des fois, quand j'suis dans l'bois, loin de la civilisation, tout seul, et que je ne veux pas salir mes vêtements, et que...j'ai..euh...un castor sur le bord du camp, un ti-nami qui s'pointe le bout du nez sur le bout du mien, une salve de mucus prête à sortir de mon canon nasal, ben, quand ça arrive, j'fais comme les amérindiens pis les fermiers du temps de la colonie: j'me bouche une narine pis j'souffle fort...
On dirait que certaines personnes, comme ce malotru croisé ce midi, ne se rendent pas compte qu'il y a des gens autour d'eux, sur la peu passante rue ste-catherine...
et snouff, les crottes de nez sur le trottoir...on entre dans un presse-café comme si de rien n'était...
Monsieur, t'es pas propre!
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire