorti par la fenêtre, ils croient qu'on se moque d'eux...J'habite dans un deuxième...Un des ambulanciers va dehors...Reviens..."Y'a bel et bien des taches de sang de la fenêtre de la cuisine jusqu'à la porte...Y'a un témoin, mais y'est en train de s'lécher l'derrière!" Sa blague détend un peu l'atmosphère...
J'appelle la copine de M, pour lui dire de nous rejoindre à l'Hôpital...Carl me dit de dormir un peu, d'aller le remplacer dans une couple d'heures...Le brouhaha s'termine...K, une de mes amies, sort du bureau, où elle était couchée. Et part à pleurer: état de choc! On la couche dans le lit de Carl, sans Carl et je retourne dans ma chambre, avec Catherine, qui me demande: pourquoi M a fait ça?
Ouin, pourquoi? Pis mes digues ont fendues...J'ai braillé comme un veau...Mon ami avait tenté de se suicider...du moins, c'est ce que je croyais.
J'vais à l'hôpital. Il sort de la salle d'observation...lacérations sous les pieds, au coude, contusion à la hanche...un miracle...
En jasant avec lui les jours qui ont suivis, on a pu reconstituer l'histoire...Qui est moins triste qu'elle en a l'air.
M se couche, ben saoûl...Il a chaud, veut prendre l'air. Il va jusqu'à la porte avant, bien verrouillée...gosse avec, grommelle et grogne (corroboré par K, qui a entendu du bruit vers 5h30) ...retourne dans le salon...fenêtre et rideau fermés...cuisine: fenêtre ouverte...pousse le moustiquaire...et sort, fesses premières:` M habitait alors dans un RDC....pour lui, juste en bas de la fenêtre de la cuisine, y'a du gazon...Il se laisse descendre...se tient sur le rebord...mais ses pieds ne touchent pas le sol...Il "patine" pour remonter...(bobos sur les côtés des pieds) mais perd prise...tombe de 5-6 pieds....accroche, avec ses orteils, le rebord de le fenêtre du voisin d'en bas (bobos sous les orteils, à la hanche) tombe vers l'arrière et percute le trottoir...(bobo coude et hanche encore)...se traîne jusque chez-moi et cogne...
M se souvient que: je lui ai dit bonne nuit et qu'il souriait (c'est vrai!) qu'il cognait à la porte et qu'il avait mal partout.
Une chance qu'il était mou en tombant...il aurait pu se casser beaucoup d'os...Une chance qu'il a accroché le rebord de la fenêtre du voisin...il serait tombé les pieds en premier au sol...d'une hauteur de 15-20 pieds...
C'est pour ça que je bois moins quand y'a des partys chez-moi...parce que je ne veux pas qu'il arrive d'autres malheurs comme ça à mes amis.
dans deux semaines (ou presque)
Dans deux semaines (un peu plus...) ça va être la fête...ça va être MA fête!
On va bambocher! pas prendre de travail le lendemain, parce que j'aimais bien la règle d'or des partys chez-moi: le party se termine quand le soleil se lève!
Wow! ça fait qu'à ma fête d'il y a deux ans, on s'est couchés à 8h! Ben m'a réveillé à 8h30 pour prendre mes clés d'auto: il allait à l'épicerie, chercher des trucs pour faire un groooooooooooos déjeûner. Me suis levé à 8h45, fait un peu de ménage autour des corps étendus dans le salon, ramassé les bouteilles...Ben est revenu pis on s'est fait une bouffe de l'enfer! Wow!
J'sais pas, c'est peut-être le fait que pomal tous mes amis sont maintenant en couple, mais ça fête un peu moins. Peut-être parce que moi aussi je suis en couple. On dompte le "party animal" (respect, Jack Layton) en nous... J'suis pas nostalgique, loin de là. J'suis content d'avoir fait le party plus souvent qu'à mon tour, mais j'suis aussi content d'être un peu plus pépère sur la consommation d'alcool.
Y'a une chaîne de courrier qui circulait qui disait qu'on pouvait savoir si on était vieux avec nos achats d'alcool...tu sais que tu es rendu vieux quand tu t'achètes une bouteille à 20$ au lieu de 2 à 10$....Point d'ordre monsieur, point d'ordre...
Toujours est-il (j'aime cette expression...ça suppose l'immuabilité des choses) que oui, je vieillis, non, j'ai jamais viré une grosse brosse avec ma blonde (sauf le souper avec sa mère et Robert...on avait sifflé 5 bouteilles de vin, une de porto et une moitié de bailey's...) et que ça ne me dérange pas plus que ça.
C'est vrai que pour moi, l'alcool me déliait la langue auprès des demoiselles...SAuf que (carl peut en témoigner) , la première fois que j'ai rencontré catherine, je m'étais mindé à ne pas être muet!
J'tiendrai pas compte des garde-fous
ceux qui régissent mon occident
j'te gagnerai par mon bagoût
pas par accident
FM - Des continents
J'ai écrit cette chanson-là la journée avant de rencontrer CAtherine....
Bon...où suis-je rendu...Sujet amené...sujet posé...sujet divisé...OUI! Ma fête!
Donc, on va faire un tournoi de XBOX chez Carl, de 11h à 17h! WOUHOU! Ensuite, on s'dirige vers mon domicile pour le PARTY! Et party il y aura! On s'couche quand le soleil se lève! On s'arrange pour que les fenêtre soient bien fermées et on trippe!
WOUAIS!
On va bambocher! pas prendre de travail le lendemain, parce que j'aimais bien la règle d'or des partys chez-moi: le party se termine quand le soleil se lève!
Wow! ça fait qu'à ma fête d'il y a deux ans, on s'est couchés à 8h! Ben m'a réveillé à 8h30 pour prendre mes clés d'auto: il allait à l'épicerie, chercher des trucs pour faire un groooooooooooos déjeûner. Me suis levé à 8h45, fait un peu de ménage autour des corps étendus dans le salon, ramassé les bouteilles...Ben est revenu pis on s'est fait une bouffe de l'enfer! Wow!
J'sais pas, c'est peut-être le fait que pomal tous mes amis sont maintenant en couple, mais ça fête un peu moins. Peut-être parce que moi aussi je suis en couple. On dompte le "party animal" (respect, Jack Layton) en nous... J'suis pas nostalgique, loin de là. J'suis content d'avoir fait le party plus souvent qu'à mon tour, mais j'suis aussi content d'être un peu plus pépère sur la consommation d'alcool.
Y'a une chaîne de courrier qui circulait qui disait qu'on pouvait savoir si on était vieux avec nos achats d'alcool...tu sais que tu es rendu vieux quand tu t'achètes une bouteille à 20$ au lieu de 2 à 10$....Point d'ordre monsieur, point d'ordre...
Toujours est-il (j'aime cette expression...ça suppose l'immuabilité des choses) que oui, je vieillis, non, j'ai jamais viré une grosse brosse avec ma blonde (sauf le souper avec sa mère et Robert...on avait sifflé 5 bouteilles de vin, une de porto et une moitié de bailey's...) et que ça ne me dérange pas plus que ça.
C'est vrai que pour moi, l'alcool me déliait la langue auprès des demoiselles...SAuf que (carl peut en témoigner) , la première fois que j'ai rencontré catherine, je m'étais mindé à ne pas être muet!
J'tiendrai pas compte des garde-fous
ceux qui régissent mon occident
j'te gagnerai par mon bagoût
pas par accident
FM - Des continents
J'ai écrit cette chanson-là la journée avant de rencontrer CAtherine....
Bon...où suis-je rendu...Sujet amené...sujet posé...sujet divisé...OUI! Ma fête!
Donc, on va faire un tournoi de XBOX chez Carl, de 11h à 17h! WOUHOU! Ensuite, on s'dirige vers mon domicile pour le PARTY! Et party il y aura! On s'couche quand le soleil se lève! On s'arrange pour que les fenêtre soient bien fermées et on trippe!
WOUAIS!
mardi 12 avril 2005
Beauté et mocheté back-to-back
Hier soir, peu après le souper, pendant que ma chère Catherine me préparait un succulent shortcake aux fraises/gelée de pommes...(première digression: catherine me dit souvent que ses amies trouvent que je suis le chum idéal...je ne savais pas que les p'tits gros chauves qui travaillent trop sont les hommes idéaux de certaines filles, mais quand j'étais au cégep (p'tit gros poilu avec une barbe de cou), ben, c'était pas l'cas...anyway...J'lui dis pas souvent à Catherine, mais mes amis, pour des raisons différentes, trouvent que ma blonde est vraiment incroyable...elle fait super bien à manger...elle est...euh...comment dire sans être vulgaire...créative dans notre vie...euh...de tous les jours...
CATHERINE! T'es la plus hot au monde, pis oui, t'es plus belle que Martha wainwright! (qui a déjà été assise entre mes cuisses, juste devant mon érection qui menaçait de perforer avec douleur la fermeture éclair de mon pantalon...10 minutes agréables et douloureuses à la fois))
J'étais donc avaché devant la télé quand j'ai entendu le début de la nouvelle toune de Jack Johnson. Je trouve le vidéo un peu bizarre: normal, il a été tourné à l'envers (du moins, c'est ce que je crois....) Ce qui est fort là-dedans, c'est que c'est très très très synchro...Le solo de piano, la bouche sur les mots (il a appris les mots à l'envers! CHAPEAU!), les actions...le jeu de guitare...WOW....en plus, y'a pas beaucoup de points d'édition dans le clip, c'-à-d. des endroits où les musiciens peuvent reprendre une section de la chanson...un peu comme dans ce film d'Hitchcock dont j'oublie le nom, où tout était tourné en plan séquence...il zoomait sur le veston de qqn ou pannait au noir pour changer de plan...Bravo pour la technique, qui, sans être vraiment nouvelle, m'a donné des petits frissons de trippeux d'images!
Y'a eu semisonic, qui avec closing time avait fait un doublé...tout devait être synchro dans les deux images qui passaient simultanément...pas facile...Blink 182 aussi, récemment, avec une toune dont je ne me souviens pas...
jack Johnson, c'était la beauté...La mocheté suivait immédiatement ce vidéo...
c'était Lies de Arcade Fire...
Une bonne idée que celle du joueur de pipeau, où les enfants suivent les musiciens pour se retrouver au cimetière pour s'amuser dans les feuilles mortes (pas les gens d'Arcade Fire, ils ne savent pas ce que veut dire s'amuser). Le flou et les nuances d'orangé de l'automne, c'est esthétique aussi...Mais les p'tits effets "plus poches" que ceux d'iMovie, on aurait pu s'en passer...Pas besoin de petits flashes bleus pour comprendre que les enfants sont tétanisés par la musique du band...POur reprendre les propos de Cath: ça va pas bien vieillir...
J'aurais aimé un vidéo à la hauteur de la chanson disons...
CATHERINE! T'es la plus hot au monde, pis oui, t'es plus belle que Martha wainwright! (qui a déjà été assise entre mes cuisses, juste devant mon érection qui menaçait de perforer avec douleur la fermeture éclair de mon pantalon...10 minutes agréables et douloureuses à la fois))
J'étais donc avaché devant la télé quand j'ai entendu le début de la nouvelle toune de Jack Johnson. Je trouve le vidéo un peu bizarre: normal, il a été tourné à l'envers (du moins, c'est ce que je crois....) Ce qui est fort là-dedans, c'est que c'est très très très synchro...Le solo de piano, la bouche sur les mots (il a appris les mots à l'envers! CHAPEAU!), les actions...le jeu de guitare...WOW....en plus, y'a pas beaucoup de points d'édition dans le clip, c'-à-d. des endroits où les musiciens peuvent reprendre une section de la chanson...un peu comme dans ce film d'Hitchcock dont j'oublie le nom, où tout était tourné en plan séquence...il zoomait sur le veston de qqn ou pannait au noir pour changer de plan...Bravo pour la technique, qui, sans être vraiment nouvelle, m'a donné des petits frissons de trippeux d'images!
