C'est mon ami, Jo.
mais depuis un an et demi, il reste loin. D'abord Val D'Or, puis Rouyn et là Amos. Si ça continue, il va bientôt habiter à Kuujuaq. Ou Chisasibi.
J'pense qu'il s'en va loin comme ça pour fuir ses démons. Parce que Jo en a des démons. Mais Jo, dans l'fond, c'est pas un gars qui aime les démons. Il est loin d'être sataniste, Jo. Même qu'il est humaniste.
Il a eu une drôle de vie, mon ami. Il a frayé avec des gens louches, qu'on pourrait même qualifier de "provenant du milieu interlope". C'est suspect le mot interlope. Longtemps qu'il a frayé avec eux, mais en même temps, avec une certaine impunité. C'est qu'il était un bon businessman mon ami. Il rapportait beaucoup d'argent.
Mais il en a eu assez. Il voulait vivre de sa passion, le théâtre. S'partir une compagnie de théâtre et écrire et jouer. Jouer, ça faisait un bout qu'il ne le faisait plus. Ah, il était sur scène, mais il laissait la place aux autres. Comme moi. "Vas-y Fred, c'est toi qui fait l'équipe!" qu'il me disait lors de nos matches d'impro. Moi, naïf et content, je le croyais. Dans le fond, c'est tout ce que ça me prenait pour réaliser mon potentiel: quelqu'un qui croit en moi. Et Jo, assis sur le banc, me regardait avec un petit sourire énigmatique accroché aux lèvres.
J'ai été le dernier de la bande à connaître la vraie nature de son travail, le seul qui n'a pas été impliqué dans des histoires, mais j'en ai profité d'une manière ou d'une autre. Bouffe au resto, whisky à gogo, soirée cinoche et j'en passe. P't'être que dans l'fond, Jo était heureux de faire du bien.
Une fois, j'voulais participer à une combine, question de faire un peu d'argent. Jo a jamais voulu...T'es pur toé, qu'il me disait, on changera pas ça.
Le 12 août 2003 au matin, j'ai appelé Jo pour lui conter une belle histoire. La veille, j'étais allé voir des étoiles filantes sur le bord d'un lac, pis j'en avais ramené une avec moi. Pas juste une, en fait. La seule. Ben, celle pour moi. J'ai jasé 20 minutes avec lui au téléphone; il repartait le lendemain pour l'Abitibi.
le 15 août, je suis au boulot, mon téléphone sonne. Jo. Je jase avec lui. Il tergiverse, tourne autour du pot...Abouti que je me dis...Il m'annonce que lui et sa blonde (une amie à moi dans le temps...longue histoire) vont avoir un enfant et que je suis le meilleur choix pour être le parrain.
Quelle marque d'amitié.
Fast-forward au mois d'octobre. On est en tournoi d'impro à Québec, une fin de semaine tous ensembles pour ce qui s'avèrera le dernier tournoi des Psychos. C'est le samedi soir et j'attends Jo pour aller souper. Lui est au téléphone avec sa blonde, à essayer de connaître les résultats.
Elle devait passer des tests pour voir si le petit allait être normal. Elle avait emmené ses démons avec elle en Abitibi. Depuis qu'elle se savait enceinte, elle couchait à gauche et à droite, prenait de la drogue (méchante drogue!)...bref, elle ne faisait rien de bon pour la petite bébitte qui s'battait dans son ventre.
Je suis assis face à lui et j'écoute plus ou moins ce qu'il dit. Je suis concentré sur sa face qui s'défait. Il raccroche avec un bye plaintif, poussé de sa voix de ti-cul, celle qu'il prend quand ça va mal. Il me regarde, la tristesse du monde au fond des yeux.
Il me fixe et me dit, en phrases détachées:
"Elle s'est fait avorter. Sans m'en parler. Elle avait tout prévu. J'aurai pas mon petit bébé."
Quoi répondre? Quoi dire.
J'l'ai juste pris dans mes bras. J'suis sorti et j'suis allé souper. J'lui ai rapporté un frite de chez Fusée.
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
5 commentaires:
Oh my god.
