Bonne fin de journée, comme dans un champs de tournesols empli de colibris qui dansent au son des cigales à peines endormies sous un soleil radieux, par une journée au taux d’humidité relativement bas, non loin d’un village qui s’éveille dans la brume matinale, douce et vaporeuse comme les jambes et les lèvres de la première femme avec qui on a fait l’amour, à côté du sentier qu’empruntent les voyageurs pour se rendre au sus-mentionné village, pour se repaître avidemment mais pas trop d’un bon petit plat préparé par l’aubergiste, homme à qui appartient le champs de tournesols du début de la phrase, tournesols penchés vers l’est par un vent chaud et enveloppant comme la caresse d’une mère au regard apaisant et réconfortant, vent qui berce les villageois après les pluies qui font sentir bon la terre meuble et fertile des champs cultivés avec amour et passion, vent qui soulève les semences pour perpétuer la vie végétale du comté et nourrir les gens qui y habitent, depuis plusieurs générations, bien dans leur confort bucolique, heureux de nature, simples et généreux avec les leurs et les étrangers.
Passe une belle journée comme ça.
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