Y'a eu semisonic, qui avec closing time avait fait un doublé...tout devait être synchro dans les deux images qui passaient simultanément...pas facile...Blink 182 aussi, récemment, avec une toune dont je ne me souviens pas...
jack Johnson, c'était la beauté...La mocheté suivait immédiatement ce vidéo...
c'était Lies de Arcade Fire...
Une bonne idée que celle du joueur de pipeau, où les enfants suivent les musiciens pour se retrouver au cimetière pour s'amuser dans les feuilles mortes (pas les gens d'Arcade Fire, ils ne savent pas ce que veut dire s'amuser). Le flou et les nuances d'orangé de l'automne, c'est esthétique aussi...Mais les p'tits effets "plus poches" que ceux d'iMovie, on aurait pu s'en passer...Pas besoin de petits flashes bleus pour comprendre que les enfants sont tétanisés par la musique du band...POur reprendre les propos de Cath: ça va pas bien vieillir...
J'aurais aimé un vidéo à la hauteur de la chanson disons...
Ah, le travail!
J'viens de refuser une partie de contrat, parce que je n'aurai pas le temps de le faire...Malheureusement, c'était une porte grande ouverte pour d'autres contrats intéressants.
c'est que je suis tanné à l'os de n'être qu'un tâcheron, que mon input personnel n'entre pas dans la réalisation de mon travail, que celui-ci soit objectif à l'os. Je cherche présentement...
Anyway, j'ai eu un appel hier pour refaire l'adapation (traduction) du film Nouvelle-France pour les lignes aériennes...J'ai dit non...c'est beaucoup trop de travail pour pas assez de temps...J'ai déjà un boulot à temps plein (que j'ai envie de laisser)...Avoir été contractuel tout le temps-tout le temps, j'aurais sauté sur cette occasion, même si ça voulait dire 13h par jour jusqu'au 21 avril...m'en fous, j'suis fait fort...Mais là, j'vais juste faire une partie de la détection...SHIT! à partir de ce soir, je finis de travailler, je bouffe et je retravaille jusqu'à 23h30. jusqu'à mercredi...ensuite, je m'effondre.
Sans farce, je cherche un travail un peu plus stimulant intellectuellement...un peu plus créatif aussi...
si vous avez des opportunités dans votre entourage, faites-moi signe!
Je ne peux pas: faire de web professionnellement, être graphiste non plus...à moins qu'on cherche un excellent dessinateur de bonhommes allumettes...
c'est que je suis tanné à l'os de n'être qu'un tâcheron, que mon input personnel n'entre pas dans la réalisation de mon travail, que celui-ci soit objectif à l'os. Je cherche présentement...
Anyway, j'ai eu un appel hier pour refaire l'adapation (traduction) du film Nouvelle-France pour les lignes aériennes...J'ai dit non...c'est beaucoup trop de travail pour pas assez de temps...J'ai déjà un boulot à temps plein (que j'ai envie de laisser)...Avoir été contractuel tout le temps-tout le temps, j'aurais sauté sur cette occasion, même si ça voulait dire 13h par jour jusqu'au 21 avril...m'en fous, j'suis fait fort...Mais là, j'vais juste faire une partie de la détection...SHIT! à partir de ce soir, je finis de travailler, je bouffe et je retravaille jusqu'à 23h30. jusqu'à mercredi...ensuite, je m'effondre.
Sans farce, je cherche un travail un peu plus stimulant intellectuellement...un peu plus créatif aussi...
si vous avez des opportunités dans votre entourage, faites-moi signe!
Je ne peux pas: faire de web professionnellement, être graphiste non plus...à moins qu'on cherche un excellent dessinateur de bonhommes allumettes...
lundi 11 avril 2005
Une bonne idée
Conversation avec ma chérie
« Chérie, après avoir regardé tout le monde en parle hier, j’pense qu’on devrait faire comme Sof de Zerotom et écrire chacun une liste de personnalités connues avec qui on aurait le droit de coucher si l’occasion se présentait…quessé t’en penses? »
« … »
« C’est une bonne idée de sortir du bureau pendant que je fais ma liste, comme ça tu vas pouvoir te concentrer sur la tienne…Bon…évidemment, Lucie Laurier…Karine Vanasse…Véronique Bannon…Thora Birch dans Ghost World…Mila Kunis …Mon amour?!?!?! Pourquoi le fer à repasser? Ben, tu peux faire la chemise bleue, pis la grise aussi…et y’aurait la rayée rouge…T’as écrit ta liste à la vapeur, c’est ça? Eille, c’est chaud, fait attention…AYOYE ! ça brûle…MONAMOUR! C’est douloureux! Ouch! PAS LÀ NONOOOOOOOOOOOOOOOOOOON! Aie Aie Aie Aie Aiie! Je souffre réellement là! Ça fait des cloques! MMM, ça sent l’poulet! OW! Chérie! J’suis pas fripé! Stop!
Ahhhhh….Ahhhha…. »
Finalement, c’est pas une si bonne idée que ça, la liste…Quessé tu fais avec de l’eau de Javel???
Oui oui, j’approuve ta liste! Moi? J’en ai pas besoin tu sais! Je t’aime!
« Chérie, après avoir regardé tout le monde en parle hier, j’pense qu’on devrait faire comme Sof de Zerotom et écrire chacun une liste de personnalités connues avec qui on aurait le droit de coucher si l’occasion se présentait…quessé t’en penses? »
« … »
« C’est une bonne idée de sortir du bureau pendant que je fais ma liste, comme ça tu vas pouvoir te concentrer sur la tienne…Bon…évidemment, Lucie Laurier…Karine Vanasse…Véronique Bannon…Thora Birch dans Ghost World…Mila Kunis …Mon amour?!?!?! Pourquoi le fer à repasser? Ben, tu peux faire la chemise bleue, pis la grise aussi…et y’aurait la rayée rouge…T’as écrit ta liste à la vapeur, c’est ça? Eille, c’est chaud, fait attention…AYOYE ! ça brûle…MONAMOUR! C’est douloureux! Ouch! PAS LÀ NONOOOOOOOOOOOOOOOOOOON! Aie Aie Aie Aie Aiie! Je souffre réellement là! Ça fait des cloques! MMM, ça sent l’poulet! OW! Chérie! J’suis pas fripé! Stop!
Ahhhhh….Ahhhha…. »
Finalement, c’est pas une si bonne idée que ça, la liste…Quessé tu fais avec de l’eau de Javel???
Oui oui, j’approuve ta liste! Moi? J’en ai pas besoin tu sais! Je t’aime!
J'ai fait un rêve
Où, dans ce monde dans lequel nous vivons, nous pouvions aller à la boucherie/bowling, là où lorsque tu cries: "ABATS!!!!", ce n'est pas parce que tu viens d'en faire un, mais parce que tu en veux plusieurs...
samedi 9 avril 2005
L'état des choses
As of today, l'album du MarmeladeTrio est rendu à:
batterie
10 chansons!
Guitare rythmique
2 chanson
Guitare solo
1 1/2 chanson
basse
1 chanson
Y'a ton superman (damn! faut que je réécrive le premier couplet!) où il ne reste que l'harmonica, la guitare acoustique, la voix et les textures sonores à ajouter
C'que ça m'prends: refaire les guitares rythmiques, donner le cd à McDuff pour qu'il fasse les solos, les voix et c'est dans l'sac
Mais qu'est-ce que t'avais?: refaire les guitares rythmiques, raffiner la basse, enregistrer les leads, donner le tout à cath pour le piano et enregistrer la voix.
les autres, ben...y'a rien de fait encore!
les prochaines: Ta face, Les bleus
ça avance à pas de tortue mais ça avance!
YES!
batterie
10 chansons!
Guitare rythmique
2 chanson
Guitare solo
1 1/2 chanson
basse
1 chanson
Y'a ton superman (damn! faut que je réécrive le premier couplet!) où il ne reste que l'harmonica, la guitare acoustique, la voix et les textures sonores à ajouter
C'que ça m'prends: refaire les guitares rythmiques, donner le cd à McDuff pour qu'il fasse les solos, les voix et c'est dans l'sac
Mais qu'est-ce que t'avais?: refaire les guitares rythmiques, raffiner la basse, enregistrer les leads, donner le tout à cath pour le piano et enregistrer la voix.
les autres, ben...y'a rien de fait encore!
les prochaines: Ta face, Les bleus
ça avance à pas de tortue mais ça avance!
YES!
vendredi 8 avril 2005
Deux choses
Une qui me fascine: les gens qui montent ou descendent les escaliers roulants...ILS BOUGENT DÉJÀ! c'est comme sauter dans un ascenseur ou courir dans une auto!
Une qui m'énarve: les gens qui ont les libres et qui appuient sur les boutons d'ouverture automatique des portes! NON MAIS! faut-y être PARESSEUX rare!
Une qui m'énarve: les gens qui ont les libres et qui appuient sur les boutons d'ouverture automatique des portes! NON MAIS! faut-y être PARESSEUX rare!
jeudi 7 avril 2005
Bands et artistes vus en pesstak
J'en ai vu quelques uns, alors j'vais sûrement en oublier! (j'vais aller loin dans ma mémoire aussi)
Cowboys Fringants x 2
Coldplay
The music
Cake
Live x 2
Holly McNarland x 2
Dave MAtthews Band x 3
Daniel Bélanger X 5
Desjardins x 2
Mes Aieux x 3
Ben Harper
Moist x 2
hHead
Afghan Whigs x 2
Howlin' Maggie
Luc de la Rochelière (sous la pluie, il y a longtemps...c'était cool!)
Weezer
Teenage Fanclub
That Dog
Dumas
Vallières
Martin Léon
Daniel grenier et les guerriers de la lumière
Les Denis Drolet
Louise Attaque x 2
Ann Victor
Les Mauvais quart d'heure
Émilie Simon
Caïman Fu
Richard Pelland
Thomas Fersen
Les trois accords
Le Karloff Orchestra
Ferland
Dan Bern
Rufus Wainwright x 2
Martha Wainwright
Lili Fatale
Faulkner
Stefie Shock
Camille
Metallica
Suicidal Tendencies
Danzig
J'en oublie, c'est certain...
Ceux que j'aimerais voir
Red Hot (même si c'est pourri live il paraît)
Pearl Jam
TOM WAITS
Mars Volta
Pierre Lapointe
Jack Johnson
Libertines
Benabar
et plein d'autres que j'oublie encore!
Et vous?
Cowboys Fringants x 2
Coldplay
The music
Cake
Live x 2
Holly McNarland x 2
Dave MAtthews Band x 3
Daniel Bélanger X 5
Desjardins x 2
Mes Aieux x 3
Ben Harper
Moist x 2
hHead
Afghan Whigs x 2
Howlin' Maggie
Luc de la Rochelière (sous la pluie, il y a longtemps...c'était cool!)
Weezer
Teenage Fanclub
That Dog
Dumas
Vallières
Martin Léon
Daniel grenier et les guerriers de la lumière
Les Denis Drolet
Louise Attaque x 2
Ann Victor
Les Mauvais quart d'heure
Émilie Simon
Caïman Fu
Richard Pelland
Thomas Fersen
Les trois accords
Le Karloff Orchestra
Ferland
Dan Bern
Rufus Wainwright x 2
Martha Wainwright
Lili Fatale
Faulkner
Stefie Shock
Camille
Metallica
Suicidal Tendencies
Danzig
J'en oublie, c'est certain...
Ceux que j'aimerais voir
Red Hot (même si c'est pourri live il paraît)
Pearl Jam
TOM WAITS
Mars Volta
Pierre Lapointe
Jack Johnson
Libertines
Benabar
et plein d'autres que j'oublie encore!
Et vous?
MIAM MIAM MIAM!