Je suis en train de chercher une info sur le net. Qui n'a aucun lien ni avec toi, ni avec "ton ami Jo". C'est par curiosité que j'ai lu ton blog quand je suis tombée dessus. J'avoue, j'y ai fait une recherche. Juste pour voir si tu allais parler de lui. De moi et lui.
Effectivement, il y a un post le concernant.
Quel paquet de merde j'ai lu. Quel paquet de merde.
Tu aurais dû terminer ton histoire ainsi: "Soudainement, le ciel s'est couvert et il s'est mis à pleuvoir des grenouilles. Nous avons donc enfilé notre costume de fée pour nous envoler vers la maison enchantée de France Castel pour y boire des télévisions en écoutant le chant des pierres suédoises.".
Hey. Je suis encore sous le choc.
Je ne suis pas ici pour me défendre ou pour raconter ma version de l'histoire.
Mais sers-toi de ta tête au lieu de vivre dans ce monde "oh combien magique" que tu te crées. Va au Palais de Justice de Val-d'Or et consulte son dossier. Ça coûte cinq dollars.
De la drogue et plein de choses pas bonnes pour mon ventre.. Avortement planifié.. je suis supposée rire ou quoi?
En écrivant ça, tu prouves que vraiment, tu as le quotient intellectuel d'une personne motivée dans la rédaction de son journal intime virtuel. À moins que ce soit pertinent d'exposer vulgairement ses tranches de vie sur internet quand tout le monde s'en fout.
Marie
Ah oui, j'oubliais. Tu sonnes comme une pièce de Michel Tremblay pourrie.
Et pour prouver que c'est bien moi et que j'assume tout ce que je dis.. je t'invite à vérifier, ou encore m'envoyer une petite mot d'amour via la messagerie de mon site internet. www.myspace.com/mclasauceyea
Ça t'as fait du bien? tant mieux!
Si tu te souviens, j'étais là, dans votre appart' à Val D'Or, un certain soir où, saoûle et gelée, tu voulais te trancher les veines avec un couteau à steak...
Si tu te souviens aussi, je suis celui qui, même si ça ne lui tentait absolument pas, te demandais de rentrer au lieu de rester couchée dans la neige.
J'en sais plus sur Jo maintenant. Je sais très bien qu'il n'est pas un ange et que ce qu'il racontait n'était pas tout le temps - souvent - vrai.
Mais je sais aussi, que pendant un certain temps, ce gars croyait plus en moi que n'importe qui d'autre.
Je sais aussi qu'il connaît ma colère et qu'il préfère ne plus me parler que de l'affronter.
Ce bout de vie que tu as lu, je l'ai vécu de cette manière-là. J'avais pris soin de ne pas te nommer, d'éviter certains détails.
Ni toi ni lui n'êtes blancs comme la neige dans cette histoire.
Si ça m'a fait du bien? Mais oui! Ça m'a rassurée.. de te lire! Ta réponse à mon "retour de pensée" (Criss que c'est cave tenir un blog, les gens qui le font sont hyyyyyyper pathétiques!!! Genre de gens qui n'ont pas été acceptés par la masse..) m'a confirmé que j'avais une qualité supplémentaire (quoi que je le savais.. mais une preuve supplémentaire fait toujours du bien).. la lucidité. Wow.
Mais tu sais quoi? J'aimerais être plus comme toi. Je veux dire.. J'aimerais aussi pouvoir voir la vie comme un dessin animé dans la vague de Warner Brothers. Tu sais quand Bugs Bunny voit une jolie lapine et que son coeur sort de sa poitrine quand il bat? L'espèce d'absurdité.. tu vois? Fou! Tu as beaucoup de chance Fred. J'imagine que ton mirroir te réflète un beau grand jeune homme quand tu t'y contemples.
J'ai souri en lisant ceci:
"Si tu te souviens, j'étais là, dans votre appart' à Val D'Or, un certain soir où, saoûle et gelée, tu voulais te trancher les veines avec un couteau à steak..."
Mais oui tu étais là. Tu es venu pour le match d'impro.. Jonathan était si heureux. Car avant que tu confirmes ta présence, tu avais décliné l'invitation pour une raison que j'oublie. Qu'il était furieux quand tu lui as dit que tu ne pouvais y être! Il a versé quelques larmes avant de briser le téléphone à coups de pied. Mais il semblait t'aimer beaucoup quand même car il ne t'en a jamais voulu et versait des larmes de joie quand tu as revisé tes plans. Il était rarement heureux à Val-d'Or. Mais oui, il t'adorait, je te jure Frédéric, il te considérait comme son p'tit frère. Quand on t'a chosi comme parrain, il a pris cet air de p'tit gars dont tu parlais et s'est dépêché de t'appeler ce 15 août.
Le soir dont tu parles.. Je me le remémore encore. Je suis arrivée après vous. Il faisait si froid. Je me souviens d'avoir bu ce soir-là. Je ne me sens pas coupable, Boire après un match d'impro.. C'est grave? Mais j'étais gelée? J'aurais eu le droit! Mais je n'avais que bu. Je ne vois pas pourquoi tu te permets d'affirmer une telle chose, ni le lien que ça a dans l'histoire. Quand Jonathan m'en voulait pour quoi que ce soit.. comme, par exemple, je me rendais au Pizzédélic (tel que prévu à mon horraire depuis une semaine)au lieu de l'accompagner au cours de théâtre qu'il donnait , cours qu'il n'aimait pas que je coanime avec lui depuis le début... À au moins cinq reprises, il hurlait, il me dénigrait, m'insultait quand il réalisait que j'allais travailler au Pizzédélic... et je rentrais après, le suppliant de déverouiller la porte que je puisse entrer chez-nous.. Je ne comprenais pas pourquoi j'étais enfermée dehors, puis admise à l'intérieure, accueuillie par de la violence verbale et physique.. quand je venais de rammener un salaire de plus, qui serait dépensé pour son weed et une sortie stupide qui nous saoûlerait en guise d'exode de notre lourde relation. Surtout que si Jo ne fumait pas son précieux joint.. J'y goûtais. C'était souvent l'excuse qu'il me donnait pour ses écarts de conduite. "Marie.. je m'excuse..mais il faut que je fume mon bat, sinon je deviens..comme ça" . Tu sais, Fred, comme toi, j'ai été une amie très très proche de Jo. Sans savoir pourquoi, je l'admirais, le respectais et l'idôlatrais. Il a cette espèce de force qui nous rapproche de lui. Tu comprendras que la première fois que j'ai vu cette personne incroyablement gentille, généreuse, humaine et dévouée faire une crise terrible à cause d'un de mes gestes maladroits m'a paralysée, et surtout plongée dans un état de culpabilité indescriptible. Je t'épargne les détails qui ont, avec le temps (et leur accumulation), fait en sorte que je devienne stressée, apeurée, isolée, confinée dans cet univers malsain qu'il a créé (avec mon aide, car je ne résistais pas). Une folie s'est installée en moi. Je me croyais plus forte, mais j'étais vraiment traumatisée, je n'étais plus moi-même.
Ce soir-là, il voulait une bière, et je te jure, je n'avais plus de sous, on avait tout bu. Je vais aux toilettes et entends de la monnaie qui se déplace dans la poche de mon pantalon. Je regarde et effectivement, j'ai presque deux dollars. J'entends (jamais je n'oublierai ça) : "AH-HA!!!" Je lève la tête, et le voici me regardant de la cabine voisine, juché sur le cabinet, furieux, dans cet état qui annonçait une session de violence. Il me dit que je ne suis qu'une menteuse et blablabla. Vous quittez, je reviens avec la perdue Nicole Garceau.. Qui est au courant de la situation et me dépose malgré elle CHEZ-MOI, me suggérant fortement de ne pas dormir DANS MON APPARTEMENT. (Mais je n'ai rien fait!!!). Je tente d'ouvrir la porte et elle est barrée. Il fait si froid.. Et à mon esprit déjà traumatisé par le souvenir.. des autres situations qui me méritaient un refus d'entrée à MON DOMICILE.... Et j'admets que l'alcool n'a pas adouci ma réaction face à la situation.. Mais il fait froid, j'ai rien fait de mal et on m'empêche d'entrer chez-moi? La grosse Garceau aussi "brainwashed" que toi et moi par Jonathan me dit que je devrais dormir ailleurs, cèder aux pression du "Tout-Puissant-Potvin"!! Euh... non.
Alors je vois que la porte est barrée. Et je suis fâchée, humiliée.. Quand je suis sous l'effet de l'alcool, c'est pire. Quand finalement, j'ai l'accord de ce con d'entrer dans MA DEMEURE, ya toi, en boxers (eeeeeeeeeeeewwww.. fais pu ça sans joke, c'pas cool voir ça.) qui m'assaille (eeeeeewwwwww.. souvenirs de ton ventre...) avec tes accusations.. "Tu es gelée encore (Jonathan t'avait dit ça.. si j'avais eu de la drogue, ça aurait brassé." pis tu te gèles depuis ta grossesse (je n'étais même plus enceinte).. pis t'a donné des maladies à mon ami Jo!!!" Moi j'suis comme.. "quoi?" Pis tu me fais un signe de pénétration avec tes doigts (eeewwwwww, souvenir de toi en boxers qui fait un signe de pénétration avec tes doigts!! eeeeeeeeeeeeewwwwwwww!!!) en disant : "T'sais, quand t'as couché à gauche et à droite pendant ta grossesse!!" .. Criss. À terre. J'l'avais jamais entendue celle-là. Tu es chez-moi, on t'a accueilli.. toi et ta.. ton.. celle avec la moustache.. son nom.. grosse.. en tous cas, la fille avec qui qu't'es là. Cette fille qui parlait en mal de moi à son équipe d'impro du cégep Marie-Victorin.. (Qui était la risée de la ligue complète à Marie-Vic car elle parlait de moi à des gens qui me connaissaient et m'aimaient bien... et aussi parce qu'elle suck en impro. ). Là je me dis que je veux partir. Parce que je suis fâchée, peinée et humiliée. Je veux partir et je prends une couverture, MA couverture. Jo me traîne sur la couverture, m'empêche de partir en disant doucement que je suis saoule, que je dis n'importe quoi, qu'il me pardonnait de lui avoir fait vivre de la merde.. Comme s'il m'accordait un pardon pour je ne sais quoi.. Quelle belle figure de victime de sa générosité, grandeur, douceur.. Il s'est donné avec brio le rôle du gars gentil qu'on admire, aime et respecte.. La même image qu'il avait pour moi au début et qu'il avait (et semble encore avoir) pour toi. Oui, j'avoue, l'ivresse ne m'a pas aidée à garder mon calme.. et oui, ma dignité. Mais tout ce que je vivais Fred.. j'étais.. je ne sais pas si tu as envie de comprendre. Je me sentais seule, incomprise, incapable de crier "Aidez-moi, sortez-moi de là!"... Même aujourd'hui, je ne sais comment exprimer ces terribles émotions en parole. Surtout à des faibles qui n'ont pas été appuyés par vos pairs avant de le connaître, lui. Comme toi, ta.. Catherine, Garceau et l'ex copine de mon frère qui est sortie avec Jonathan après moi pour finir battue par lui en avril 2006. Je suis sortie dehors et ai essayé de dormir dans les escaliers. C,est ridicule je sais.. mais je ne voulais pas aller chez la traître de Garceau.. et Jo a réussi à m'éloigner de ma mère qui serait venue me chercher immédiatement malgré les insultes que je lui ai criées au téléphone.. Car Jonathan a su m'entrer dans la tête que ma mère avait en fait des intentions cachées de manipulation.. Non mais j'étais tellement ailleurs!! Quelle.. Les mots me manquent. Jamais je ne me pardonnerai d'avoir fait souffrir ma maman avec mon ignorance lors de ma relation avec Jo.. Tout ça pour me dire que je me sentais bien seule et malprise et gênée par mon exagération.. Quand même.. j'étais ridicule de partir dormir dans les escaliers en novembre. L'alcool.. Mais j'assume aujourd'hui. Je voulais crier mon désespoir pour que vous me compreniez.. Je l'ai mal fait par peur de Jonathan et devant l'impuissance face à ta réaction ce soir-là.. et l'exagération de tou à cause de l'alcool n'a pas aidé. Je suis rentrée doucement et me suis couchée sur le divan.. et encore une fois, l'ivresse et le désespoir m'ont fait prendre le couteau à steak.. J'avais besoin d'attention, je ne savais plus comment exprimer mes besoins.. J'ai réagi d'une façon que je regrette un peu, et ça nous arrive tous, ne le nie pas. Alors ton commentaire de couteau à steak est très.. c'est n'importe quoi.
N'importe quoi comme cette phrase que tu as écrite:
"Mais je sais aussi, que pendant un certain temps, ce gars croyait plus en moi que n'importe qui d'autre."
Ok.. Pis? Je veux dire.. Ça change quoi dans la situation tout ça?
"Je sais aussi qu'il connaît ma colère et qu'il préfère ne plus me parler que de l'affronter."
Ça te donne le droit de me juger aussi faussement et méchamment?
"Ce bout de vie que tu as lu, je l'ai vécu de cette manière-là. J'avais pris soin de ne pas te nommer, d'éviter certains détails."
Wack. Très wack. Je m'assume, j'ai rien à cacher. Je ne suis pas totalement en paix avec toute cette histoire, justement à cause de gens "en voie de développement" comme toi. Je serai également en paix quand la justice sera.. juste. Si tu as entendu parler des trois sentences qu'il a reçues dans les procès des trois jeunes femmes qu'il a battues tu comprendras.
Je serai aussi en paix quand les gens qui exposent leurs simili-drames sur des blogues internet (ooouch pour vous) réaliseront l'ampleur des conséquences suivant les vulgaires expositions de leurs drames de soft soap opera.
Je ne dirai jamais avec raison que j'ai agi en ange toute ma vie. Mais je n'accepterai jamais qu'on me traite de ce que je ne suis pas gratuitement, vulgairement, stupidement sur un putain de blogue internet. Tu devrais avoir honte. En plus tu fais ça comme un estie de peureux derrière ton écran.
Tu ne m'as pas nommée, tu as évité de spécifier des détails.. Quel peureux lâche. Quel triste manque d'attention tu sembles vivre. Tu veux parler de cette situation publiquement? Bin commence par en parler avec les principaux intéressés en pleine face pour faire la lumière sur ce dit évènement criss de gros faggot. Pis tu es chroniqueur? Ouch, pauvre lecteurs et auditeurs de Canoe. Se fier sur les dires d'un gros innocent qui ne sait même pas vérifier le contenu de ses articles aux sources, c'est dommage.
Moi je suis capable d'admettre mes fautes, de dire mon nom, d'affronter qui que ce soit pour faire la lumière sur tout, n'importe quoi! Pas parce que je veux me donner en spectacle comme toi, mais parce qu'on évoque une vieille histoire me concernant.. et qu'on l'expose publiquement en me donnant le rôle d'une estie de folle.
Fack si tu veux encore parler de moi grosse criss de tapette, tu me donnes rendez-vous pis tu me parles en pleine face au lieu de faire ça comme un estie de peureux triste et seul. Tu me fais pitié. Vraiment pitié.
Je ne sais pas exactement ce qui a pu rendre Jonathan comme il était. Je crois fermement que l'homme est né vide de méchanceté volontaire. Que ceux considérés "mauvais" découlent d'une existence tachée d'un traumatisme ou quelqu'autre évènement qui les a profondément marqué. J'ignore ce qui lui ai arrivé. Depuis qu'il m'a infligée de son mal à travers ses paroles et ses actions, je tente de comprendre. Et/pour faire la paix avec celles-ci.
Et comme tu dis dans ton précédent message:
" Je sais aussi qu'il connaît ma colère et qu'il préfère ne plus me parler que de l'affronter."
Fack parle plus de moi ou affronte-moi, p'tit con.
Marie-Ève Saucier
email au: www.myspace.com/mclasauceyea (section courriel)
Publier un commentaire