Ahhhh les baklavas! C'est un péché! Surtout ceux de chez Adonis! (Sur Sauvé, près de l'Acadie)
J'vais essayer cette recette(ok, demander à Catherine de les faire, ces baklavas...)
Ah oui! Catherine a fait de succulents Carrés aux dattes cette semaine! UN DÉLICE!
Et j'suis un pas pire cuisinier aussi, quand j'ai le temps!
Les plats que j'aime cuisiner (et surtout manger)
- Poulet au miel, accompagné de carottes caramélisées au thym
- Sauté aux légume nappé de sauce aux arachides (avec des morceaux de poulet...)
- Pâtes sauce rosée (avec des lanières de poulet)
- Le traditionnel steak/légumes/patates - basic and good! (mais sans poulet)
- Les rôtis (pis j'suis quand même pas pire!)
* J'avais bien aimé notre rôti de porc à la Cath et Frédéric...
à l'épicerie: Le rôti de porc est en spécial! Ok, on en achète...
Retour à la maison: COmment on fait cuire ça...Euh, j'sais pas...
Ok, on va mettre...euh..c'te sauce-là...euh..du poivre, tiens...pis ça et ça! Dans l'four à 450F et le tour est joué!
Crime que c'était bon!
Les plats que j'aime
- la majorité de la bouffe de mon papa! Soupe à l'ail, boulettes italiennes, frites maison, potages! c'est un excellent cuistot!
- la bouffe de ma blonde! (MIAM MIAM MIAM!)
- La bouffe de chez Zyng, l'Échalotte, Soupe Bol et Moe's
J'suis gourmand!
J'vais essayer cette recette(ok, demander à Catherine de les faire, ces baklavas...)
Ah oui! Catherine a fait de succulents Carrés aux dattes cette semaine! UN DÉLICE!
Et j'suis un pas pire cuisinier aussi, quand j'ai le temps!
Les plats que j'aime cuisiner (et surtout manger)
- Poulet au miel, accompagné de carottes caramélisées au thym
- Sauté aux légume nappé de sauce aux arachides (avec des morceaux de poulet...)
- Pâtes sauce rosée (avec des lanières de poulet)
- Le traditionnel steak/légumes/patates - basic and good! (mais sans poulet)
- Les rôtis (pis j'suis quand même pas pire!)
* J'avais bien aimé notre rôti de porc à la Cath et Frédéric...
à l'épicerie: Le rôti de porc est en spécial! Ok, on en achète...
Retour à la maison: COmment on fait cuire ça...Euh, j'sais pas...
Ok, on va mettre...euh..c'te sauce-là...euh..du poivre, tiens...pis ça et ça! Dans l'four à 450F et le tour est joué!
Crime que c'était bon!
Les plats que j'aime
- la majorité de la bouffe de mon papa! Soupe à l'ail, boulettes italiennes, frites maison, potages! c'est un excellent cuistot!
- la bouffe de ma blonde! (MIAM MIAM MIAM!)
- La bouffe de chez Zyng, l'Échalotte, Soupe Bol et Moe's
J'suis gourmand!
nouveaux proverbes
Voici des nouveaux proverbes...euh non...des proverbes réinventés pour qu'ils aient un VRAI sens
Charité bien ordonnée commence par...C.
Faut souffrir pour être... àl'urgence
L'amour est aveugle, c'est pour ça qu'il y a des pichous!
Quand le chat est parti, on a plus d'allergies!
En avril...y'a des jupes!
Qui vole un oeuf...en a oublié onze.
On fait pas d'omelettes...les jours de pleine lune
Qui sème le vent...va faire faillite
Qui trop embrasse...parle pas souvent
Qui trop embrasse...pogne des feux sauvages
qui trop embrasse...fait vivre listerine
qui trop embrasse...oublie ses autres zones érogènes
il n'y a pas de fumée...au vatican (pas encore)
chante-la ta...liste d'épicerie
loin des yeux...faut des lunettes
mains froides...achète-toé des gants!
les chiens aboient...pis ça dérange les voisins
a beau mentir...le vendeur de char
nul n'est prophète...quin Raël!
prudence est mère...de personne parce quand t'es prudent, tu te protèges!
l'avarice est...cheap!
l'avarice est...le singulier de "les varices"
Ouin...c'est pomal ça pour tu-suite...
Charité bien ordonnée commence par...C.
Faut souffrir pour être... àl'urgence
L'amour est aveugle, c'est pour ça qu'il y a des pichous!
Quand le chat est parti, on a plus d'allergies!
En avril...y'a des jupes!
Qui vole un oeuf...en a oublié onze.
On fait pas d'omelettes...les jours de pleine lune
Qui sème le vent...va faire faillite
Qui trop embrasse...parle pas souvent
Qui trop embrasse...pogne des feux sauvages
qui trop embrasse...fait vivre listerine
qui trop embrasse...oublie ses autres zones érogènes
il n'y a pas de fumée...au vatican (pas encore)
chante-la ta...liste d'épicerie
loin des yeux...faut des lunettes
mains froides...achète-toé des gants!
les chiens aboient...pis ça dérange les voisins
a beau mentir...le vendeur de char
nul n'est prophète...quin Raël!
prudence est mère...de personne parce quand t'es prudent, tu te protèges!
l'avarice est...cheap!
l'avarice est...le singulier de "les varices"
Ouin...c'est pomal ça pour tu-suite...
mercredi 6 avril 2005
J'en pleure tellement c'est drôle
Je suis à lire le dernier continent de François Avard, l'auteur des bougons et scripteurs de plusieurs numéros d'humoristes connus, dont Martin Matte. (critique et entrevue ici)...
Je n'ai que 70 et quelques pages de lues, mais faut que je me retienne pour ne pas me pisser dessus tellement c'est drôle. Ok, pas d'un drôle pour tous, mais moi, avec mon humour un peu left field, j'adore.
C'est pas sans rappeler Tom Creton (en moins dedans tout le temps ) par endroit. Des fins de phrases suspendues, des qualificatifs burlesques, des phrases détournées, totalement dépourvues ET chargées de sens...Wow!
C'est une plume très adroite, qui jongle habilement avec les mots et les expressions. PIS C'EST MONGOL!
Exemple: qui sème dans le vent récolte un peu à droite de son champ....
Celle qui m'a fait le plus rire à date c'est la suivante...Après un soliloque quasi ininterrompu (et décousu à souhait) un personnage lance: "Me suis-je bien compris?"
Tout simplement tordant!
Je n'ai que 70 et quelques pages de lues, mais faut que je me retienne pour ne pas me pisser dessus tellement c'est drôle. Ok, pas d'un drôle pour tous, mais moi, avec mon humour un peu left field, j'adore.
C'est pas sans rappeler Tom Creton (en moins dedans tout le temps ) par endroit. Des fins de phrases suspendues, des qualificatifs burlesques, des phrases détournées, totalement dépourvues ET chargées de sens...Wow!
C'est une plume très adroite, qui jongle habilement avec les mots et les expressions. PIS C'EST MONGOL!
Exemple: qui sème dans le vent récolte un peu à droite de son champ....
Celle qui m'a fait le plus rire à date c'est la suivante...Après un soliloque quasi ininterrompu (et décousu à souhait) un personnage lance: "Me suis-je bien compris?"
Tout simplement tordant!
chanson
Verrous
Quand j'te vois, j'suis autistique
Mon verbe-moteur manque d'essence
manque d'aisance
J'm'emballe
Malgré ma désinvolture
je vis ma déconfiture
j'te désacralise pour mieux t'envoyer promener
Pardonne-moi, c'est comme ça que j'ai appris à aimer
J'voudrais que tu m'dévoiles ton chat
ta chambre, tes cheveux, ton chiel
Et embarque sur la poubelle, proclame-toi reine de la ruelle
J'serai ton sujet le plus fidèle
Malgré ma désinvolture
je vis ma déconfiture
j'te désacralise pour mieux t'envoyer promener
Pardonne-moi, c'est comme ça que j'ai appris à aimer
J't'écris une lettre sous les couvertures
Je veux, mais j'veux pas que tu la voies
J'veux, mais j'veux pas que tu la voies
J'veux, mais j'veux pas que tu y crois
---------------------
Paroles et musique: FM
Quand j'te vois, j'suis autistique
Mon verbe-moteur manque d'essence
manque d'aisance
J'm'emballe
Malgré ma désinvolture
je vis ma déconfiture
j'te désacralise pour mieux t'envoyer promener
Pardonne-moi, c'est comme ça que j'ai appris à aimer
J'voudrais que tu m'dévoiles ton chat
ta chambre, tes cheveux, ton chiel
Et embarque sur la poubelle, proclame-toi reine de la ruelle
J'serai ton sujet le plus fidèle
Malgré ma désinvolture
je vis ma déconfiture
j'te désacralise pour mieux t'envoyer promener
Pardonne-moi, c'est comme ça que j'ai appris à aimer
J't'écris une lettre sous les couvertures
Je veux, mais j'veux pas que tu la voies
J'veux, mais j'veux pas que tu la voies
J'veux, mais j'veux pas que tu y crois
---------------------
Paroles et musique: FM
Youppi!
J'ai capturé un Ewok!
Je me promenais dans le quartier et je l'ai aperçu au loin, dans un parc. Je m'en suis approché discrètement et je l'ai ficelé avec mes lacets. Il est dans le coin de mon bureau et il gigote. J'vais lui montrer mes chaudrons: j'espère qu'il va autant capoter que ses ancêtres avec C3Po (j'hayis Z6PO)
Une minute...ça cogne à la porte...
(transcrit de la reconnaissance vocale de mon ordi)
- Oui, monsieur l'agent.
- Vous êtes bien domicilié ici, monsieur?
- Faudrait nous redonner le paquet poilu que vous venez d'introduire dans votre logement...
- Mon Ewok?
- Ouais, votre wok...Procédez je vous prie
- (Silence...bruits de pas)
- MAUDIT CAVE! TU SAIS PAS VIVRE! ATTACHER LE MONDE DE MÊME! JV'AS PORTER PLAINTE!
- Au revoir, gentil Ewok
...Scusez...ça l'air que c'était pas un Ewok...juste un nain hirsute...Un jour, j'en trouverai un, un jour.
------------------
Un E-wok...c'est-y un wok virtuel?
Je me promenais dans le quartier et je l'ai aperçu au loin, dans un parc. Je m'en suis approché discrètement et je l'ai ficelé avec mes lacets. Il est dans le coin de mon bureau et il gigote. J'vais lui montrer mes chaudrons: j'espère qu'il va autant capoter que ses ancêtres avec C3Po (j'hayis Z6PO)
Une minute...ça cogne à la porte...
(transcrit de la reconnaissance vocale de mon ordi)
- Oui, monsieur l'agent.
- Vous êtes bien domicilié ici, monsieur?
- Faudrait nous redonner le paquet poilu que vous venez d'introduire dans votre logement...
- Mon Ewok?
- Ouais, votre wok...Procédez je vous prie
- (Silence...bruits de pas)
- MAUDIT CAVE! TU SAIS PAS VIVRE! ATTACHER LE MONDE DE MÊME! JV'AS PORTER PLAINTE!
- Au revoir, gentil Ewok
...Scusez...ça l'air que c'était pas un Ewok...juste un nain hirsute...Un jour, j'en trouverai un, un jour.
------------------
Un E-wok...c'est-y un wok virtuel?
mardi 5 avril 2005
à la demande de Carl
Comme je ne suis pas hypertechnoïde, du moins pas pour les ordis, j'ai pas de compte flickr...
donc, voici un dessin de moi chassant, réalisée par un junkie de la piquerie de la rue en ailleurs, juste après mon premier trophée...
Je ne me ressemble plus, ça a été fait en 1590...
donc, voici un dessin de moi chassant, réalisée par un junkie de la piquerie de la rue en ailleurs, juste après mon premier trophée...
Je ne me ressemble plus, ça a été fait en 1590...
ahhhh
Un manteau de cuir du Village des Valeurs : 20$
De la corde : 10$
Une branche solide : gratuite
Des lames de rasoir « old school » 25$
De la quincaillerie diverse : 20$
Temps de confection : 2 heures
Chasser, avec mon arc maison, les chats dans la ruelle, vêtu de mon pagne d'indien fait main:
ça n’a pas de prix
De la corde : 10$
Une branche solide : gratuite
Des lames de rasoir « old school » 25$
De la quincaillerie diverse : 20$
Temps de confection : 2 heures
Chasser, avec mon arc maison, les chats dans la ruelle, vêtu de mon pagne d'indien fait main:
ça n’a pas de prix
Vieille vieille histoire
Il pleuvait ce soir là. J’aurais du comprendre, avant même que tu appuies sur la détente, ce qui allait s’passer. Les astres flottaient dans le ciel sans ordre précis, un autre indice qui aurait du me mettre la puce à l’oreille. J'étais aveuglé.
Tu m’avais tenu la main, invité à regarder des films aux petites heures, rit avec moi des passants mal habillés. Merde.
J’ai ouvert ma trappe, la tienne s’est agrandie en un immense « O ». C’était plus de l’étonnement que de la béatitude. Tu t’es assise dans le cadre de porte, je me suis levé.
Je t’ai lancé un au revoir. J'ai rajouté que c’était correct, que j’étais habitué de toutes façons.
Je suis sorti de ton appartement. La nuit. Les heures entre le dernier et le premier autobus. J’ai marché des kilomètres sous la pluie, à en bousiller mon chapeau melon. Une chance qu’il pleuvait parce que j’aurais pu remarquer que je pleurais.
Je t’ai menti. On ne s’est jamais revus.
Tu m’avais tenu la main, invité à regarder des films aux petites heures, rit avec moi des passants mal habillés. Merde.
J’ai ouvert ma trappe, la tienne s’est agrandie en un immense « O ». C’était plus de l’étonnement que de la béatitude. Tu t’es assise dans le cadre de porte, je me suis levé.
Je t’ai lancé un au revoir. J'ai rajouté que c’était correct, que j’étais habitué de toutes façons.
Je suis sorti de ton appartement. La nuit. Les heures entre le dernier et le premier autobus. J’ai marché des kilomètres sous la pluie, à en bousiller mon chapeau melon. Une chance qu’il pleuvait parce que j’aurais pu remarquer que je pleurais.
Je t’ai menti. On ne s’est jamais revus.
Le développement à Montréal
Le développement à montréal, on connaît ça!
Y’a de l’élevage de bœuf dans Rosemont!
Ben oui, aux anciennes usines Angus…
C’est partout à la télé : le bœuf Angus ici, le bœuf Angus là..c’est la grosse mode!
Je me demande juste où ils les mettent, les bovidés? Parce que y’a ben des condos pis des maisons de ville…
Y’a de l’élevage de bœuf dans Rosemont!
Ben oui, aux anciennes usines Angus…
C’est partout à la télé : le bœuf Angus ici, le bœuf Angus là..c’est la grosse mode!
Je me demande juste où ils les mettent, les bovidés? Parce que y’a ben des condos pis des maisons de ville…
lundi 4 avril 2005
Problème de société plus important que la faim, la sécheresse les chars montés
Avoir la langue rétractable…
Je ne parle pas de retirer ses paroles, de ne pas tenir ses promesses, non, loin de là. La nature de cette phrase est facilement explicable :
Langue : muscle de la bouche, quartier général (avec le nez) du goûts, tapissé de papilles gustatives. Elle sert également à prononcer les lettres (sinon, faut un buzzer sur les cordes vocales et on parle comme un robot) à lécher, à se la mordre, la tourner sept fois dans sa bouche avant de parler et à échanger des baisers, euhum, mouillés.
Rétractable : qui est capable de se retirer, de se replier.
Langue rétractable : langue qui se replie…
Mise en situation.
Une jeune femme et un jeune homme se fréquentent. Ils sont amis depuis quelques temps et leur relation est sur le point de passer de chenille à papillon. Ils sont dans un endroit X, confortablement installés. Leurs bouches sont attirées l’une à l’autre par l’aimant de l’amour. Les lèvres se collent, les bouches s’entrouvrent. Une langue par à l’exploration. À gauche au début…un peu à droite, ensuite vers le haut, pour revenir vers le bas…Mais! Il n’y a pas de langue dans cette bouche explorée!
Pourtant, quelques minutes auparavant, la personne titulaire de la langue rétractable, parce c’est bien de langue rétractable dont il est question, la personne PARLAIT PARFAITEMENT! Elle avait même qualifié le repas d'excellent, donc elle goûte, donc elle a une langue...
Où est la langue? Et surtout, pourquoi disparaît-elle?
Parce que hein, embrasser un trou avec des dents, c’est pas ce qu’il y a de plus plaisant, vous en conviendrez…
Est-ce qu'il y a un univers qui côtoie le nôtre, où les langues rétractables s'enroulent autour des bas perdus dans la sécheuse???
Afin d'aider les scientifiques et que la TERRE ENTIÈRE! comprenne l'algèbre du baiser mouillé voici mon ÉQUATION :
BAISER MOUILLÉ= (2(LANGUE)- DENTS QUI S'COGNENT)+MUSIQUE COCHONNE
________________________________________________
DIVAN DU SALON
DISCLAIMER : Catherine embrasse très bien. Je puise dans mes expériences passées pour illustrer le vie. C’est tout! Prépare ta salive mon amour, je reviens vers 17h30!
Je ne parle pas de retirer ses paroles, de ne pas tenir ses promesses, non, loin de là. La nature de cette phrase est facilement explicable :
Langue : muscle de la bouche, quartier général (avec le nez) du goûts, tapissé de papilles gustatives. Elle sert également à prononcer les lettres (sinon, faut un buzzer sur les cordes vocales et on parle comme un robot) à lécher, à se la mordre, la tourner sept fois dans sa bouche avant de parler et à échanger des baisers, euhum, mouillés.
Rétractable : qui est capable de se retirer, de se replier.
Langue rétractable : langue qui se replie…
Mise en situation.
Une jeune femme et un jeune homme se fréquentent. Ils sont amis depuis quelques temps et leur relation est sur le point de passer de chenille à papillon. Ils sont dans un endroit X, confortablement installés. Leurs bouches sont attirées l’une à l’autre par l’aimant de l’amour. Les lèvres se collent, les bouches s’entrouvrent. Une langue par à l’exploration. À gauche au début…un peu à droite, ensuite vers le haut, pour revenir vers le bas…Mais! Il n’y a pas de langue dans cette bouche explorée!
Pourtant, quelques minutes auparavant, la personne titulaire de la langue rétractable, parce c’est bien de langue rétractable dont il est question, la personne PARLAIT PARFAITEMENT! Elle avait même qualifié le repas d'excellent, donc elle goûte, donc elle a une langue...
Où est la langue? Et surtout, pourquoi disparaît-elle?
Parce que hein, embrasser un trou avec des dents, c’est pas ce qu’il y a de plus plaisant, vous en conviendrez…
Est-ce qu'il y a un univers qui côtoie le nôtre, où les langues rétractables s'enroulent autour des bas perdus dans la sécheuse???
Afin d'aider les scientifiques et que la TERRE ENTIÈRE! comprenne l'algèbre du baiser mouillé voici mon ÉQUATION :
BAISER MOUILLÉ= (2(LANGUE)- DENTS QUI S'COGNENT)+MUSIQUE COCHONNE
________________________________________________
DIVAN DU SALON
DISCLAIMER : Catherine embrasse très bien. Je puise dans mes expériences passées pour illustrer le vie. C’est tout! Prépare ta salive mon amour, je reviens vers 17h30!
jonas dans la baleine
Les questions qui trottent dans ma tête ne demandent qu’à sortir les jambes à leur cou…
Est-ce que quelqu’un, à l’instar de Jonas et de son frère, pourrait réellement survivre à l’intérieur d’une baleine (ou de tout autre animal assez grand pour contenir un être humain..)???
Petit rappel d’une chanson folklorique, inspirée d’une histoire biblique :
« Jonas dans la baleine, disait : j’voudrais ben m’en aller.
Son frère qui avait de l’haleine disait : chus capable de tougher. »
Supposons que :
Un épais nage au milieu des baleines et cachalots, entre deux eaux, parce que les mammifères marins se nourrissent en montant vers la surface.
Une baleine englouti par mégarde le-dit épais.
La baleine ne le recrache pas en faisant sortir l’eau d’entre ses fanons.
L’épais, vraiment épais, n’essaie pas de se sortir de la gueule de la baleine.
La baleine avale l’épais avec le krill.
EST-CE QUE C’EST SCIENTIFIQUEMENT DÉMONTRABLE QU’UN ÊTRE HUMAIN PUISSE SURVIVRE (mettons 24 heures) A L’INTÉRIEUR DE L’ESTOMAC D’UNE BALEINE?
Parce que c’est beau l’folklore, mais les faits sont beaucoup plus importants!
L’air est-il assez pur? Les enzymes sont-ils néfastes? Les litres d’eau de mer et les kilos de krill qui s’engouffrent continuellement dans la baleine sont-ils dangereux? Quand-est-il de la pression lorsque la baleine plonge? La maladie des caissons??? HEIN! HEIN? Je veux savoir! Je suis persuadé que quelqu’un quelque part nous niaise et nous prend pour des caves!
J'ai trouvé, sur ce site, une explication au phénomène. Mais comme les auteurs sont déjà convaincus que c'est possible, je demeure sceptique. En plus, il est plausible pour eux que ce soit un MIRACLE!!! Décrédibilisation instantanée!
Ah! Questionnement existentiel quand tu me tiens!
Quelle sera la prochaine histoire biblique/chanson/fable/histoire folklorique analysée et remise en question? Allez y de vos suggestions!
Est-ce que quelqu’un, à l’instar de Jonas et de son frère, pourrait réellement survivre à l’intérieur d’une baleine (ou de tout autre animal assez grand pour contenir un être humain..)???
Petit rappel d’une chanson folklorique, inspirée d’une histoire biblique :
« Jonas dans la baleine, disait : j’voudrais ben m’en aller.
Son frère qui avait de l’haleine disait : chus capable de tougher. »
Supposons que :
Un épais nage au milieu des baleines et cachalots, entre deux eaux, parce que les mammifères marins se nourrissent en montant vers la surface.
Une baleine englouti par mégarde le-dit épais.
La baleine ne le recrache pas en faisant sortir l’eau d’entre ses fanons.
L’épais, vraiment épais, n’essaie pas de se sortir de la gueule de la baleine.
La baleine avale l’épais avec le krill.
EST-CE QUE C’EST SCIENTIFIQUEMENT DÉMONTRABLE QU’UN ÊTRE HUMAIN PUISSE SURVIVRE (mettons 24 heures) A L’INTÉRIEUR DE L’ESTOMAC D’UNE BALEINE?
Parce que c’est beau l’folklore, mais les faits sont beaucoup plus importants!
L’air est-il assez pur? Les enzymes sont-ils néfastes? Les litres d’eau de mer et les kilos de krill qui s’engouffrent continuellement dans la baleine sont-ils dangereux? Quand-est-il de la pression lorsque la baleine plonge? La maladie des caissons??? HEIN! HEIN? Je veux savoir! Je suis persuadé que quelqu’un quelque part nous niaise et nous prend pour des caves!
J'ai trouvé, sur ce site, une explication au phénomène. Mais comme les auteurs sont déjà convaincus que c'est possible, je demeure sceptique. En plus, il est plausible pour eux que ce soit un MIRACLE!!! Décrédibilisation instantanée!
Ah! Questionnement existentiel quand tu me tiens!
Quelle sera la prochaine histoire biblique/chanson/fable/histoire folklorique analysée et remise en question? Allez y de vos suggestions!
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